SelonKant, il faut distinguer l'opinion et la foi : l'opinion porte sur un objet de savoir possible (nous aurons un jour les moyens de savoir si Mars est habitée : celui qui est convaincu qu'il y a bien des Martiens émet donc une opinion) ; la foi, en revanche, porte sur des objets indémontrables (je ne pourrai jamais démontrer l'existence de Dieu ou l'immortalité de l'âme).
Buste d’Epicure Comme Epicure le rappelle au début de la Lettre à Ménécée, l’objectif principal de la philosophie est de se débarrasser des troubles de l’âme. Pour cela, le philosophe propose un remède efficace en vue d’évacuer la crainte des dieux et la peur de la mort la connaissance de la nature des dieux et de la nature humaine. Comme nous l’avons vu dans le premier billet de cette série consacrée à l’éthique épicurienne, les deux premiers éléments du quadruple remède permettent au philosophe débutant de se rapprocher, peu à peu, de l’ataraxie, cette absence de troubles liée au bonheur, finalité de l’éthique épicurienne. Mais l’absence de trouble psychique ne suffit pas, pour Epicure, à garantir le bonheur. Qu’en est-il, en effet, de la douleur physique ? Autrement dit, quelle est la place du corps et du plaisir associé à lincarnation de l’âme dans l’éthique épicurienne ? Pour Epicure, plus encore que pour les stoïciens, la place et le rôle du corps dans la manière de vivre épicurienne est centrale, et ne peut être détachée de la recherche du bonheur de l’âme, comme le montre la deuxième partie de la Lettre à Ménécée, que nous allons parcourir ensemble dans ce billet. Pour Epicure en effet, le trouble de l’âme peut être lié à la douleur ressentie par le corps, dès lors que la douleur corporelle est également ressentie par l’âme. L’éthique épicurienne exige donc une maîtrise du corps et de ses affections. De ce fait, la Lettre à Ménécée propose une véritable thérapie de l’âme et du corps, qui passe notamment par l’ascèse ou le contrôle des désirs, à la recherche d’un plaisir stable apportant le bonheur. L’ascèse des désirs et la santé du corps Le contrôle des désirs associé à l’éthique épicurienne et la santé du corps qui accompagne ce contrôle sont étroitement liés à la classification des désirs proposée par Epicure dans la deuxième partie de la Lettre à Ménécée[1]. Le philosophe y présente en détail les différents types de désirs éprouvés par l’être humain et justifie par la même occasion le contrôle des désirs, puisqu’il permet de conserver la santé de l’âme et du corps, sous la double forme de l’ataraxie et de l’absence de douleurs physiques aponie Et il faut voir […] que parmi les désirs, certains sont naturels, d’autres vides, et que parmi les désirs naturels, certains sont nécessaires, d’autres seulement naturels ; et parmi les désirs nécessaires, certains sont nécessaires au bonheur, d’autres à l’absence de perturbations du corps, d’autres à la vie même. En effet, une observation sans détour de ces distinctions sait rapporter tout choix et tout refus à la santé du corps et à l’ataraxie, puisque telle est la fin de la vie bienheureuse[2]. Ce passage distingue clairement les différents types de désirs que l’être humain éprouve, et met en avant l’importance des désirs naturels et nécessaires pour atteindre le bonheur, défini par Epicure comme absence de troubles psychiques, ou ataraxie. Mais ces désirs naturels et nécessaires permettent également l’absence de douleurs physiques, ou aponie. Santé de l’âme et du corps sont ainsi liées à la réalisation de ce type de désirs. En outre, les désirs naturels et nécessaires sont essentiels pour le maintien en vie de tout être humain. Passons maintenant en revue les trois types de désirs décrits par Epicure, en mettant l’accent sur ceux qu’il convient de suivre ou de rejeter en vue du bonheur 1- les désirs naturels et nécessaires Les désirs naturels et nécessaires sont indispensables à la vie bienheureuse, que ceux-ci apportent l’ataraxie, l’absence de troubles physiques, ou simplement la vie, comme on vient de le voir. Désirer boire et manger lorsque l’on a faim et soif est un désir naturel et nécessaire, par exemple. Nous reviendrons plus bas sur l’importance de ces désirs dans la définition épicurienne de la vie bienheureuse. 2- les désirs naturels et non nécessaires Les désirs naturels et non nécessaires, quant à eux, ne sont pas mauvais, car naturels, mais ne méritent pas d’être poursuivis de manière inconditionnelle ou excessive. Ainsi, désirer bien manger et boire de délicats breuvages est naturel, certes, mais non nécessaire. Les désirs naturels et non nécessaires correspondent ainsi à des fonctions naturelles, et peuvent être satisfaits sans que leur non satisfaction soit dangereuse on pourrait s’en passer, comme on peut se passer de boire lorsqu’on n’a pas soif. Néanmoins, ces désirs naturels et non nécessaires deviennent vides par excès et dérèglement. Comme pour Aristote, et loin de l’image ordinaire que l’on se fait de l’épicurien, c’est la juste mesure qui l’emporte dans l’usage de ce type de désirs Parmi les désirs naturels qui ne reconduisent pas à la souffrance s’ils ne sont pas réalisés, ceux où l’ardeur est intense sont les désirs qui naissent d’une opinion vide, et ils ne se dissipent pas, non pas en raison de leur propre nature, mais en raison de la vide opinion de l’homme[3] ». On voit là le danger que représentent pour l’homme les désirs naturels et non nécessaires la non-satisfaction de ces désirs, et la souffrance associée au manque que nous pouvons éprouver, quand bien même il s’agit de biens non nécessaires. Si je prends l’habitude de mets délicats, je risque de ressentir un certain manque et de souffrir lorsque, pour une raison ou une autre, les circonstances de la vie font que je dois me contenter d’une nourriture plus simple et moins appétissante. De même, si je suis attaché à boire quotidiennement un verre de vin pour accompagner mon repas, il y a de fortes chances que je sois bien en peine de ne pas être affecté par le verre d’eau dont je dois désormais me contenter. Si ce type de désirs naturels ne sont pas nécessaires, et doivent être abordés avec prudence, ils sont importants néanmoins, dans le sens où ils permettent une variation des plaisirs, comme nous le verrons plus loin. En effet, boire sans avoir soif, c’est boire pour le plaisir. Et la variation des plaisirs qu’une bonne glace peut apporter, par exemple, est essentiel à l’effacement des douleurs physiques et psychiques auxquelles nous sommes confrontés à un moment donné dans notre vie. 3- les désirs non naturels et non nécessaires Les désirs non naturels et non nécessaires sont à éviter absolument. Ce sont des désirs vides qui naissent d’opinions vides c’est par exemple le désir d’être immortel. Inutile d’expliquer en quoi ces désirs ne peuvent engendrer que la souffrance, étant donné l’impossibilité de leur réalisation. Revenons plutôt sur la première catégorie de désirs, indispensables, pour Epicure, à la vie bienheureuse, afin de comprendre en quoi ce type de désirs apporte au philosophe la paix de l’âme et du corps. Le bonheur à la recherche d’un plaisir stable La classification des désirs opérée par Epicure met clairement en avant les désirs naturels et nécessaires. En effet, ce sont ceux qui contribuent au bonheur et à la paix du corps, mais aussi à la vie. Pour Epicure, la paix du corps et la vie ne sont pas des fins en soi, mais sont les conditions préalables au bonheur, qui lui est une fin en soi. Epicure propose en effet une définition négative du bonheur comme un état dans lequel on n’éprouve aucune affection douloureuse venant du corps ou de l’âme. Mais le bonheur ne se réduit pas à la paix du corps, que permet la satisfaction des désirs naturels et nécessaires. Certes, la paix du corps ou l’absence de douleur physique est un élément important de la vie bienheureuse, mais elle n’a de valeur qu’en vue de la paix de l’âme. En d’autres termes, le bonheur est un état de paix qui réalise une certaine plénitude de l’âme et du corps, plénitude qui se caractérise avant tout par une absence de troubles Car ce pour quoi nous faisons toutes choses, c’est ne pas souffrir et ne pas être dans l’effroi ; et une fois que cela se réalise en nous, se dissipe toute la tempête de l’âme, puisque le vivant n’a pas à se diriger vers quelque chose comme si cela lui manquait, à la recherche de ce qui permettrait au bien de l’âme et à celui du corps d’atteindre leur plénitude[4]. Rien ne manque à celui qui est heureux, nous dit Epicure. Et en effet, le bonheur défini comme absence de douleur physique et psychique, plénitude du corps et de l’âme, est incompatible avec toute idée de manque. La plénitude du sage épicurien Cette définition négative du bonheur, cette absence de troubles qui caractérise la vie bienheureuse, conduit le philosophe épicurien à une certaine ascèse des désirs car nul plaisir n’est nécessaire si le plaisir procuré par l’ataraxie, cette plénitude du corps et de l’âme, est présent. Il s’agit seulement, lorsque cela est nécessaire, d’opposer le plaisir d’un bon verre de vin, ou d’une discussion entre amis à la douleur actuelle physique ou psychique. Et une fois la douleur supprimée par le plaisir associé à la réalisation de désirs naturels et non nécessaires ou au souvenir de sa réalisation, la recherche du plaisir n’est plus une priorité. Un plaisir stable et profond est déjà présent, en effet, lorsque le philosophe atteint la plénitude du corps et de l’âme que l’on nomme ataraxie. Cette absence de douleur physique et psychique est bien, pour Epicure, le plus grand des plaisirs En effet, c’est à ce moment que nous avons besoin d’un plaisir, lorsque nous souffrons par suite de l’absence du plaisir ; mais lorsque nous ne souffrons pas, nous n’avons plus besoin du plaisir. Et c’est pour cette raison que nous disons que le plaisir est le principe et la fin de la vie bienheureuse[5]. Il s’agit donc en définitive de ne pas souffrir et ne pas être dans l’effroi, en s’aidant pour cela de certains plaisirs, mais dans le seul but de faire cesser la douleur et d’atteindre l’ataraxie. De cette définition du bonheur va découler, pour Epicure, une réflexion approfondie sur le plaisir, principe et fin de la vie bienheureuse. Nous verrons dans le prochain billet quels sont les différents types de plaisir, et en quoi le calcul des plaisirs permet au philosophe épicurien de conserver la paix de l’âme et du corps essentielle au bonheur. [1] Classification déjà esquissée par Platon dans la République 558d. [2] Epicure, Lettre à Ménécée, 127-128, trad. Balaudé. [3] Epicure, Maximes capitales, XXX. [4] Epicure, Lettre à Ménécée, 128. [5] Idem Crédits photo Epicurus, par franzconde, Licence CC BY ; Treat at Häagen-Dazs, par Jean-Christophe, Licence CC BY-NC-SA; Etang en plénitude, par marief este, Licence CC BY-NC-SA. Citer ce billet Maël Goarzin, "Epicure et le bonheur de l’ascèse des désirs à la recherche d’un plaisir stable". Publié sur Comment vivre au quotidien? le 20 septembre 2018. Consulté le 23 août 2022. Lien
Cest exactement ce que les Égyptiens ont intégré à leur mythologie, dans laquelle le dieu solaire Rê meurt le soir sous la forme d’une bergeronnette ou d’un héron et ressuscite à l’aube. Plus tard, au fur et à mesure que la croyance en Osiris grandissait, c’est devenu Benu, l’âme Ba d’Osiris, qui a rempli ce rôle.
Il est une question que nous nous sommes tous déjà posés, au moins une fois dans notre vie qu’est-ce que l’âme ? Cette énergie qui semble être la base de tout être vivant et conscient soulève de nombreuses interrogations, tant dans le domaine scientifique que spirituel et religieux. Si vous souhaitez en apprendre plus sur l’âme, ce qu’elle signifie pour chaque religion et ce qui lui arrive dans l’au-delà , n’hésitez pas à continuer votre lecture de cet article sur viversum. Qu’est-ce que l’âme explications Appellation tirée du latin anima pour souffle », respiration, l’âme est un concept reconnu de tous et que l’on retrouve dans de nombreuses situations et secteurs. Il s’agit, pour la plupart d’entre nous, de l’énergie, vitale et fondamentalement spirituelle, qui nous habite tous et qui nous donne la vie mais aussi notre personnalité et notre singularité. Au niveau scientifique, l’âme n’est pas tant considérée comme un fait immatériel que comme un propriété physique associée à tout être vivant ; c’est un postulat philosophique que l’on appelle le physicalisme », et sur lequel de nombreux scientifiques se reposent. A un niveau plus spirituel, il est intéressant d’observer que, quelle que soit la religion que l’on vit ou que l’on observe, savoir qu’est-ce que l’âme préoccupe tous ceux qui ont une vie spirituelle ainsi qu’une croyance en l’âme. L’âme dans les religions Afin d’avoir une meilleure idée globale de qu’est-ce que l’âme peut bien être, les réponses apportées par les trois principales religions le judaïsme, le christianisme et l’islam sont intéressantes à étudier. Dans le judaïsme, l’âme a été insufflée à l’Homme par Dieu lui-même. Elle s’appelle ainsi neshama et signifie littéralement souffle de vie » ! Mais, à la différence de l’opinion des scientifiques, l’âme n’est ici pas considérée comme une possession de l’être humain ; ce dernier est une âme, tout simplement. Dans le christianisme, là aussi, l’âme et le corps sont deux entités distinctes où la première donne vie au second mais peut tout à fait fonctionner sans ce dernier. Dans ce cas, elle sera tout simplement élevée au Paradis - ou en Enfer. Dans l’islam, l’âme est vue comme l’une des plus grandes créations de Dieu ; en effet, c’est elle qui donne la vie telle que nous la connaissons aux corps matériels de chacun d’entre nous. Etant été créée par Dieu, l’âme ne peut par conséquent être jugée que par lui. L’animisme, qu’est-ce que c’est ? Par ailleurs, il existe une autre croyance qui met l’âme au cœur de ses rituels et de ses cultes ; il s’agit de l’animisme. Ici, la croyance veut que l’âme soit une force vitale qui anime non seulement les êtres vivants humains, animaux mais aussi tous les objets et éléments naturels que nous entourent. Roches, arbres ou encore vent et feu sont même vus comme des entités mystiques, qu’il convient de vénérer et de respecter. Qu’est-ce que l’âme que deviennent l’âme et l’esprit après la mort ? Lorsque l’on se pose la question qu’est-ce que l’âme ? », une autre interrogation inévitable concerne, bien évidemment, le sort de cette dernière à la fin de nos existences terrestres. De nombreuses réponses sont apportées par différentes sources religions, mais aussi témoignages d’individus ayant vécu des expériences de mort imminente ou encore de médiums en contact avec l’âme dans l’au-delà d’individus décédés grâce à un ouija. Parmi les hypothèses les plus populaires quant au sort de l’âme à la mort de nos corps physiques, on pourra ainsi notamment parler de la transmigration des âmes. Il s’agit du déplacement de l’âme d’un corps à un autre ; la traduction la plus connue de cette idée est la réincarnation, que l’on retrouve d’ailleurs dans de nombreuses religions, dont l’hindouisme. Il est d’ailleurs courant de rencontrer des gens déclarant être une vieille âme », cette sensation étrange d’avoir déjà vécu plusieurs vies et, par conséquent, d’avoir une certaine sagesse et une philosophie de vie atypique comparée à d’autres personnes ayant le même âge. Peut-être êtes-vous, vous-même, une vieille âme, qui sait ! Qu’est-ce que l’âme ? Depuis notre plus tendre enfance, une grande question nous habite tous qu’est-ce que l’âme ? Que l’on s’oriente vers les réponses apportées par les différentes religions ou que l’on s’intéresse à une réponse plus spirituelle et globale, tout semble indiquer que l’âme est plus qu’une simple partie de notre personne. Elle est tout simplement nous et insuffle la vie dans chaque être vivant qui nous entoure. Que vous souhaitiez entrer en contact avec une personne disparue ou que vous souhaitiez simplement en savoir plus sur les différentes techniques divinatoires pour entrer en contact avec une âme dans l’au-delà , vous pourrez certainement trouver des réponses à vos interrogations auprès de nos spécialistes en voyance. Ils sont disponibles tous les jours, par email ou par téléphone.
Ils'agit de la croyance dans les pouvoirs de transcendance de l'objet. Une croyance qui peut prendre des formes évidentes: l'espoir que l'exposition et la conservation des objets personnels de victimes dans les musées (de l'Holocauste, et d'autres génocides) qui leur sont consacrées donneront accès à une forme nouvelle de sacré, et sauvera l'homme de l'inhumain. Elle a
N'hésitez pas à partager et à aimer si le cœur vous en dit! NamastéDans le milieu de la spiritualité, le pouvoir de la pensée positive semble incontesté, voire presque sacro-saint. On nous dit même que nous créons notre propre réalité. Les auteurs qui écrivent sur ce sujet nous promettent des résultats les plus miraculeux en entretenant les bonnes pensées et en répétant des affirmations, nous pouvons créer tout ce que nous souhaitons vivre à l’avenir. Nous pouvons même transformer des événements négatifs et traumatisants de notre passé en positif. Une fois l’expérience traumatisante dé-créée, nous pouvons continuer notre vie comme si l’événement négatif n’avait jamais eu lieu. Cependant, beaucoup de personnes s’emploient ardemment à utiliser la pensée positive pour améliorer leurs conditions de vie, sans connaitre l’amélioration souhaitée ni la guérison d’une maladie persistante, ni la prospérité financière rêvée, ni le grand amour tant attendu. Est-ce parce qu’elles ne s’y prennent pas comme il faut ? En outre, si les pensées positives ont tant d’effet sur notre réalité, n’en va-t-il pas de même pour les pensées négatives ? Après tout, nous sommes souvent traversés par des peurs et des inquiétudes. Il suffit de prendre par exemple les soucis que peuvent faire les parents pour leurs enfants. Vont-ils rentrer à la maison sains et saufs ? », Vont-ils savoir refuser de prendre de la drogue ? »… Malgré ces peurs très courantes, pour la grande majorité, tout se passe bien. Sans oublier ces nombreuses pensées anxieuses concernant nos petits symptômes physiques où nous nous demandons si nous n’aurions pas quelque chose de grave. Mais en règle générale, toutes ces pensées négatives nourries par la peur ne deviennent pas notre réalité… bien heureusement ! Nos pensées n’ont-elles donc aucune influence sur la réalité qui nous entoure ? Ne sommes-nous pas les créateurs de notre propre réalité ? L’univers n’est-il en rien affecté par nos pensées positives ou négatives ? Suit-il simplement son cours, indépendamment de nos états ? Je ne le pense pas. Mais la relation entre nos pensées et notre réalité est sûrement beaucoup plus subtile que ce que proposent de nombreuses théories sur le sujet. Afin de bien comprendre cette relation il me semble nécessaire d’explorer le rôle de l’âme dans le processus de création, et d’aborder la possibilité que c’est en nous connectant à notre âme que nous pouvons soutenir ce processus. Qui est le créateur de nos vies ? Pour mieux saisir la relation entre la pensée et la réalité nous devons tout d’abord comprendre véritablement ce qu’est la création. La création est une force qui émerge d’un état d’unité absolue le Tout, la Source Première, le mystère que nous appelons parfois Dieu. De cette Source naît non seulement la création, mais aussi des créateurs ; des êtres d’un ordre très élevé que l’on pourrait appeler les Archanges. Ce sont des êtres cosmiques très majestueux et chacun représente un aspect de la Source originale. Bien qu’un Archange soit un être magnifique et vaste, il n’est pas tout ; il ne représente pas toute la création, puisqu’il y a de nombreux Archanges. Ainsi, comme tous les êtres individuels, ils perçoivent une différence entre leur monde intérieur leur manière d’expérimenter la vie et le monde extérieur le reste de la création. Ce monde intérieur est unique, et par conséquent, la création des Archanges donne lieu à l’individualité. C’est l’expérience d’un monde extérieur infini, par opposition à un monde intérieur unique, qui crée la notion de l’individualité. La distinction entre une réalité intérieure et une réalité extérieure donne lieu également aux concepts du temps et de l’espace. Car dès lors que vous vivez quelque chose comme étant extérieur à vous-même, cela signifie qu’il y a de l’espace à l’extérieur de vous. Et du point de vue des êtres extérieurs à vous-même, vous occupez une place dans ce même espace ; vous partagez cet espace, et ainsi l’espace devient objectif. La notion même de l’espace implique qu’il existe des êtres différents, avec leur propre façon subjective de vivre le monde extérieur. S’il n’y avait qu’une unité, un tout, la notion de l’espace n’aurait aucune signification, les notions mêmes d’extérieur ou d’intérieur n’existeraient pas. De plus, à partir du moment où plusieurs individus occupent un espace partagé, il y aura une interaction et une communication entre eux, ce qui crée la notion du temps. La communication affecte la réalité intérieure des êtres individuels ; elle implique qu’un changement s’opère chez eux, et le changement implique une notion de temps. Ainsi, dès lors que des êtres conscients interagissent, il existe inévitablement la notion du temps, un temps partagé. Par la création des Archanges, la Source infinie a donné naissance à l’individualité, à la distinction entre une réalité intérieure et extérieure, à l’espace, au temps, et à la possibilité d’interagir et de communiquer. A partir de cette seule étape, les bases de la création ont été posées. Les Archanges à leur tour créent de nombreux nouveaux êtres ; de nouveaux créateurs qui portent en eux une partie de l’essence de l’Archange, mais qui ajoutent quelque chose d’unique qui leur appartient. Chaque acte de création implique quelque chose de nouveau. Et ainsi cela se perpétue, sans fin. Les créateurs nouveau-nés créent de nouveaux créateurs à leur tour. Il y a un renouvellement continuel au niveau des créateurs, ce qui engendre de nouvelles dimensions de temps et d’espace. Lors de l’un de ces niveaux, émerge l’être humain. Dans l’absolu, tout ce que nous créons en tant qu’êtres humains fait partie du processus fondamental de la Source qui est celui de créer une vaste diversité de créateurs qui ont tous pour origine la même Unité. L’une des règles principales de ce processus est la suivante en tant que créateur, vous pouvez créer tout ce que vous souhaitez, à condition que ce soit en harmonie avec la source plus élevée, celle qui vous a créé. Pour les Archanges, leur source plus élevée est Dieu, pour nous, c’est notre âme. L’âme est le créateur de notre personnalité humaine, et en tant qu’être humain nous reflétons un aspect de notre âme, de la même manière qu’un Archange représente un aspect de Dieu. Les deux facteurs fondamentaux qui déterminent notre réalité humaine sont donc 1 notre âme, et ses intentions pour nous, et 2 notre volonté ou non de travailler en collaboration avec notre âme, la source qui nous a créés. Notre âme a un projet de vie pour nous, qui peut comprendre des objectifs qui sont différents de nos idées sur ce qui est souhaitable dans notre vie. La force créatrice principale dans nos vies est notre âme, et non nos pensées humaines. Nous pouvons cheminer avec ou contre la force créatrice de notre âme. La pensée positive ne sera pas efficace si elle vise des désirs qui ne correspondent pas au but de notre âme. Mais des pensées positives en adéquation avec les intentions de l’âme soutiennent le processus de création et apportent plus de grâce et de facilité à son déroulement. Nos pensées peuvent ainsi faire une grande différence en tant qu’êtres humains nous possédons une grande liberté même si l’âme reste la force créatrice principale de nos vies. Le but de l’âme fournit la trame, le terrain de jeux ; nous remplissons les détails. Ce but laisse une grande marge de manœuvre, puisque nous sommes censés être des créateurs nous-mêmes, et ainsi ajouter quelque chose de nouveau à la réalité de l’âme. L’âme confère à chaque vie une vision directrice, un objectif global, et en utilisant notre créativité afin de servir cette vision, nous nous donnons la possibilité de savourer la vie avec le plus grand bonheur et épanouissement. Créer en disharmonie avec l’âme Imaginez un ange magnifique, juste au-dessus de vous, qui émane une joie et une sagesse tranquilles. Cet ange vous aime, de façon inconditionnelle ; il ne vous rejette ni ne vous condamne, quoi que vous fassiez. Considérez maintenant que cet ange est votre âme. Tant que vous êtes près de cet ange et que vous ressentez sa présence, tout va bien, vous vous sentez aimé et choyé. Vous avez le sentiment qu’il y a quelque chose de plus grand et plus aimant que vous qui vous soutient sur votre chemin de vie. Vous êtes en mesure de vivre de la joie et de la sérénité même lorsque la vie ne se déroule pas de façon fluide. Si, au contraire, vous ne suivez pas le chemin de votre âme, que vous allez à l’encontre de vos sentiments profonds et que vous essayez de trop contrôler la vie, vous perdez le contact avec la sagesse de votre âme. Vous commencez à ressentir une sorte de vide à l’intérieur. Comme pour tout le monde, il vous arrive parfois de vous laisser embarquer par vos préoccupations terrestres et de focaliser toute votre attention sur des choses qui vous semblent certes très importantes, mais qui ne contribuent pas forcément à votre évolution intérieure, telles que la reconnaissance, les possessions, la réussite, l’argent… Ainsi vous suivez un autre chemin que l’ange, et vous commencez à sentir une tristesse et une solitude au fond de vous. Vous tentez alors de résoudre la situation en travaillant plus dur, en essayant d’obtenir plus d’argent, de succès ou de pouvoir, car la société dans laquelle vous avez grandi vous a appris que ces choses-là sont importantes. Ou encore, vous essayez de soulager votre solitude en cherchant le partenaire idéal. En réalité ce que vous êtes en train de faire, c’est chercher votre ange intérieur dans le monde extérieur. Cela est toujours voué à l’échec, car une condition ou une personne extérieure ne pourra jamais remplir le rôle de votre ange intérieur ; le résultat sera toujours décevant. Et plutôt que de rétablir la connexion avec votre âme, vous aurez le sentiment d’en être plus éloigné encore. Il se peut souvent à ce moment-là qu’une crise surgisse dans votre vie, une épreuve qui vous invite à vous réveiller et à vous réaligner avec votre âme cela peut prendre la forme d’une maladie ou d’un événement douloureux tel qu’un divorce ou la perte d’un emploi. Il devient alors essentiel que vous vous tourniez vers l’intérieur et cherchiez activement à rétablir la connexion avec votre ange. Car si vous souhaitez créer une vie nouvelle, plus épanouissante, la pensée positive seule ne suffira pas. Si vos pensées positives ne visent qu’à gommer les coups durs pour que vous puissiez retourner à la vie à laquelle vous étiez habituée, elles sont vouées à l’échec, car elles vont à l’encontre des intentions de l’âme. De la même manière, si ces pensées positives ou mantras sont utilisées dans le but d’éliminer une maladie ou un malheur, elles ne représentent alors qu’un moyen de renier ou refouler l’ombre intérieure, qui demande, au contraire, que vous la regardiez en face. C’est seulement lorsque vous accueillez pleinement vos émotions et peurs les plus profondes, et que vous rétablissez le lien conscient avec votre âme, qu’une vraie solution pourra émerger. Lorsque vous êtes prêt à faire face à votre obscurité intérieure et à écouter vraiment ce que votre cœur souhaite vous dire, votre âme vous apportera la solution. Il se peut que vous vous demandiez peut-être pourquoi nous avons des désirs qui vont à l’encontre des projets de notre âme, ou pourquoi l’âme a des objectifs qui vont à l’encontre de nos projets. La raison réside dans le fait que le but principal de notre âme est la croissance intérieure, tandis que nous recherchons souvent des solutions à nos problèmes dans le monde extérieur. Du point de vue de l’âme, les expériences négatives arrivent pour nous guider vers la libération et la évolution intérieures. Pourtant nous préférons souvent éviter ces expériences. Nous cherchons à nous débarrasser de la douleur physique ou émotionnelle. Envisager que cet inconfort puisse avoir du sens et nous mener à une meilleure compréhension de nous-mêmes, représente un vrai défi. C’est seulement lorsque nous reconnaissons la sagesse de notre âme, qui dépasse notre compréhension humaine, que nos pensées ont un pouvoir créateur. Seule la pensée positive qui reconnait la valeur et la signification des expériences négatives » est alignée avec la force divine qui crée l’univers. Reconnaître les intentions de votre âme J’ai affirmé que si nous souhaitons changer notre réalité par la pensée positive, il est très important que nous le fassions en harmonie avec notre âme. Si la pensée positive ne vise pas à approfondir la connexion avec notre âme, si elle n’est pas en phase avec le but principal de l’âme, alors le résultat, quel qu’il soit, ne nous apportera pas de bien-être durable. La question se pose alors, comment travailler en accord avec notre âme ? Comment savoir si nos souhaits et désirs sont alignés avec la vision et le but de notre âme ? 1. Gardez un esprit léger et ludique Cheminer en harmonie avec son âme procure un sentiment de joie et d’inspiration, il n’y a rien de pesant. L’âme nous parle à travers des ressentis de joie, d’inspiration, et d’encouragements. Si vous êtes en train de répéter des affirmations et que vous le vivez comme une tâche difficile ou lourde, vous n’êtes pas en phase avec votre âme. Par exemple, imaginons que vous souhaitez trouver une nouvelle maison. Vous vous permettez d’y songer de façon imaginative et ludique, comme un enfant vous imaginez où elle pourrait se trouver, comment allez-vous la meubler, la décorer, à quoi pourrait ressembler le jardin… Vous vous imaginez en train de recevoir vos proches avec joie, et songez à quel point vous allez apprécier votre nouvelle maison. Si ces rêveries vous procurent du bonheur, cela signifie que vous êtes en bonne voie, que vous êtes en train de créer quelque chose qui est en accord avec votre âme. Autorisez-vous à laisser libre cours à votre imagination. Ne vous limitez pas avec des pensées telles que Ce n’est pas réaliste, je n’arriverai pas à avoir cela », simplement plongez-vous dans votre rêve aussi longtemps que cela vous donne de la joie. Le sentiment joyeux est une confirmation que votre projection est cohérente avec le projet de votre âme. Autrement dit, si vous utilisez la pensée positive de la plus juste manière qui soit, la pensée positive est en elle-même une récompense c’est une expérience qui vous apporte du plaisir et un mieux-être. Tant que vous êtes dans cet élan d’anticipation joyeuse, vous êtes connecté à votre âme. Si par contre vous remarquez des sensations désagréables, ou si l’exercice vous demande beaucoup d’effort, cela signifie que votre imagination n’est pas alignée avec votre âme. Si vous êtes en train de projeter des pensées qui ne sont pas en harmonie avec le but de votre âme, il y aura un sentiment de quelque chose de forcé, de contrôlant ; le côté ludique et joyeux de l’exercice sera absent. 2. Faites la distinction entre l’amour et la peur Afin de savoir si vos pensées sont alignées avec le but de votre âme, vous pouvez vous poser la question suivante “Mes pensées positives, sont-elles basées sur la peur ou sur l’amour ? ». Prenons l’exemple d’une personne qui vit des soucis d’argent. Des centaines de fois par jour, elle répète solennellement l’affirmation Je suis riche et prospère », tout en se concentrant sur des images de prospérité et d’abondance. Cependant, si la source véritable de cette affirmation est la peur de manquer, elle ne sera pas efficace. Les pensées positives ne peuvent être bénéfiques que lorsqu’elles ont leur source dans l’amour, ce que l’on reconnaît par les sensations de joie et de légèreté qui les accompagnent. Les affirmations qui ont un véritable pouvoir créateur vont de pair avec une conviction sereine que tout ira bien, tandis que les pensées qui sont issues de la peur, bien qu’elle puisse avoir l’air très positives sur la surface, sont rarement bénéfiques. Elles ne sont pas en harmonie avec l’âme, et ce sont les émotions inconfortables sous-jacentes qui nous le montrent. Ce n’est que lorsque la personne qui a des soucis d’argent devient consciente de sa peur de manquer qu’elle peut formuler ses pensées à partir de l’amour. Elle a d’abord besoin de regarder de façon honnête la nature de sa peur. Peut-être qu’une partie d’elle n’est pas convaincue de mériter de recevoir l’abondance, ou alors il y a en elle une sorte de rejet profond de la vie sur terre, ce qui l’empêche d’accéder à l’abondance au niveau matériel. Son ange ne juge rien là -dedans, et si la personne se met en lien avec son âme, elle aura plutôt tendance à vouloir envoyer des pensées aimantes et rassurantes à la partie d’elle qui a peur. Elle commence ainsi à se transformer au niveau intérieur. Une fois qu’elle a reconnu et libéré cette part d’ombre, les choses pourront se transformer sur le plan extérieur. Même s’il n’y a pas d’arrivée d’argent tout de suite, le fait que la personne évolue intérieurement et ressent plus de compassion pour elle-même rend sa vie plus légère et fluide. Par conséquent, elle devient plus lumineuse et plus optimiste, et cette attitude plus positive attire de nouvelles opportunités vers elle ainsi l’abondance intérieure commence inévitablement à se refléter à l’extérieur. Lorsque vous avez des souhaits ou des désirs, il serait donc bénéfique de vérifier s’ils naissent de la peur ou de l’amour. Si c’est la peur, tournez-vous vers l’intérieur de vous et regardez cette partie de vous qui a peur. Observez-la avec tendresse et sincérité, et posez-vous cette question, De quoi cette partie de moi a-t-elle vraiment besoin à présent ? ». En agissant ainsi, vous découvrirez très souvent que la réponse est en lien avec quelque chose à l’intérieur et non à l’extérieur. Le besoin concerne souvent des qualités telles que l’estime de soi, la confiance, la capacité de poser ses limites, la compassion ou l’humour. Ainsi vous détenez la possibilité de vous apporter ce dont vous avez besoin en développant ces qualités dans votre vie quotidienne. De cette façon, vous êtes à l’écoute de la partie de vous qui a peur et cela peut engendrer des changements dans vos souhaits et vos désirs. Ils auront tendance à se baser davantage sur l’amour et la compassion pour soi, plutôt que la peur. Guérir l’ombre en nous est un chemin profondément créatif. Faire face à la peur et l’envelopper d’une énergie aimante s’avère bien plus efficace que toutes les affirmations que l’on puisse imaginer! Et le fruit de ce travail est une connexion approfondie avec votre âme qui se met à rayonner au travers de vous. C’est cette lumière-là qui est créative. Elle peut créer une réalité extérieure travail, relations.. qui vous apportera la croissance intérieure, la joie et le bonheur. Conclusion Reprenons le titre de cet article Si nous créons notre réalité, pourquoi nous vieillissons ? » D’un point de vue humain, devenir vieux est quelque chose d’indésirable ; du moins c’est la croyance qui est souvent présentée par le biais des médias et de la publicité. Une quantité incroyable de temps et d’argent est dépensé à entretenir l’idéal de rester – et paraître – jeune. Mais vous pouvez répéter autant de pensées positives et d’affirmations que vous voulez, vous allez inévitablement vieillir. Vos pensées sont impuissantes face au processus naturel de vieillissement. Mais regardons maintenant cet enjeu depuis la perspective de l’âme. L’âme, se préoccupe-t-elle de préserver notre jeunesse ? De son point de vue, le temps n’a aucune prise sur nous, seul notre corps vieillit. Si vous souhaitez vous mettre en lien avec le point de vue de l’âme, regardez-vous dans un miroir vous constaterez que votre visage vieillit, mais vous pouvez en même temps remarquer qu’il y a quelque chose en vous, derrière vos yeux, qui ne change pas. Voici ce que vous êtes réellement. L’être humain aimerait peut-être rester dans ce corps pour toujours, mais votre âme, elle, ne le souhaite pas. L’âme sait qu’il y a infiniment plus de mondes et de dimensions à explorer et expérimenter. L’âme regarde au-delà de ce que nous voyons avec nos yeux humains, et sait que l’univers nous attend. Gerrit Gielen Source N'hésitez pas à partager et à aimer si le cœur vous en dit! Namasté
Onest face alors à une notion qui prête peu à la définition classique car elle désigne soit un état psychologique de celui qui croit ou alors l’objet même de la croyance. La religion quant à elle est un ensemble de croyances, de pratiques et des rites communs à un grand nombre de personnes qui définissent le rapport de l’homme avec le sacré et, partant, une part
ÉnoncéLa raison s'oppose-t-elle à toute forme de croyance ? CorrigéIntroductionCroire, c'est étymologiquement faire confiance à », c'est-à -dire ajouter foi ». Ainsi, croire quelqu'un, c'est penser que ce qu'il dit est vrai, sans pourtant en avoir la preuve ; croire en un Dieu, ce n'est pas savoir que ce Dieu existe en ce cas il ne s'agirait plus de croyance, précisément, mais être intimement convaincu de son existence, même si cette dernière ne devait être démontrée par rien. Or, la raison nous recommande de ne rien tenir pour vrai, dont on ne puisse démontrer la vérité ; alors, la raison s'oppose-t-elle à toute forme de croyance ? Le problème est particulièrement aigu dans le cas des croyances religieuses croire en une religion, en effet, c'est accepter en sa créance des articles de foi qui non seulement semblent ne pas pouvoir être démontrés, mais qui vont à l'encontre de la logique même de la démonstration. Ainsi, être chrétien, c'est croire en la Sainte Trinité ; or, comment un être pourrait-il être à la fois triple et un ? C'est aussi croire que le Christ était à la fois homme et fils de Dieu cela semble contradictoire, cela semble absurde. Aussi bien dans son fondement accorder sa confiance sans preuves que dans son détail les articles de foi, la croyance religieuse semble réclamer de nous que nous suspendions l'usage de notre raison il faudrait en somme accepter pour vrai ce qui est manifestement aberrant. Mais ne peut-on, au contraire, penser qu'il y a des choses qui excèdent les pouvoirs de notre raison, qu'il serait vaniteux de penser que ce qui semble absurde pour nous l'est en soi ? En d'autres termes, ne serait-il pas plus raisonnable de renoncer à ériger la raison humaine en juge de toutes choses, en lui reconnaissant ses propres limites ? Et réciproquement, ne peut-on penser qu'une forme de croyance religieuse puisse se maintenir dans les limites de la raison ? Peut-être alors la contradiction entre la raison et la croyance n'est-elle qu'apparente ; mais en ce cas, il nous faudra démontrer que ce qui excède la raison n'est pas nécessairement contraire à la L'articulation de la foi et de la raison1. Il faut reconnaître les limites de la raison humaineFaut-il admettre comme allant de soi la contradiction entre la croyance et la raison ? La raison ne peut-elle, à l'évidence, que prouver l'absurdité de la foi, et la foi réclame-t-elle indubitablement que nous abandonnions là toute rationalité ? Il existe, cela n'est guère douteux, des croyances absurdes celles qui portent sur des objets de savoir et qui viennent contredire des démonstrations fermement établies. Je puis bien croire que la Lune est habitée, et être prêt à en mettre ma main au feu, ma sincérité ne fait rien à l'affaire une telle croyance vient contredire l'ordre des raisons, elle n'a pas grand sens, et n'a pour se justifier que la force de ma conviction subjective. Mais précisément la foi religieuse, quant à elle, n'est pas absurde, en ceci que la raison peut produire un discours rationnel à son revient à saint Thomas d'Aquin d'avoir voulu articuler ce que le sens commun oppose la croyance religieuse ne réclame pas de nous l'ignorance, et la raison ne parle pas contre la Révélation. Selon saint Thomas, en effet, rien dans la religion révélée c'est-à -dire dans la Bible comme parole de Dieu transmise aux hommes ne vient contredire la raison pour preuve, le théologien peut raisonner à partir des articles de foi – si la Révélation était absurde, une théologie rationnelle serait impossible, et tel n'est justement pas le cas. Cependant, si les articles de foi ne sont pas purement et simplement irrationnels, ils excèdent toutefois les pouvoirs de compréhension de la raison humaine. Mais ce qui n'est pas intelligible pour nous n'est pas inintelligible en soi si nous ne comprenons pas tout, la Révélation est pour Dieu l'évidence même. Et précisément, si c'est Dieu lui-même qui a mis la raison en l'homme, alors la religion ne peut pas nous commander d'en suspendre l'usage exiger de nous ce qu'on nomme la foi du charbonnier » lequel figure celui qui croit sans avoir des raisons de croire, ce serait, en fait, aller à l'encontre de la bonté des œuvres de Dieu. Le croyant doit donc faire usage de sa raison, tout en reconnaissant qu'elle est limitée et qu'elle ne peut pas tout Il faut démontrer autant que faire se peut les articles de la foiLe croyant devra, par conséquent, chercher à démontrer ce qui est démontrable, et accepter que tout ne le soit pas, parce qu'il est un être fini et que son pouvoir de compréhension est également fini. Dans son infinie bonté, le Créateur nous a révélé dans le texte saint des vérités que nous n'aurions pas pu saisir par nos seules forces pour saint Thomas d'Aquin donc, la foi éclaire la raison autant que la raison éclaire la foi. Ainsi, s'il reconnaît qu'il y a bien des mystères de la foi », c'est-à -dire des propositions que notre raison ne peut démontrer, saint Thomas entend en revanche indiquer des voies » qui permettent à cette même raison de poser l'existence de Dieu. Il ne s'agit pas à proprement parler de démonstrations, mais d'un cheminement où rien n'est contraire à ce que notre raison peut légitimement accepter. Ainsi, cette dernière peut admettre que tout ce qui est n'est que du possible, qui aurait pu ne pas être il n'y a rien dans le monde, qui soit absolument nécessaire, parce que ce monde lui-même aurait pu ne pas être. Or, le possible ne peut de lui-même passer au réel, et cela également la raison peut le reconnaître sans se contredire il faut donc qu'il y ait un être nécessaire, qui soit cause de la réalisation du possible, c'est-à -dire de son passage à l' Thomas donne ainsi cinq voies différentes que peut prendre la raison, et qui l'amèneront toutes à comprendre que l'existence de Dieu n'est pas irrationnelle. La difficulté, c'est que ces chemins reposent tous, à des degrés divers, sur des présupposés eux-mêmes indémontrés ou sur des circularités logiques par exemple ici sur la présupposition que le monde aurait pu ne pas être. Mais alors, si les voies de la démonstration ne satisfont en fait pas pleinement à l'exigence rationnelle, faudra-t-il aller contre saint Thomas et admettre une bonne fois que nous n'avons aucune raison de croire, bref, que la croyance échappe au domaine de la raison ? Est-il rationnel alors de soutenir que je crois sans avoir d'autre raison de croire, que la confiance que j'accorde à la Révélation ? Mais que vaut cette confiance, si elle ne repose sur rien d'objectif, et en quoi diffère-t-elle alors de celui qui croit sans raison aucune que la Lune est habitée ?II. De l'impossibilité d'une preuve de l'existence de Dieu aux postulats de la raison1. Toute preuve de l'existence de Dieu est impossibleC'est Kant, dans la Critique de la raison pure, qui le premier a montré pourquoi aucune preuve de l'existence de Dieu ne pourrait jamais nous être donnée. Certes, je puis bien avoir un concept de Dieu ; mais je ne peux jamais déduire l'existence du seul concept – pour reprendre un exemple célèbre, le concept d'un billet de banque dans ma poche est exactement le même, que le billet y soit ou pas. Pour être assuré qu'un objet réel correspond à mon concept, que donc ce concept n'est pas une forme vide, il faut un contenu intuitif seule la perception peut m'apporter la preuve qu'il existe bien quelque chose qui correspond dans le réel au concept que j'ai dans mon entendement. Or, percevoir, c'est toujours et nécessairement percevoir dans le temps et dans l'espace tous les objets perçus sont situés à un point de l'espace et du temps ; mais Dieu, dans la définition même que j'en ai, est un être éternel il est hors du temps et ubiquitaire il n'est d'aucun point de l'espace. Par définition donc, je ne pourrai jamais percevoir Dieu ; je n'aurai alors jamais de contenu intuitif pour remplir le concept que je possède. D'où la conclusion que Kant en tire on peut certes penser à l'existence de Dieu, mais on ne pourra jamais la connaître ; en d'autres termes, on ne peut, sans contradiction, espérer en faire un objet de savoir – c'est-à -dire nous ne pourrons jamais la est alors le point capital si nous n'aurons jamais aucune preuve rationnellement admissible de l'existence de Dieu, alors les articles de la foi ne sont pas les objets d'un savoir possible, et voilà qui suffit à distinguer la croyance religieuse des autres formes de convictions subjectives. Celui qui croit qu'il existe d'autres planètes habitées dans l'univers n'en sait rien nous n'en avons à présent aucune preuve objective ; mais cette absence de preuve est une absence de fait, et non de droit une planète, fût-elle lointaine, est dans le temps et dans l'espace, elle peut être l'objet d'une intuition sensible, c'est-à -dire d'une perception possible. La connaissance progresse, ce qui était une simple croyance peut devenir un savoir à présent et tel n'était pas le cas à l'époque de Kant, nous savons que ni la Lune, ni Mars ne sont habitées. Il en va tout autrement de la foi religieuse elle porte sur des objets qui, par définition, ne seront jamais des objets de savoir, en sorte qu'il faut selon Kant distinguer l'opinion objet d'un savoir possible et la foi qui échappe à tout savoir. 2. Refus de la position sceptiqueLa croyance n'est donc pas un concept univoque il existe des modalités distinctes de la conviction. Mais alors, s'il est absurde de persister à croire ce que la raison a démontré comme étant faux, que faire de la foi religieuse, où la raison est impuissante à démontrer quoi que ce soit ? Faut-il reconnaître que la croyance en un Dieu est dénuée de tout fondement rationnel et que la raison doit nous contraindre à ne plus y croire ? Non pas la raison humaine n'est pas seulement impuissante à démontrer l'existence de Dieu, elle est tout autant incapable de démontrer son inexistence, en sorte qu'il n'est pas plus ou pas moins rationnel d'affirmer que Dieu existe, que d'affirmer qu'il n'existe pas. Dans les deux cas, il s'agit de foi et non de connaissance ; ces croyances ne sont donc pas plus contraires à la raison l'une que l'autre, pourvu seulement qu'elles demeurent ce qu'elles sont – non des savoirs, mais des croyances qui, comme telles, ont conscience de l'insuffisance de leurs fondements. Pour ne pas être contraire à la raison, la croyance religieuse doit donc demeurer seulement ce qu'elle est, une foi que rien ne vient démontrer ; c'est quand elle fait sienne l'orgueilleuse prétention d'une certitude apodictique » c'est-à -dire d'un savoir nécessairement vrai qu'elle va à l'encontre de ce que la raison peut pur point de vue théorique, donc et ici théorique signifie tout ce qui se rapporte à la connaissance », les grandes questions de la foi religieuse la croyance en l'existence d'un Dieu, en l'immortalité de l'âme sont purement et simplement indécidables, et le demeureront à jamais. La croyance excède entièrement la raison, au sens où la raison est impuissante à prendre parti pour, ou contre elle. Le plus raisonnable serait-il alors d'adopter une position sceptique, en affirmant que rien ne venant démontrer l'existence de Dieu, non plus que son inexistence, il serait sage de suspendre notre jugement, en reconnaissant que nous n'en savons rien et n'en pouvons rien savoir ? Du point de vue théorique, donc, ce scepticisme semble la seule position rationnellement admissible puisque nous n'en saurons jamais rien, autant suspendre notre jugement et réputer une bonne fois pour toutes les questions que pose la foi comme étant indécidables. Toutefois, ce scepticisme suppose que le seul usage possible de la raison, c'est la connaissance – en termes kantiens que l'intérêt théorique fait le tout de l'intérêt de la raison. Or, ce que Kant va montrer, c'est justement que tel n'est pas le Les postulats de la raison pure pratiqueEn plus de l'intérêt théorique qui se résume en une question Que puis-je savoir ? », la raison est en effet animée d'un intérêt pratique » où la question devient Que dois-je faire ? ». Or, ce que nous dit notre raison, c'est que nous devons faire notre devoir, et d'abord en traitant toujours autrui comme une fin en soi, et non comme un moyen pour nous ce que la loi morale commande, c'est de ne pas se servir d'autrui pour satisfaire nos désirs ; en d'autres termes, un acte sera moral s'il peut être voulu par tout être raisonnable sans contradiction aucune. Certes, ma sensibilité m'ouvre au plaisir et à la peine il n'y a de plaisir ou de souffrance que sensibles ; mais je ne suis pas un animal, je ne suis pas qu'un être de sensibilité j'ai une raison, laquelle me commande de faire mon devoir, même si je n'en ai pas envie, même si ce devoir compromet mon bonheur ici-bas. Et tel est le point tout dans l'expérience atteste qu'en ce monde, l'union du bonheur et de la moralité est impossible. Comme l'affirme Kant, l'histoire montre assez qu'ici-bas, les justes sont punis, et que triomphent ceux qui ont su ne pas s'embarrasser de trop de scrupules. L'exemple kantien est celui de cet homme qui refuse de faire un faux témoignage pour accuser un innocent, alors que ce mensonge lui est ordonné par le Prince parce qu'il n'a pas voulu être injuste, et parjure, il finira condamné à conséquent, il semble bien y avoir une contradiction entre ce que la raison ordonne fais ton devoir quel qu'en soit le prix et notre légitime aspiration au bonheur – car s'il est indigne d'un être raisonnable d'ignorer son devoir au nom de son désir d'être heureux, il serait désespérant pour un être fini et sensible donc ouvert au plaisir et à la peine de sacrifier son bonheur au commandement moral. Ainsi donc, celui qui au nom de la défense de son bonheur accepte de ne pas faire son devoir, celui-là s'avère immoral et indigne de ce bonheur même ; et celui qui fait son devoir malgré tout se montrera digne d'un bonheur… qu'il aura pourtant sacrifié ! Il y a bien là , et à l'évidence, une contradiction. Cette contradiction, Kant la résout par ce qu'il nomme les postulats de la raison pure pratique » il faut faire son devoir envers et contre tout, même au prix du malheur ; et il faut espérer qu'un Dieu juste et bon récompensera ailleurs et plus tard celui qui a fait son devoir, en lui accordant le bonheur dont il s'est montré digne. Ni l'existence de Dieu, ni l'immortalité de l'âme ne sont démontrées par la raison théorique celle qui se préoccupe du savoir ; mais elles deviennent des exigences de la raison pratique, c'est-à -dire des postulats. Rien ne permet de dire, du point de vue théorique, que Dieu existe ou qu'il n'existe pas ; mais si nous posons qu'il n'existe pas, alors nous serons amenés à désespérer et à ne plus vouloir faire notre devoir. ConclusionTelle est, du moins, la conclusion posée par Kant si la raison théorique ne pourra jamais démontrer l'existence de Dieu, la raison pratique l'exige et la postule. Croire, ce n'est donc pas renoncer à l'usage de la raison, à condition que cette croyance ait été épurée de tous les préjugés dogmatiques croire, c'est savoir qu'on ne sait pas, mais conserver l'espérance que le juste sera un jour récompensé de n'avoir pas abdiqué l'exigence de la droiture et de la justice. La croyance religieuse est donc conforme à la raison, quand elle prend la forme d'une espérance je ne sais pas s'il existe un Dieu juste et bon qui récompensera ailleurs et plus tard les efforts faits ici et maintenant par l'homme vertueux ; je ne le sais pas et je n'en saurai jamais rien, mais il n'est pas absurde de l'espérer – davantage même un tel espoir est conforme à la raison au point d'être nécessaire à tout être raisonnable, même à celui qui ne croit pas. Je puis fort bien, en effet, ne pas croire en Dieu ; mais même l'athée qu'il l'avoue ou qu'il l'ignore ne peut, selon Kant, trouver désespérante l'idée qu'un Dieu rendra raison du mal, compensera nos souffrances, et assurera la conjonction, impossible sur Terre, du bonheur et de la vertu.
Unecentaine d’objets permettent de mieux comprendre l’importance jadis de ces croyances dans le quotidien. Par G.E. - 09 juil. 2020 à 17:38 - Temps de lecture : 01 / 03
Question d’Aviram sur l’effet de blindageDe la Mort à l’ImmortalitéLe Bouddha et la mortAlors, sommes-nous immortels ou non ? !La Mort nous sépare-t-elle?La Création de l’Âme et de l’hommeOù se trouve l’Âme?La création de l’Âme et du corpsLa vie après la viePunition pour un comportement non éthiqueL’élévation de l’âmeConnaissances UniversellesL’UEU en tant que système planétaireChangement de la conscience collectiveVoir les champs et non les réacteursLa vision du Nouveau MondeRéalité objectiveLa résurrection et la vie éternelleL’Homme et le CréateurSi notre conscience change, le monde entier changeEmotionsL’Émotion de la visionNos sens physiquesTout ce que nous pouvons voirVision de l’âmeLe Sentiment de RéactionComment le Créateur est crééLe Sentiment de la ConnaissanceSentir la connaissanceL’émotion est un immense réservoir de connaissancesFoire aux plaisirs intermédiairesL’évolution de la connaissanceUtiliser les connaissancesLe contrôle de la réalitéNous, dans notre mondeLa conscience est notre outilComment structurer notre conscienceNous changeons le monde et il nous changeLe point de basculementFaire confiance au processusLe travail négatif’’Pourquoi ça marcheLe processus de normalisationLe Sentiment de la PrésenceQu’est-ce qu’un rêve ?Rêve et voyage de l’ÂmeL’Émotion de la position Question d’Aviram sur l’effet de blindage ’Merci beaucoup M. Keshe de nous aider à nous lever et à marcher. Il y a quelques années, lors d’expériences avec des réacteurs dynamiques, l’effet de blindage a été démontré à une certaine vitesse de rotation, le bruit du moteur du réacteur et le son d’une radio ne pouvaient plus être entendus. Comment pouvons-nous créer le même effet de blindage sans utiliser de réacteurs, mais en utilisant uniquement la puissance de notre Âme ? Je sais que les bébés peuvent dormir dans un environnement très bruyant ; comment font-ils ?’’ Les bébés, plus ils sont jeunes, plus ils sont proches de l’Âme car ils n’ont pas encore été remplis des croyances collectives qui vont progressivement déstructurer leur conscience. Il est donc facile pour eux de laisser l’attention se tourner vers l’Âme et le monde matériel, avec tout le bruit que cela implique, peut disparaître. Nous ne sommes plus des bébés et la plupart d’entre nous ont perdu leur innocence, notre conscience est mal structuré. Mais une autre voie s’ouvre à nous les rêves. Comprendre le rêve nous aide à comprendre comment l’Âme fonctionne à l’état de rêve, l’Âme est moins confinée par le mental,et elle peut se déplacer librement. Dans l’état dit d’éveil, le libre arbitre à l’intérieur du mental contrôle le corps. Le plus souvent, le mental est absorbée dans le niveau de la matière. L’Âme a moins d’accès et est, pour ainsi dire, confinée dans son contenant, le flux sanguin autour du cerveau. Elle est comme un oiseau en cage. Dans l’état de rêve, l’âme de la forme physique dort », ce qui lui donne plus de liberté d’être à l’Âme ; en ces moments nous sommes dans une position détachée de l’état de matière. Normalement notre attention est presque toujours dirigé vers le mental, vers le bruit ; mais lorsque l’Âme gagne en force pendant le sommeil, notre attention se déplace hors du mental vers le niveau de l’Âme – où nous n’entendons plus le bruit. Dans un rêve, l’Âme s’étend au-delà des limites de l’état physique et elle est alors capable de communiquer avec une autre Âme. Mais cette ligne de communication peut également être dirigée vers l’intérieur pour couvrir l’ensemble du corps physique et ainsi le contrôler. Lorsque nous étendons le champ de l’Âme au-delà des limites du corps, tout ce qui se passe en dehors des limites du corps est bloqué – à moins que nous voulons le ressentir. Si nous pouvons étendre la force de champs de notre Âme au-delà du corps, nous n’entendrons plus le bruit du monde physique, mais la voix de l’Âme parce que nous sommes à l’intérieur du champ de l’Âme. De même, lorsque nous sommes à l’intérieur de la structure de la Terre, nous n’entendons pas le bruit du système solaire ; et vice versa lorsque nous sommes syntonisés avec les champs au-delà des champs de la matière, nous n’entendrons pas les bruits de celle-ci. De la Mort à l’Immortalité Message d’une mère en Russie Bonjour cher M. Mehran Keshe. Ma fille unique et bien-aimée Maria, qui avait 23 ans, est morte au cours d’une opération chirurgicale. Le monde entier s’est arrêté pour moi, la vie était divisée en avant » et après ». Je souffre beaucoup. La première année s’est écoulée depuis la tragédie, mais je ne peux pas l’accepter. Tout ce qui m’intéresse, tout le sens de ma vie maintenant, c’est de comprendre comment la vie et l’Univers fonctionnent. Cher Mehran, personne ne peut répondre à mes questions, parce que les gens ont une doctrine religieuse ou ne croient en rien du tout. Je sens qu’il est tout simplement impossible de vivre comme nous le faisons tous aujourd’hui. C’est une impasse complète et une dégradation qui mène à la destruction. Et lorsque j’ai vu par hasard vos explications sur le fonctionnement de l’univers, je sens que vous êtes parvenus à élucider le plus grand mystère – l’origine de la vie humaine. Veuillez répondre à la mère qui ne connaît pas de repos, qu’y a-t-il, au-delà et vivrons-nous encore ? Vais-je rencontrer ma fille ? Pourquoi vivons-nous ? Quel est le sens de notre apparition dans ce monde ? Je vous serais très reconnaissant de vos réponses. Quel bonheur de réaliser qu’il y a des gens qui ne pensent pas seulement à leur propre peau et à leur argent, mais aussi au développement et à la prospérité de toute l’humanité, qui se sont élevés au-dessus de tout ce qui est mesquin et secondaire. Il y a beaucoup de mères malheureuses comme moi qui ont perdu leurs enfants ; elles souffrent beaucoup et veulent connaître la vérité sur la vie et la mort. Combien notre vie serait meilleure si nous connaissions cette vérité. Je vous souhaite, à vous et à votre équipe, santé et bien-être. Meilleures salutations, ». Le Bouddha et la mort Bouddha séjournait dans un village. Une femme est venue à lui en pleurant. Son unique enfant était mort soudainement. Comme Bouddha était dans le village, les gens lui ont dit Ne pleure pas. Vas voir cet homme. Les gens disent qu’il est d’une compassion infinie. S’il le veut, ton enfant peut revenir à la vie. Alors ne pleurez pas et vas voir Bouddha. » La femme est allée avec l’enfant mort, en pleurant, et tout le village l’a suivie – tout le village a été touché. Les disciples de Bouddha ont également été touchés ; ils ont commencé à prier en silence pour que Bouddha ait de la compassion, qu’il bénisse l’enfant pour qu’il soit ressuscité. Tout le monde était immobile. Bouddha est resté silencieux. Il a regardé l’enfant mort, puis il a regardé la mère en pleurs et il lui a dit Ne pleure pas, fais juste une chose et ton enfant sera de nouveau en vie. Laisses corps mort ici, retournes à la ville, va dans chaque maison et demandes à chaque famille si quelqu’un est déjà mort dans leur maison. Si tu trouves une maison où personne n’est jamais mort, alors demandes quelque chose à manger, du pain, du riz, ou n’importe quoi d’autre, mais assures-toi que cela vient bien d’une maison où personne n’est jamais mort. Et cette nourriture fera revivre l’enfant immédiatement. Vas-y. Ne perds pas de temps ». La femme était heureuse. Elle sentait que maintenant le miracle allait se produire. Elle a touché les pieds de Bouddha et a couru vers le village qui n’était pas très grand, très peu de maisons, quelques familles. Elle est passée d’une famille à l’autre, en demandant. Mais chaque famille a dit Non, il y avait déjà un mort dans notre maison. C’est impossible. Il n’y a pas une seule maison – pas seulement dans ce village mais partout dans le monde – il n’y a pas une seule maison où personne n’est jamais mort ». La femme s’est rendu compte que Bouddha lui avait joué un tour. C’était impossible. Mais l’espoir était toujours là . Elle continua à demander jusqu’à ce qu’elle ait fait le tour du village. Ses larmes séchèrent, son espoir s’éteignit, mais soudain, elle sentit un nouveau sentiment, une sérénité, lui venir. Elle se rendit compte que celui qui naîtrait devrait mourir. Ce n’est qu’une question d’années. Quelqu’un mourra plus tôt, quelqu’un mourra plus tard, mais la mort est inévitable. Elle revint et toucha à nouveau les pieds de Bouddha. Source de l’histoire Le livre des secrets, par Osho Alors, sommes-nous immortels ou non ? ! Depuis le début de la création, il n’y a personne qui aurait survécu toute l’époque de la création, sauf le Créateur. Il semble donc naturel que nous traversions le cycle de mort et de renaissance. En même temps, nous savons qu’au moment de la mort, notre Âme est libérée de la cage du corps. Dans chaque processus de mort, notre Âme quitte cette dimension pour entrer dans une dimension plus grande. C’est comme si nous étions l’eau dans un verre ; au moment de la transition, notre verre est versé dans un plus grand bol d’eau – avec de nombreux autres verres les Âmes qui font également la transition. Le processus d’intégration dans des dimensions de plus en plus grandes se poursuit jusqu’à ce que nous atteignions la dimension du Créateur. Cette évolution n’est-elle possible que par la mort ? N’est-il pas possible que nous prenions progressivement conscience de dimensions de plus en plus grandes jusqu’à ce que nous atteignions la dimension du Créateur ? Il semble que MT Keshe parle du point de vue de la dualité et du niveau de la matière. Il parle de l’évolution de l’âme de la forme physique du niveau de la matière vers le niveau fondamental, de la dualité vers la réalisation de l’unité. L’évolution de l’Âme de l’homme ne se termine jamais, car le Créateur aussi est en évolution éternelle. Nous avançons avec Lui, sauf si nous avons mené des vies contraires à l’éthique et n’avons rien donné en retour à la Terre Mère ». MT Keshe Pendant notre transition hors de la dualité, à chaque point de la mort, la façon dont nous avons vécu, dont nous avons utilisé nos talents décidera si nous nous dirigeons vers une dimension supérieure ou que nous nous désintégrerons en diverses particules d’énergie dispersées dans l’univers. La Mort nous sépare-t-elle? Sur le plan physique, nous sommes définitivement séparés d’une personne qui meurt. Sur le plan fondamental, dans la dimension de notre Âme, la séparation n’a jamais eu lieu ou n’aura jamais lieu. Comment peut-il y avoir séparation quand il n’y a pas d’espace? Donc, oui, nous allons revoir tous ceux que nous avons aimés et connus. Nous pourrons rencontrer notre grand-mère qui est morte alors que nous n’avions que 6 ans. En fait, nous ne pouvons jamais être séparés de ceux que nous avons aimés, une fois que nous avons été connectés à eux, nous le serons toujours ; la connexion ne peut pas cesser. Nous comprenons maintenant que notre souhait même de nous connecter à eux empêche la connexion parce que notre souhait est basé sur la croyance que nous sommes séparés et qu’il n’y a pas de connexion. C’est exactement comme on ne peut pas ouvrir une porte qui est déjà ouverte ! C’est vous qui, par votre souffrance, créez la séparation ; alors pas de deuil ! Priez plutôt pour eux, donnez-leur de votre Âme et dites-leur qu’ils peuvent prendre ce dont ils ont besoin. Et un jour vous les rencontrerez à nouveau, un jour ils reviendront. Ne cherchez pas la connexion physique, allez trouver la connexion avec l’Âme. N’essayez jamais de demander à une autre Âme de revenir – au contraire donnez toujours de votre Âme pour élever leur Âme, afin qu’ils puissent trouver la paix, puis attendez qu’ils viennent à vous de leur plein gré ». MT Keshe D’ailleurs, lorsque nous rêvons de quelqu’un qui est passé dans une autre dimension, c’est la preuve que nous sommes connectés. Sur le plan fondamental, nous avons été, sommes et ferons éternellement partie de l’Âme du Créateur ; mais pendant notre transition de la dualité vers la réalisation de l’unité, nous pouvons avoir la perception valable d’un chemin qui nous rapproche de plus en plus du Créateur – et nous pouvons le parcourir. Un jour, l’homme deviendra sage, car il n’y a pas de mort, il n’y a jamais eu de mort. S’il y avait eu la mort, il n’y aurait jamais eu de création, car le Créateur n’aurait jamais existé ». MT Keshe La Création de l’Âme et de l’homme Sylviane Burzala FanigliuloMercredi 6 janvier 2021sur facebook Le 30 Décembre, était invité sur une chaîne italienne, Radio Visione Le thème était la rencontre de la Science et de l’Âme. Où se trouve l’Âme? Chaque homme a une source à l’intérieur de lui-même, l’Âme. Elle est le centre de sa vie. Elle contrôle toutes les fonctions vitales comme la respiration, le pouls, la pression sanguine, la digestion etc. Elle pourrait également contrôler toutes les fonctions ’volontaires’’ – mais le pouvoir de décision dans ces domaines restent avec le ’libre arbitre’’. L’Âme est comme le soleil a un système solaire; les rayons du soleil ne peuvent pas être diminués mais obstrués. L’interaction des champs du soleil avec l’environnement de la galaxie crée le système solaire avec toutes les planètes. De la même façon est créée l’Âme en interaction avec l’environnement terrestre l’ensemble des organes et autres parties du corps humain. De la même façon que nous ne pouvons pas avoir un système solaire, sans avoir le soleil au centre, nous ne pouvons pas avoir une forme physique, quand la source, l’Âme se trouve à l’extérieur. L’Âme de l’homme est à l’intérieur de la structure de l’homme. Et son interaction avec les champs de la Terre, et l’environnement de la Terre, crée l’homme dans sa forme physique. Le siège de l’Âme se trouve au croisement d’une ligne entre les deux oreilles et de l’autre entre le 3e œil et l’arrière de la tête. Le fait de savoir que l’Âme est à l’intérieur de nous, nous donne la pleine responsabilité de notre Âme et de notre propre conduite. En pourrait dire que l’Âme est la représentation du Créateur en nous. Comme le Créateur nous a créé à son image et nous a doté d’un libre arbitre, il nous a donné toute la responsabilité de notre vie. Sans le libre arbitre nous serions dans la même situation que les plantes et les animaux qui ne peuvent pas se décider contre le Salut Global, la volonté du Créateur. Nous avons donc la capacité d’utiliser notre corps et ses capacités de penser, parler et agir sur le plan matériel librement. Mais ces capacités physiques sont seulement des faibles reflets de nos capacités extrasensorielles, comme l’omniprésence, omniscience ou l’omnipuissance. Ces derniers nous sont seulement disponibles si nous sommes proches de l’Âme, parfaitement aligné au Salut Global. Aussi longtemps que notre libre arbitre décide à suivre un chemin égoïste, les pouvoirs extrasensoriels ne nous seront pas disponibles. Pour vivre notre plein potentiel – à l’image du Créateur – notre conduite doit suivre l’Âme, le Créateur. D’une certaine manière, chaque jour est le jour du jugement pour l’homme, maintenant que l’homme sait que son Âme est à l’intérieur de lui. Avec son Âme, l’homme a trouvé sa ligne de communication avec le Créateur et tous les autres éléments du monde à l’intérieur de lui-même. Par conséquent l’homme n’a plus besoin de personne pour lui dire comment contrôler et diriger son Âme – nous sommes donc arrivé à la fin de toute religion. La création de l’Âme et du corps Selon la compréhension conventionnelle notre existence débute lorsque l’ovule et le spermatozoïde se rejoignent. Chacun d’entre eux a sa propre Âme; mais quand ils se rejoignent, ils créent une nouvelle Âme commune, qu’ils partagent tous les deux. Mais selon les informations de la Science du Plasma et les enseignements de Grigori Grabovoï, la création d’une nouvelle vie se passe différemment – presque tout se passe avant la conception physique lorsque le sperme se fond dans l’ovule Le Créateur, dans un élan d’amour, a déjà tout créé; chacun des éléments avec un nombre infini de possibilités. Dans cette création tout est déjà compris, bien sûr aussi cette ’nouvelle vie’’. À un moment donné, deux Âmes amoureuses souhaitent de manifester une autre Âme dans un acte de co-création avec le Créateur. Cette co-création envoie un volume important de lumière informationnelle dans l’ensemble des possibilités du couple et leur souhait au moment précis de la co-création détermine laquelle des possibilités va se manifester. Puis la force de champs plasmique, l’Âme de l’ovule attire le spermatozoïde qui lui correspond. Et la suite est connue car elle se passe sur le plan matériel. Alors cette nouvelle Âme absorbe de plus en plus d’énergie du ventre de la mère. Et elle se divise et crée plus de cellules, chacune ayant une Âme. Et comme le nombre augmente, il se crée toujours un nouveau point de référence central, avec lequel toutes sont en équilibre et communiquent l’Âme collective. Ensuite, ces différentes Âmes, dans l’interaction avec le nouveau point de référence, vont construire le corps de l’homme, les bras, le visage, le cerveau et le reste; et l’ensemble va donner la structure du corps de l’homme. Et l’interaction des flux de champs du sang avec les champs de l’Âme de l’homme, au sein du cerveau, amène la création des émotions. Et c’est ainsi que la Vie est créée. C’est pourquoi nous ressentons nos émotions dans le cerveau. Le sang est un système de contrôle des champs plasma dynamiques. Il crée une cage pour maintenir l’Âme à l’intérieur du corps. C’est pourquoi, quand l’homme meurt et que la circulation du sang s’arrête, l’Âme de l’homme est libre pour prendre une nouvelle position. La vie après la vie Et selon le niveau de force, acquis par l’Âme durant la période de Vie sur Terre, l’Âme devient par la suite, la graine d’une autre planète, d’une autre étoile, quelque part dans l’Univers. Après la vie physique, quand notre Âme quitte le corps, elle prend une nouvelle position dans l’Univers, pour devenir le commencement d’un nouveau Soleil, le commencement d’une nouvelle Vie. Maintenant, nous comprenons le but de la naissance et de la création de l’Âme. Nous devenons une source, un soleil, une nouvelle Vie, à travers la Création. Nous sommes la graine, pour la création d’une nouvelle vie. Si nous n’avons pas vraiment profité de la chance que nous avons de nous préparer pour engendrer un nouvel univers, si nous n’avons rien donné, la structure de notre conscience est si faible qu’elle n’est pas suffisante pour créer une nouvelle vie. À ce moment-là la conscience peu structurée se décomposera comme le corps en canalisant ces fragments dans ce que le Boudhistes appellent ’Courant Mental’’. Et l’Âme retourne au Créateur. Dans la vie physique, nous créons des enfants. Quand notre Âme se libère du corps physique, dans les profondeurs de l’univers, elle devient la graine d’un nouveau soleil. Et éventuellement, elle devient le Soleil. Et ensuite, elle crée son propre système solaire. Et avec lui, elle créera sa propre existence. Elle deviendra le Créateur de nouvelles vies dans la dimension de sa force. Sur terre, sur le plan matériel, nous essayons de donner le meilleur à nos enfants, pour qu’ils aient une vie épanouissante. Au niveau de l’Âme, qu’espérons-nous de notre procréation? Ce que votre Âme porte, fera partie de la création de nouvelles vies. Ainsi, si on porte une mauvaise conduite dans cette vie ici, est-ce qu’on espère qu’une telle Âme pourrait créer dans l’espace, à travers le monde du Créateur ? Nous avons donc une très grande responsabilité vis-à -vis de notre Âme, par notre conduite c’est ça ce que nous amenons dans la création par la suite. D’une certaine façon, la terre est une pépinière pour de nouvelles Âmes, de nouvelles graines pour les espaces à travers l’univers. La Vie ne se termine jamais. L’interaction des champs ne se termine jamais. Ils se convertissent de l’un à l’autre. Dans le monde de la physique, nous parlons de la conservation de l’énergie. Dans le travail du Créateur, nous parlons de la conservation des champs magnétiques. Ils passent d’une énergie à une autre – c’est un processus éternel qui se déroule indépendamment si nous partageons la croyance collective de la mort – la grande faute – ou pas. Punition pour un comportement non éthique La punition est une invention humaine ; elle n’existe pas dans l’Univers ou dans la Communauté Universelle. Les membres de la Communauté Universelle comprennent le fonctionnement de la trinité Âme, âme de la forme physique/mental et du corps. Grâce à notre trinité, nous vivons sur trois niveaux simultanément le niveau fondamental de l’Âme, le niveau de transition du mental et le niveau physique du corps. Sur le niveau fondamental, où notre Âme vit, il n’y a aucune possibilité de se comporter de manière contraire à l’éthique ; de la même manière que le Créateur ne peut pas le faire. Au niveau matériel, le corps – pris pour lui-même – ne peut pas non plus aller contre l’éthique, car il est une extension de l’Âme. Comme tel, il partage ses qualités et ses connaissances. Il nous reste donc le niveau de transition ou d’énergie où vit le mental. Celui-ci est le seul qui peut – en raison de son libre arbitre » – se comporter de manière contraire à l’éthique. Mais le mental n’est quand même pas indépendant, il fait partie de la trinité, de notre structure fondamentale. En plus est-il la création de l’Âme, tout comme nous sommes la création du Créateur, doté des deux magnifiques éléments que sont la liberté et la responsabilité. Cela signifie que le mental peut délibérément désobéir à l’Âme et à l’éthique universelle, et un tel comportement a des conséquences directes sur sa relation avec l’Âme. L’Âme ne vit qu’au niveau fondamental du Principe Universel, le Bien pour Tous ; on pourrait dire que l’Âme reste en quelque sorte immuable dans le Principe Universel. Le mental, grâce à son libre arbitre, peut changer sa position. Nous avons dit que le mental est créé et maintenu par l’Âme. Grâce à cette connexion, le mental reçoit des conseils, des connaissances et de l’énergie pour soutenir son existence et faire son travail – maintenir l’existence du corps, dont l’Âme a besoin pour avoir du plaisir dans le monde en 3D. La connexion entre l’Âme et le mental est comme un élastique. Alors que l’Âme ne peut pas s’éloigner du mental, tout comme le Créateur ne peut pas s’éloigner de nous ; mais le mental le peut. Plus le mental s’éloigne de l’Âme, plus il met de la tension sur l’élastique, tout en limitant le flux de connaissances et d’énergie. Et à un moment donné, l’élastique ne peut plus supporter la tension et se casse. C’est ce que nous appelons la mort physique ». Les enseignements universels que nous recevons actuellement de M. Keshe sont en fait déjà déposés dans notre Âme depuis le point de sa création. Vu de cette manière, ils ne viennent pas de M. Keshe ; il est plutôt le messager qui nous pointe vers la connaissance que nous ne pouvons trouver qu’à l’intérieur de notre propre Âme. C’est donc le degré de proximité avec notre Âme qui décide si nous recevons les enseignements ou non. Le but de ces enseignements est de nous rappeler notre droit de naissance être les co-créateurs divins d’univers splendides, être omniprésents, omnipotents, omniscients et éternellement invulnérables. Donc, si le mental s’éloigne de l’Âme par un comportement non éthique, il s’interdit lui-même de revendiquer son droit de naissance. C’est comme si l’on était assis sur un fauteuil roulant et que l’on voyait un autre homme courir librement, profitant de sa balade à travers l’Univers. Et il regarde ses jambes mais il ne peut pas les bouger, il ne peut pas en faire partie. La plus grande punition » de l’Univers est donc d’être handicapé par l’amour – voir un homme aimer une femme, voir une mère aimer son enfant, et en être exclu, ne pas pouvoir aimer. Vous ne pouvez pas participer, vous ne pouvez pas donner ce que vous avez. L’amour est le seul attribut du Créateur. De cette manière, vous êtes le seul juge de votre propre conduite ». M. Keshe Pour résumer s’il y a une punition, c’est bien celle que vous vous infligez à vous-même en vous privant de la capacité d’aimer et de jouir. Et bien sûr, toute personne qui prend conscience de sa mauvaise conduite, qui regrette sincèrement et essaie de changer, change la situation dans son ensemble. Comme nous l’avons vu, l’Âme n’est pas intéressée par la punition » ou les conséquences » – le seul intérêt de l’Âme est le changement de l’état d’esprit, que la personne veuille revenir près d’elle. Cependant, à la suite de ce changement d’état d’esprit, les deux Âmes impliquées – l’Âme du bourreau et l’âme de la victime – doivent trouver un nouvel équilibre entre elles. Et cela peut prendre la forme d’un processus qui prend du temps et peut être progressif. Lorsque tout va très bien, dans le processus de changement et de recherche d’un nouvel équilibre, les deux Âmes peuvent être élevées et alors elles voient que tout le scénario était en fait à leur avantage à toutes les deux. L’élévation de l’âme Je comprends que l’élévation de l’âme » se réfère à l’âme de la forme physique/mental. Tout simplement parce que l’Âme est égale au Créateur et n’a donc pas besoin d’être élevée. L’élévation de l’âme de la forme physique ou du mental signifie essentiellement de transformer le singe hyperactif en un parfait serviteur de l’Âme. Pour faciliter cette transmutation, plusieurs voies sont ouvertes Les souhaits du Conseil Universel et de la Fondation Keshe Je donne librement de mon Âme à toutes les Âmes existantes, prenez ce dont vous avez besoin. Je suis présent. » Ce n’est pas une formule magique, ni une prière catholique. Si elle est faite automatiquement, elle n’aura aucun effet. Nous devons sentir ce que nous faisons tout du long comment nous le faisons, comment nous nous sentons quand nous le faisons ; nous devons aussi sentir l’interaction que cela crée. Les pratiques de Grigori Grabovoï Le champ de l’esprit est tellement étendu que le singe n’a aucune chance de recourir à ses stratagèmes habituels de blâmer, juger et se plaindre. Ces pratiques sont similaires aux danses sacrées de Gurdjieff. Les méditations d’Osho Osho a adapté bon nombre de ses méditations au mental occidental agité. Les méditations dynamiques, en particulier, nous aident à nous débarrasser de nos déchets mentaux afin que nous puissions devenir assez silencieux pour nous asseoir et méditer. Il existe de nombreuses autres techniques qui vont dans le même sens. Il semble important de mentionner que l’élévation de l’âme en termes de la Fondation Keshe et de Grigori Grabovoï va plus loin et va au-delà des simples méditations pour calmer le mental – elles interviennent dans la conscience individuelle et collective, changeant ainsi notre perception et notre réalité. Connaissances Universelles L’UEU en tant que système planétaire La prochaine étape sera la réplication d’un système solaire complet, avec de nombreuses planètes, chacune tournant dans sa propre direction et suivant sa propre orbite. La réplique d’un système solaire réel. Comme nous pouvons créer une véritable représentation de travail en 3D d’un système solaire, cela nous permettra de localiser n’importe quel point de l’univers où nous souhaiterions voyager. Une fois que nous pouvons voir » le point de destination, nous pouvons y être instantanément. L’UEU est de forme ovale ; il y a une raison à cela. En fait, tous les éléments de l’univers sont dans cette forme ovale. Ils ne sont pas circulaires. Une forme circulaire indiquerait un système statique alors que l’ellipse indique un système dynamique, en mouvement car les pressions Magrav sont différentes selon les côtés. Notre soleil comme toute la galaxie n’est pas statique dans la galaxie, mais il se déplace à l’intérieur de celle-ci et la galaxie se déplace elle-même. Un côté absorbe la pression de tout l’environnement tandis que l’autre émet les champs magnétiques. Lorsque nous regardons l’image de la NASA de notre univers, nous voyons plus d’éléments à la périphérie ; parce qu’il y a plus d’interaction de l’univers avec les autres univers à la périphérie. Nous verrons la même chose lorsque nous pourrons explorer les limites de notre propre système solaire – comme vous le voyez sur l’image, il y a aussi plus d’éléments à la périphérie. Prenons l’exemple de la nouvelle UEU-santé ; elle devra comporter deux sphères l’une est l’Âme du médecin et l’autre celle du patient. Les deux interagiront sur le plan fondamental, le niveau de perfection. Le souhait de l’Âme du médecin éclairera l’Âme du patient et cette interaction se manifestera dans la structure de la physicalité. Vous recevrez ce que vous acceptez pour élever l’âme de la forme physique/mental. Je me demande combien d’entre vous seront assez forts pour porter la force de l’âme à élever votre physicalité et avec ce souhait, vous entrerez dans la dimension du Créateur. » M Keshe Nous développerons cette citation dans le chapitre suivant Conscience et contrôle de la réalité. Ces nouvelles UEU, qui seront présentées en janvier, ne comporteront aucun contrôle ou autre technologie informatique, même l’éclairage sera absent. Changement de la conscience collective Cette technologie propagée par les nouvelles UEU permettra à l’humanité de faire un bond en avant. La puissance de ces unités va s’associer à l’effort de beaucoup d’entre nous, avant-gardistes, qui structurons leur conscience. Cette convergence peut rapprocher le point de basculement de la conscience collective, responsable de la perception des humains au niveau de la matière. Alors nous nous réveillerons le 21 mars 2021 et nous auront totalement oublié toutes nos fautes du passé, et ouvrons nos bras saluant le nouveau jour, où nous brillerons tous de la pure lumière de notre Âme. Voir les champs et non les réacteurs M Keshe nous rappelle sans cesse de ne pas regarder les magravs, les réacteurs et les GaNS, de ne pas regarder le support de la matière mais de nous ouvrir aux champs, l’agent actif, qui crée et fait bouger des systèmes sur le plan matériel. C’est une étape importante, car pour comprendre les enseignements présentés depuis la semaine dernière KSW356, nous devons nous mettre en position de voir les champs et non les supports matériels. Dans un temps de transition, nous utilisons toujours le GaNS pour mettre les forces de champ universelles dans une condition où elles interagissent avec et pour nous. La petite sphère rotative montrée dans le dernier enseignement KSW356 était alimentée par le soleil central au centre de la grande sphère ou bol ; elle montrait son positionnement et mouvement à l’aide du point de référence, le soleil au centre. Maintenant nous allons apprendre comment remplacer ce soleil central par notre Âme. De cette façon, les champs ou l’âme de la petite sphère seront produits par l’interaction du soleil central avec son environnement, de notre Âme avec l’inertie de la Terre. Ensuite, il serait possible, si nous le souhaiterons, de condenser le plasma de la petite sphère plus qu’elle se présente sous une forme matérielle pour que nous puissions la voir et en profiter. Sur l’image nous voyons l’environnement des champs de notre planète hachure rouge, dans lequelle les rayons fondamentaux paquets d’énergie de l’Âme du créateur sont en interaction avec notre Âme le soleil ; cette interaction conduit à la création de la petite sphère hachure bleue. Ce sera notre souhait qui déterminera la manifestation de ce que nous voulons le mouvement, la matière ou la vie. Et bien sûr, la grande question demeure qu’est-ce que nous devrons changer en nous pour que nous soyons effectivement capables de faire apparaître l’argent exact, le pourboire inclus, dans la paume de nos mains à la fin d’un dîner entre amis dans un restaurant ? Dans notre exemple, l’Âme voit l’objet de son souhait à travers les yeux et l’Âme de la physicalité le mental crée l’argent pour le payer. La vision du Nouveau Monde Réalité objective Si nous arrivons à introduire dans la conscience collective le concept de l’impossibilité de l’anéantissement, que tout le monde peut être ressuscité et que toute vie est éternelle, alors c’est exactement ça ce qui se passera. Car lorsqu’une telle croyance fera partie de la conscience collective, elle deviendra stable et commencera à être perçue comme la réalité objective. Tout le monde va voir la vie éternelle comme maintenant tout le monde voit la mort! C’est pourquoi nous agissons en tant qu’Humanité unie; dans cette optique nous travaillons directement sur notre conscience personnelle mais aussi sur celle de toute la collectivité. Alors nous provoquons des changements dans notre perception individuelle de la réalité et aussi dans la façon dont toute la race humaine perçoit la réalité. Et une fois que nous aurons passé le point de basculement, où la conscience collective sera elle aussi entièrement structurée – tout le monde verra le même monde parfait en même temps. Si nous comprenons que l’homme a été créé pour la vie éternelle et que personne ne doit mourir en principe, si chaque personne considère la vie éternelle comme naturelle, la vie deviendra naturelle, et la réalité physique sera exactement comme cela. Puisque l’image dans notre conscience structurée forme l’image physique. C’est ainsi que la réalité physique est créée. C’est la façon de créer une vie éternelle vraiment heureuse. La résurrection et la vie éternelle La résurrection est la restauration du corps physique après la mort. La biologie nous enseigne que la plupart des cellules dans notre corps se renouvellent tous les 7 ans et nous avons appris que notre conscience recrée notre corps physique au rythme de 1017 fois par seconde. Pourquoi ne pourrait-elle pas le faire enc ore une fois après la mort du corps physique ? Lorsque l’homme ressuscitera son corps après la mort, son corps sera parfait et sain. De plus, la résurrection lui permet de revenir avec toute les compréhensions de la vie qu’il vient de quitter et toute les compréhensions de ses vies antérieures. La résurrection peut alors être un outil extrêmement puissant dans le processus d’évolution de l’homme. La résurrection et la vie éternelle dans le corps physique, permettent à l’homme d’évoluer indéfiniment dans la phase de réalisation. La réincarnation était le processus adapté à la phase de dualité sur le plan matériel elle n’est plus adaptée dans la phase de réalisation où elle est remplacée par la vie éternelle. Vu par le Créateur, l’homme est éternel. Notre tâche consiste donc maintenant à apporter cette connaissance du Créateur à l’homme afin qu’il se rend compte de sa propre éternité. Dans cette optique, la résurrection est vue comme un retour à l’éternité du tout. La résurrection et la vie éternelle sont la manifestation de l’harmonie universelle du monde. Au plus profond de son cœur, chacun de nous sait que la résurrection universelle des morts est encore à venir l’homme, une fois créé, ne peut être anéanti parce qu’il est une composante active, intégrale au monde entier. Et en créant l’Âme éternelle, qui à son tour crée le corps, le Créateur a créé un corps éternel comme reflet éternelle de l’Âme. Pourquoi est-il nécessaire de donner la priorité au corps physique et de le rendre indestructible ? Pourquoi la tâche consiste-t-elle maintenant à faire prendre conscience à l’homme de sa véritable l’éternité ? Eh bien, la possibilité qu’on peut détruire le corps, ouvre la porte que l’homme peut manipuler un autre homme en le menaçant de la mort. Si le corps physique est indestructible, le chantage devient absurde prison, exécution, famine, empoisonnement, etc n’ont plus aucune réalité. La violence et la mort ne peuvent pas non plus être utilisées pour punir. Voilà le véritable fondement de la paix éternelle sur terre. Alors si nous voulons œuvrer pour la Paix la meilleure façon serait d’arriver à structurer notre conscience au point où nous sommes inviolables – cela devient encore plus crucial dans le scénario d’installation du ’nouvel ordre mondial’’! Aujourd’hui, lorsqu’il y a un conflit entre des peuples ou des pays, la force est souvent utilisée pour résoudre le problème. La plupart du temps, la mort biologique de l’ennemi est utilisée pour éviter d’aller à la racine du problème, d’aller aux vraies causes. Par conséquent rendre le corps physique indestructible et notre vie éternelle doivent être notre priorité. Ce faisant, l’homme pourra assurer les véritables bases de son développement harmonieux à intérieur et à extérieur. Quand le monde extérieur est tout à fait apaisé, l’homme réalisera alors que le Créateur et l’Univers tout entier sont là pour l’aider, lui et son développement, à tout moment. Cela lui permettra de donner une réelle valeur à sa vie, qui deviendra joyeuse et heureuse. Lorsque nous nous regardons de plus près, nous constatons que nous avons déjà beaucoup d’ »éternité » en nous nos pensées sont éternelles ; et avec elles, tout ce que nous pensons, disons et faisons est de nature éternelle. La lumière de l’éternité est constituée de telle manière que l’homme la reproduit, la recrée. Et plus cette lumière se diffuse vers la réalité extérieure, plus nous regardons à travers les yeux éternels du Créateur, plus nous verrons combien d’aspects de notre monde sont éternels. Plus nous sommes capables de percevoir l’éternité, plus nous prendrons conscience de notre propre éternité. Lorsque nous structurons notre conscience, nos pensées seront de plus en plus chargées de lumière informationnelle et deviendront de puissants bio-signaux. Nous verrons que nos pensées commencent à produire la lumière de l’éternité, puis nous voudrons bien sûr augmenter le volume de lumière rayonnée vers la réalité extérieure, et diriger nos pensées vers l’éternité, et vers les technologies du développement éternel. C’est ce que nous faisons lorsque nous transférons ces informations de l’éternité par nos pensées vers les autres éléments de l’univers. Même pendant ce processus nous allons déjà comprendre que nous rayonnons comme des soleils dans l’univers. Nous pouvons commencer à considérer l’éternité comme un phénomène de tous les jours quand nous apprenons de la biologie que toutes note corps renouvelle toutes ses cellules tous les 7 ans. Et encore plus quand nous considérons qu’on effet le taux de rafraîchissement de notre corps complet est de 1017x/sec. Le renouvellement des cellules ne passe pas par la mort; ce n’est pas qu’une cellule meurt et après elle est recréée; comme l’arbre perd ses feuilles en automne pour repousser d’autres le printemps prochain. Ça ne se passe pas comme ça; il n’y a pas de mort. Nous comprenons maintenant que tous nos cellules sont déjà éternelles de par leur nature. Et en considérant l’organisme entier de la même manière, nous voyons que lui aussi est éternel. À ce niveau de conscience, notre corps change; les différents tissus de rayonnent d’une luminescence argentée. Nous pouvons alors étendre cette conscience de l’éternité à l’ensemble de la réalité à partir des éléments que nous savons éternel dans notre organisme. L’urgence de la vie éternelle n’est pas simplement une quête logique, mais elle est aussi l’expression de l’essence totale de l’homme, venant de Dieu, le Créateur, qui est éternel et c’est donc son souhait. L’éternité de l’homme est l’éternité de Dieu et la structure organisationnelle de l’homme. L’Homme et le Créateur Lorsque nous entrons en contact direct avec notre Âme, nous entrons simultanément en contact avec le Créateur. Ce contact se produit lorsque tout est fait en ayant à l’esprit le Principe Universel ou le Salut Global. Lorsque notre première tâche est le contact avec le Créateur, le Salut global, alors les tâches restantes deviennent très simples. Si on se met dans l’état du Créateur, on peut agir très facilement, sans jamais se fatiguer. En d’autres termes, nous pensons, parlons et agissons comme le Créateur. L’instant où nous commençons à diriger notre vie vers le Créateur, celui-ci et l’Univers tout entier viennent à notre aide. Ensuite, tous les événements s’alignent en synchronicité multiple. Nous sentons que nous sommes en plein dans la mission de notre vie et que la vie nous soutient dans cette direction. Tout devient simple, joyeux, harmonieux. Même lorsque nous hésitons, quand nous ne savons pas quoi faire, nous pouvons nous demander comment le Créateur agirait… Notre transformation actuelle, le Défi Corona, a lieu précisément dans la perspective où l’homme s’unit au Créateur. L’homme commence à devenir comme le Créateur, ce qui signifie qu’il n’est pas différencié de Lui en termes de réaction du monde extérieur. Si la conscience de l’homme est bien structurée, alors le plan matériel réagira aux pensées de l’homme exactement de la même manière qu’aux pensées du Créateur; le plan matériel se dépêchera volontiers aux souhaits de l’homme. Il est juste et bon de combiner nos actions avec celles du Créateur; il ne devrait pas y avoir de différence entre l’œuvre de Dieu = l’œuvre de l’homme . Dans ce processus, le moment viendra où nous aurons la certitude de vraiment faire partie du Créateur. L’homme est fait pour créer et harmoniser. Par conséquent, les enseignements actuels favoriseront naturellement le Salut global Principe universel, le développement harmonieux, la résurrection/vie éternelle; tout en assurant les conditions d’un développement éternel harmonieux de tous les éléments de la réalité selon les desseins du Créateur. Si notre conscience change, le monde entier change Lorsque notre conscience sera plus structurée, le monde extérieur et le monde intérieur ne seront plus perçus étant différent. L’état dans lequel nous sommes habituellement ne peut plus être le même. Pendant le processus de structuration, notre état de conscience va constamment fluctuer entre certaines limites en corrélation avec le niveau de notre développement à ce moment-là . Bien sûr, il peut arriver que notre état de conscience ordinaire passe soudainement à un état de conscience relativement élevé. À ce moment-là , la personne éprouve ce que nous appelons Samadhi », une extase, un incroyable sentiment de joie de vivre. Il est en fait impossible de décrire cet état avec des mots, il faut en faire l’expérience. Par une véritable aspiration spirituelle, une compréhension profonde et une pratique régulière et soutenue, nous pouvons atteindre ce niveau où nous serons toujours dans un état de conscience élevés. En fait, la différence entre notre état de conscience réel et notre plein potentiel est si énorme qu’on pourrait dire que la personne a passé à un autre niveau d’existence. Car il faut garder à l’esprit que le corps humain est un système, capable de s’améliorer infiniment. Et il est difficile d’imaginer l’homme à l’heure actuelle à son plein potentiel. Lorsque nous mettons les êtres réalisés sur un piédestal Jésus, Bouddha, Shiva, Eckard Tolle, Osho, M. Keshe, Grigori Grabovoï – nous nous faisons croire qu’ils sont spéciaux et que leur position est inaccessible pour nous – alors pourquoi se donner la peine d’essayer ? Vérifiez si vous êtes pris au piège de la même idolâtrie ; et échappez immédiatement ! Emotions “L’interaction entre l’âme et l’âme de la physicalité esprit crée une lumière que nous appelons émotion ». M Keshe L’Émotion de la vision Nous devons être capables de créer suffisamment de champs dans la direction de l’âme de la forme physique vers l’Âme pour que la barrière des acides aminés dans le cerveau de l’homme n’existe pas. Ensuite, dans tout votre corps, vous ressentirez l’émotion de l’Âme. Il ne s’agit pas de l’interaction entre les deux âmes, mais le but de cet enseignement est d’avoir une seule émotion pour les deux systèmes. Ensuite, les deux peuvent travailler ensemble pour produire à l’unisson le corps parfait pour n’importe quel environnement donné dans les univers ». M. Keshe Nos sens physiques En dehors de notre planète, dans l’espace profond, nous ne pouvons pas utiliser nos sens, car nous voyageons avec notre Âme et pendant cela notre corps est suspendu. De plus, lorsque nous rencontrons nos frères et sœurs de la Communauté Universelle, nos sens et les informations qu’ils fournissent n’ont pas beaucoup de valeur. C’est pourquoi nous devons accéder aux émotions correspondantes afin de nous orienter, de communiquer et de nous amuser. Même si nous connaissons les émotions de la présence, de la position et de la connaissance, il se peut que nous ne puissions pas voir, ce à quoi elles se réfèrent. Par exemple, une personne peut être capable de voir l’Âme en tant que lumière, alors que notre mental n’est pas encore assez structuré pour la percevoir. Notre langue a des expressions comme être aveugle à certaines choses » ou ces choses seront dans notre angle mort » – dans ces situations, nous ne pouvons pas voir certaines choses parce que les filtres de notre conscience, ne nous le permettent pas. Tout ce que nous pouvons voir Regardons maintenant de plus près nos yeux perçoivent les informations provenant du niveau de la matière en forme des pixels A. Ensuite notre mental avec notre conscience interprète les données visuelles pour synthétiser une image mentale ou une perception D. Nous savons que pour notre conscience, les données visuelles du monde matériel A ont le même degré de réalité que l’imagination C. Mais il existe une troisième source d’information tous les éléments de l’univers ont une Âme, qui existe sur un niveau supérieur au niveau de la matière. Si notre conscience est assez structurée, elle peut percevoir des informations de n’importe quel élément au niveau énergétique et au niveau fondamental également B. Si nous voulons voir ce que l’Âme voit, nous devons aller au-delà du niveau de la matière, au niveau de l’énergie ou fondamental – et ce que notre Âme voit n’apparaîtra que sous la forme de lumière ou sentiment. Au début, notre mental n’est peut-être pas capable de déchiffrer les informations, mais notre Âme le peut. Notre conscience doit donc s’ouvrir à ce domaine de perception, si elle veut y participer. On pourrait dire que nos yeux fonctionnent comme un pont entre l’Âme et le physique. Ce pont est utilisé lorsque nous nous souvenons de nos rêves. Quand nous rêvons, notre Âme interagit avec une autre Âme. L’Âme transfère les informations de cette rencontre à nos yeux ; et par ce canal, elle a accès au cerveau physique pour les traduire et les synthétiser en images reconnaissables. Nous accédons à ces images lorsque nous nous souvenons de notre rêve le matin suivant. Probablement l’Âme utilise la même voie dans les expériences de mort imminente lorsque des personnes sont physiquement mortes sur la table d’opération mais leur conscience sort de leur corps. Alors elles peuvent percevoir aussi clairement qu’avec les yeux ouverts ce qui se passe dans la salle d’opération et parfois même au-delà de cet événement espace-temps. Vision de l’âme Nous savons maintenant que l’Âme utilise beaucoup les émotions; ceux-ci peuvent contenir et transférer d’énormes quantités d’informations. Et elle peut les envoyer au filtre du mental qui traduit les émotions en informations visuelles, comme dans un rêve. Mais il y a des pertes dans cette traduction, le résultat ne contiendra pas tout. Alors parfois, nous ne pouvons pas comprendre nos rêves nous voyons les images et n’avons aucune idée comment les interpréter ou les comprendre. D’autres fois, nous pouvons même avoir une mémoire claire mais non-visuelle de ce que nous venons de rêver – un sentiment très vif -, mais nous sommes totalement incapables de le communiquer – même si nous le voyons encore ! Cela signifie que notre Âme fait ce qu’elle est censée faire, mais nous sommes si loin d’elle ou si peu habitués à son langage que nous ne comprenons pas. Nous ne pouvons pas reconnaître ce que nous ne savons pas et nous ne pouvons pas voir ce que nous ne savons pas. Il est donc crucial d’en savoir plus pour comprendre et voir plus. Ainsi, en suivant cet enseignement et les pratiques pour structurer notre conscience, nous pouvons voir de plus en plus de choses exceptionnelles parce que ces enseignements ouvrent notre mental à de nouvelles dimensions ; et notre Âme est déjà excitée d’utiliser cette nouvelle liberté. Souvenez-vous aussi que l’Âme ne comprend que les émotions ; c’est pourquoi un sentiment de bonheur est la condition ainsi que la confirmation d’un souhait que nous avons fait. Lorsque nous nous attardons sur le sentiment que nous aurons lorsque notre souhait sera réalisé, c’est à ce moment-là que notre souhait se charge au point qu’il se matérialisera. M. Keshe raconte qu’il voit les gens sur deux niveaux simultanément il voit l’apparence physique, ce que la personne veut montrer, et il voit l’Âme ; il percevra donc la différence entre les deux s’il y en a une. Il peut voir quand une personne ment, mais il ne peut pas le dire à la personne, car il n’est qu’un observateur, un pur témoin – il n’interférera pas. C’est un gage de maturité que de pouvoir voir à la fois au niveau physique et au niveau de l’Âme ; et en tant que tel, c’est un excellent outil pour structurer notre conscience. Nous ne verrons pas une seule Âme à la fois mais une multitude d’Âmes – et ça sera comme regarder un feu d’artifice. Tellement beau que nous allons nous poser la question Pourquoi ai-je été aveugle à cela pendant si longtemps ? » Et il est possible que sur le plan physique, avec nos yeux d’acides aminés, nous voyions au même moment un groupe de personnes qui souffrent. L’Âme ne peut pas souffrir, elle peut seulement dissiper sa lumière comme le soleil. Dans l’émotion de la vision, nous pouvons voir la présence de tout dans son spectre entier, alors qu’avec la vision physique, nous ne pouvons voir que la petite section permise par la force des acides aminés, une sorte de vision tunnel biaisée. L’émotion de la vision est également le navigateur dans nos voyages spatiaux par l’Âme. À l’aide de notre Âme nous pouvons aller/être à n’importe quel endroit que nous pouvons voir – voir par notre Âme et pas par nos yeux. C’est alors la maturité ou le degré de la structuration de notre conscience qui décidera de ce que nous pouvons voir avec nos émotions – et y aller si nous le voulons. Donc le plus notre conscience est structurée, le plus les Univers s’ouvrent devant nous! Le Sentiment de Réaction Le sentiment de la connaissance + le sentiment de la vision = le sentiment de la réaction Le sentiment de la réaction permet à la forme physique et à l’Âme de s’engager ou de s’impliquer dans quelque chose ou non. Si je me vois dans une position où ma présence et mes connaissances peuvent créer un danger pour moi ou pour les autres, alors je me retire de cette situation grâce à ma vision. Cette discrimination peut signaler un danger, mais aussi des visions trop belles », qui peuvent être beaucoup trop fortes pour nous. Alors nous nous en aveuglons, parce que notre sentiment de réaction nous protège. Donc, dans les deux cas, le sentiment de la vision attrayante ou répulsive par rapport à notre sentiment de la connaissance décidera si nous souhaitons ou non nous manifester physiquement dans une situation que nous rencontrons. Bien sûr le sentiment de réaction dépend dans son fonctionnement beaucoup du degré de la structuration de notre conscience. Un sentiment de réaction peut limiter notre liberté si il est alimentée par des systèmes de croyances collectives ou il peut expenser notre liberté jusqu’à nous voyons que nous sommes des êtres éternels jouissant d’un monde éternel ! Comment le Créateur est créé L’Âme du créateur est créée de l’ensemble des Âmes qu’il a créées et qui ont conduit à sa création. Il faut des milliards d’années pour créer une étoile à partir de l’interaction de deux champs, créant un nouveau plasma qui, en interaction avec tous les autres champs, crée le premier atome ; qui, en interaction avec tous les autres atomes, crée des molécules… puis de la poussière et enfin, des millions d’années plus tard finalement l’étoile est née. Nous faisons la même chose en 9 mois dans le ventre de la mère ; c’est ce qu’est l’Âme, c’est ce que l’Âme est capable de faire. L’illumination ne change pas le cerveau ou le mental, elle ne fait que donner plus de puissance au programme qui est en cours la conscience ». M. Keshe Le Sentiment de la Connaissance Sentir la connaissance L’Âme contient toutes les connaissances de l’univers et, au-delà , toutes les connaissances du créateur. Nous n’avons pas besoin d’aller à l’école, nous devons seulement nous accorder l’accès à l’Âme et immédiatement nous sommes ce que nous appelons omniscients. Laccès à notre Âme passe par la structuration de notre conscience. Comme nous ne sommes pas nés accidentellement en tant que Chinois, Africain ou Européen, c’est l’Âme qui choisi l’environnement d’inertie dans lequel notre corps va prendre forme, déterminant ainsi la race et les conditions dans lesquelles nous allons grandir. L’Âme contient également toutes les lignes temporelles, tous les champs de force du temps selon lesquels notre développement physique et mental se déroulera. L’Âme sait intrinsèquement à quel âge commencer à communiquer, à quel moment ouvrir la faculté de pensée abstraite mental et à la conscience. Il semble que l’Âme, dans son action naturelle, non entravée par le mental non structuré, modifie la conscience fournit de nouveaux logiciels de l’enfant afin qu’il puisse entrer dans les différentes phases de son développement. L’Âme lui ouvre une porte après l’autre. C’est-à -dire que l’Âme sait ce qu’elle sait et fournit cette connaissance au mental via une expansion naturelle de la conscience. C’est donc l’émotion de la connaissance qui entre en jeu. À un certain âge, nous devenons intrigués de savoir pourquoi nous nous mouillons en jouant sous la pluie, pourquoi la pluie en hiver tombe en flocons de neige, etc. Nous ne nous contentons plus d’observer les faits ; une nouvelle source de plaisir s’ouvre à nous le plaisir de savoir ce qui se passe derrière les choses que nous observons, quelles sont les forces qui se cachent derrière les apparences et qui les font bouger. Ce nouveau désir est compris par l’Âme ; en fait il vient de l’Âme, il est planté par l’Âme comme un grain pour de nouvelles allées de découverte de ce splendide monde en 3D. Lorsqu’elle voit que le souhait est reçu, elle ajoute les connaissances nécessaires pour satisfaire ce nouveau désir. Du côté du mental/conscience, l’enfant commence à être intrigué par une nouvelle partie du monde oh, je souhaite vivement explorer comment cela fonctionne » et il commence immédiatement à utiliser le logiciel correspondant, déjà fourni par l’âme, pour satisfaire ce nouveau désir. La phase où l’enfant demande pourquoi ceci et pourquoi cela, est très important ; et l’enfant saura tout de suite si la réponse qui lui est donnée est sincère et adéquate ou non ; il sent si la connaissance de la réponse est correcte, utilisable et utile – il se sert du sentiment de la connaissance. Nous avons dit que l’Âme est le réservoir de toutes les connaissances pertinentes, donc les parents et l’enseignant n’ont pas à nourrir l’enfant de réponses mais à lui montrer le chemin où il peut trouver ses propres réponses à l’intérieur de lui-même ! L’émotion est un immense réservoir de connaissances Dans les articles précédents, nous avons déjà élaboré les différents contenants de la connaissance, le langage étant le plus pauvre et les images et les sentiments les plus denses. Le parallèle se trouve dans le fait que le langage se rapporte au mental rationnel sur le niveau matériel tandis que les sentiments et les images appartiennent au niveau de transition et fondamental. L’Âme ne parle ni ne comprend les langues humaines; elle transfère et traite une quantité infinie de connaissances par le biais des images et des émotions. L’un des canaux de communication préférés de l’Âme est l’intuition; et l’intuition, comme nous le savons tous, travaille avec des sentiments et des images. Foire aux plaisirs intermédiaires Une fois que nous aurons accédé à l’entrepôt infini de connaissances dans notre Âme, puisque cette dernière est UNIE à l’Âme du Créateur, nous nous retrouverons au même niveau que le Créateur ayant accès aux mêmes connaissances et étant capable de la même créativité qui peut donner naissance aux Univers. Au début, nous pouvons trouver beaucoup de plaisir à essayer des choses comment ce serait si j’étais blonde et que j’avais les yeux bleus ? Comment me sentirais-je si je restais aussi longtemps que je le souhaite sous l’eau ou comment dormirais-je suspendu entre les branches de cerisiers en fleurs? Nous pourrons tout essayer, tant que cela ne va pas à l’encontre du Principe Universel. Mais ensuite, lentement, nous nous habituerons à nos nouvelles capacités et connaissances et nous nous en tiendrons très probablement à la forme physique avec laquelle nous sommes nés ; car notre Âme avait créé notre corps dans cette forme particulière parce qu’elle était la plus appropriée pour vivre NOTRE vie – dans le sens de tirer le plus de plaisir de nos expériences et bien sûr dans le sens d’être à l’endroit le plus approprié pour servir la totalité de l’existence. Servir la totalité de l’existence » signifie aider la totalité du monde à tirer le plus grand plaisir de ses expériences »! Il n’y a pas de sacrifice au sens classique du terme, pas d’abandon de son propre intérêt pour le bien des autres ou d’un idéal. Mais il y aura beaucoup de sacrifice au sens original le mot sacrifice vient du latin et signifie rendre quelque chose sacré » ; donc si je me sacrifie, je me rends sacré ! Dans ce sens, nous nous épanouirons en participant à l’élévation de l’Âme de tous les êtres. L’évolution de la connaissance Même si nous utilisons l’expression entrepôt de connaissances », nous ne voulons pas dire que le savoir universel est limité. Il ne l’est pas ; il fait partie de la création, ce qui signifie qu’il est infini comme la création elle-même. Et comme la splendide co-création du Créateur et de l’Homme est capable de créer des Créateurs, le processus de création n’est pas seulement infini et éternel mais il va tout le temps au-delà de lui-même Nous le voyons clairement en ce qui concerne la connaissance. Nous recevons les connaissances de l’Âme du Créateur. Les connaissances sont gratuites. Nous les multiplions librement. Et par le processus même de compréhension et de partage de ce que nous avons compris, la connaissance passe de l’Âme du Créateur à notre Âme. Au cours de ce processus, nous ajouterons naturellement nos couleurs qui nous viennent lors du processus. De cette façon, le réservoir de connaissances mentionné est depuis toujours et constamment en expansion. Ls connaissances s’étendent constamment et elles changent – et ne seront plus jamais les mêmes. Et il ne peut en être autrement, car les univers eux-mêmes s’étendent et tout en eux change constamment ! Lorsque nous acquérons des connaissances, nous partageons pour élever les autres. Et lorsque nous apprenons – peu importe de quelle source scientifique, dans quel domaine de connaissance ou de compréhension – alors nous sommes devenus le véritable chercheur de connaissances. Dans ce contexte, le rôle de la Fondation Keshe est de rapprocher l’humanité de cette vérité » M. Keshe Question d’Alexandre Comment pouvons-nous nous libérer de l’emprise de la physicalité en ce moment ? » C’est une question de l’état d’esprit. C’est la façon dont nous définissons et dont nous fonctionnons dans cet esprit. La beauté du nouveau cycle est que nous vivons dans la dimension de l’Âme et que nous choisissons de profiter de la forme physique quand nous le souhaitons. Le choix nous appartient ». M. Keshe Utiliser les connaissances On peut utiliser les compréhensions ou les connaissances de différentes façons. Généralement nous nous en servons pour accomplir ce que nous souhaitons. Nous avons appris que la réalité sur le plan matériel se manifeste par la Loi d’Attraction qui transforme les paquets d’énergie en provenance du cente de l’Unicos à l’aide de notre conscience en formes matérielles. L’élément décisif dans le processus est évidemment notre conscience – si elle est non-structuré, l’ensemble des manifestations va être le pot-pourri de phénomènes contradictoire qu’on voit autour de nous. Si, par contre, notre conscience sera structurée, nous allons vivre éternellement dans un monde joyeusement parfait. Il y a donc des connaissances constructives et non-constructives, parallèle à notre conscience qui, elle aussi, peut être constructive ou non. Heureusement ce sont seulement les pensées constructives, issu d’une connaissance structurée qui ont la force d’influer directement sur la réalité. Cela nous emmène au fait que l’utilisation la plus efficace et bénéfique des connaissances est le contrôle de la réalité. Le contrôle de la réalité Nous, dans notre monde Le monde est construit par le Créateur d’une manière à la fois simple et compliquée. Simple, car un très jeune enfant peut y vivre avec succès. Compliqué, parce que la réalité contient une variété infinie d’objets, une variété de formes, de couleurs, de sons, d’odeurs, etc. En outre, tous les éléments de la réalité sont reliés entre eux par des connexions informationnelles universelles ; chaque élément interagit avec les autres éléments pour trouver sa position équilibrée. Il semble donc que le monde soit compliqué à comprendre avec le mental rationnel mais simple à vivre. Comme nous faisons partie du monde, il est facile pour nous de contrôler le monde avec notre conscience qui, elle aussi, fait partie du monde. Le mécanisme de contrôle de la réalité est divin, il a été créé par le Créateur, et il fonctionne en permanence. Pour pouvoir l’utiliser, l’homme doit le connaître et apprendre à s’en servir. Pour apprendre à contrôler la réalité, nous n’avons pas besoin de la recréer, nous devons seulement ajuster notre instrument de contrôle de la réalité. Notre instrument de contrôle est le mental avec son système d’exploitation appelé conscience. Plus nous sommes capables de structurer notre conscience, plus nous commençons à construire notre vie en accord avec les intentions du Créateur. La conscience est notre outil Nous avons dit qu’il est simple de contrôler notre réalité. Dans le contexte, le terme contrôle de la réalité » a une interprétation sans ambiguïté, il signifie faire évoluer tout événement dans une direction constructive , c’est-à -dire dans l’esprit du Principe Universel tel que le Créateur l’a voulu. C’est comme si nous vivions avec tous les univers à l’intérieur d’une sphère et que nous pouvions simplement, avec notre petit doigt, changer l’ensemble à l’intérieur et à l’extérieur de la sphère – nos pensées peuvent changer le monde. Il est important de comprendre que notre conscience ne fait pas la différence entre ce que nous voyons avec nos yeux charnels et ce que nous voyons à l’intérieur de nous ; car pour notre conscience, la réalité matérielle et l’imagination sont équivalentes. C’est un principe fondamental. Ainsi, si nous pensons à quelque chose, tout en étant dans le bon état d’esprit et si notre conscience est suffisamment structurée, alors cette pensée peut se matérialiser et changer le cours des événements. La conscience est la structure qui permet à l’Âme de tout contrôler au niveau matériel. Grâce à la conscience, nous pouvons contrôler la réalité extérieure ainsi que les éléments internes, comme les sentiments ou la perception par exemple. Pendant très longtemps, l’humanité a cru qu’elle était limités à un très petit rayon d’action sur elle-même, les autres et l’environnement. Hypnotisés par la conscience collective, nous nous étions habitués à notre impuissance. Il est temps maintenant de redécouvrir notre potentiel infini. Dans le passé, nous pensions que notre pouvoir de contrôle reposait uniquement sur ce que nous pouvions faire sur le plan matériel, par conséquent l’efficacité de notre contrôle a été instable et incertaine. Maintenant que nous apprenons à fonder notre contrôle de la réalité sur la conscience, nous serons capables de créer tout ce que nous voulons. Tout événement peut se transformer en un événement favorable lorsque nous apprenons à augmenter la force du champ magnétique de nos pensées. L’approche visant à structurer la conscience est le fondement des enseignements de Grigori Grabovoï, qui visent le salut global et le développement harmonieux de tous. Comment structurer notre conscience Alors comment faire ? Nous commençons par nous mettre dans le bon état spirituel. Un peu de méditation, une reconnexion au corps, à la respiration. C’est très simple, il suffit d’être en contact avec soi-même, d’être conscient de soi-même. Plus vous pratiquez, plus cet état vous viendra naturellement. Jusqu’à ce qu’il devienne permanent. Il existe de nombreuses façons d’entrer dans l’état de conscience détendue. En voici une simple et efficace proposée par Hélène Laporte, l’excellente enseignante de Grigori Grabovoï Je vous invite maintenant à vous centrer et à faire ce qui est bon et juste pour vous détendre. Bailler, s’étirer. Connectez-vous à votre respiration. Sentez l’air aller et venir dans vos narines et vos poumons. Sentez battre votre cœur, sentez le sang circuler dans tout votre corps. Percevez votre corps en une seule impulsion. Sentez vos pieds, vos jambes, votre tronc, votre tête, vos membres supérieurs. Connectez-vous à l’ensemble de votre corps physique. Maintenant, équilibrez votre état émotionnel et énergétique avec votre intention. Approfondissez un peu plus l’état de confort de votre corps. Cette relaxation éveillée vous relie au niveau fondamental et informationnel de la réalité. Dans cet état vibratoire élevé, où vos pensées sont nécessairement lumineuses et en harmonie. Une fois que vous êtes dans cet état, tout ce que vous avez à faire est de visualiser, de ressentir ou même simplement de penser à l’événement pour le normaliser ou le matérialiser et laisser l’état de relaxation éveillée diffuser son énergie sur l’événement. Il va infuser l’événement sur le plan énergétique d’amour, de lumière, de paix et d’harmonie. Cette technique de contrôle de la réalité va devenir rapide et simple. Nous recevrons la confirmation si notre effort de normalisation ou de matérialisation a réussi au niveau des émotions – nous ressentirons un grand sentiment d’harmonie, d’amour, de joie, de paix ou de présence par exemple. Pour contrôler la réalité, il suffit d’introduire notre propre élément spirituel dans l’événement et de produire ainsi une plus grande harmonie. Plus notre spiritualité est évoluée, plus notre conscience est structurée, plus puissant sera notre contrôle de la réalité. C’est comme si on ajoutait de la lumière à l’événement et qu’on réorganisait ainsi sa structure de lumière. Vous pouvez percevoir cela au niveau optique, ou vous pouvez sentir un changement dans les sensations de votre corps ou l’apparition d’un nouvel état d’être. Vous pouvez visualiser l’événement au niveau normal ou simplement y introduire de la lumière et le laisser faire son travail. Il existe une infinité de façons de le faire. Nous changeons le monde et il nous change Toutes les structures du monde sont interconnectées, inclus nous mêmes. La conséquence est que nous n’avons pas besoin de penser à toutes les détails que nous voulons changer dans une situation donnée. Le moment où nous changeons un élément et où il normalise tout le reste suivra. C’est très simple. C’est ainsi parce que tout dans le monde est connecté à tout le reste ; donc, lorsque nous normalisons un élément, il change de position pour ainsi dire ; et tous les autres suivront. C’est comme être dans une sorte de toile d’araignée, qui envoie de la lumière d’un côté et toute la toile s’allume en même temps ! Lorsque nous nous concentrons sur un élément existant au niveau de la matière en étant dans un état de conscience détendu avec un esprit structuré, nous synchronisons en fait la réalité de l’état de la matière avec nos pensées. C’est-à -dire que nous transformons la réalité pour qu’elle prenne la forme de nos pensées. Notre conscience est créée par le Créateur à son image. Par conséquent, notre conscience est construite de telle manière que nous pouvons matérialiser tout objet de réalité dont nous avons besoin. Pour ce faire, il nous suffit de nous faire une idée constructive de la manière exacte dont le Créateur s’y prend. Et ainsi, des perspectives infinies s’ouvriront à notre créativité. Bien sûr, nous pouvons utiliser ces techniques de contrôle pour la vie personnelle, mais imaginez les répercussions lorsque nous les utilisons au niveau collectif pour améliorer la vie de l’humanité entière ! Le monde est fait de structures interconnectées. La modification de l’une de ces structures entraîne la modification de toutes les structures. La perception et la conscience font partie de ces structures. Ainsi, en changeant notre point de vue, nous modifions notre perception et notre interprétation de l’événement et donc de la réalité. Le point de vue change en fonction du degré de structuration de notre conscience. Par exemple, si nous voyons un accident de voiture, soit nous nous disons que c’est horrible, soit nous ne réagissons pas par un jugement et envoyons une impulsion normalisatrice. Cela signifie que nous changeons réellement la réalité en changeant de point de vue. Cela explique aussi pourquoi, en élevant notre niveau de conscience individuelle, nous élevons le niveau de la conscience collective tout entière. Le point de basculement La structuration de la conscience signifie l’augmentation de la densité de l’information, l’augmentation de la masse des données dans un certain volume. Une telle concentration de la conscience peut avoir des conséquences considérables. Lorsque dans le processus d’évolution de la personne, la concentration de sa conscience dans un certain volume atteint une certaine valeur, le monde bascule le mental reprend sa place naturelle et originelle – il redevient le plus parfait serviteur de l’Âme. Vous avez remarqué que ce mécanisme » fait en sorte que personne ne puisse abuser du monde pour son bénéfice personnel, son pouvoir, etc. Car le mental n’atteint ce pouvoir ultime que lorsqu’il se soumet à l’Âme, c’est-à -dire au Créateur. Il ne peut donc pas y avoir de réalité pour quelqu’un qui essaie de dominer les autres pour son bénéfice personnel – cependant il peut créer cette illusion et faire en sorte que les autres y croient aussi. Un mensonge ne devient pas vrai, même si des millions de personnes y croient ! En même temps, la structure du monde change et ce n’est plus le monde qui détermine la structure de la personne mais la personne elle-même qui donne le ton. À ce stade, nous commençons à vivre le véritable but de notre vie, nous commençons à vivre la vie d’être créé à l’image du Créateur. Lorsque la densité des informations contenues dans notre conscience est supérieure à celle de la conscience collective, alors la conscience collective ne nous limite plus ; nous sommes alors libérés des systèmes de croyance collectifs. Dès que la force de ce champ de conscience devient plus forte que celle du champ de matière et devient indépendante de ce dernier, l’homme devient intouchable et indestructible. Les pensées, les paroles et les actions de l’homme deviendront l’élément essentiel, primaire, et tous les autres objets matériels deviendront des éléments secondaires. Et ce sera le prochain niveau de notre évolution, où l’homme commence à créer sa réalité sans limites, il n’est plus soumis aux lois de la matière, il reprend sa place de co-créateur. Parce que le contrôle de la réalité se fait au-delà du niveau matériel, au niveau fondamental et énergétique, rien du monde matériel ne peut nous toucher. Nous pouvons donc travailler toute à fait à l’aise; à distance dans l’espace ou le temps. Faire confiance au processus La structuration de la conscience et le contrôle ultérieur de la réalité deviendront rapidement notre outil de base, nous permettant de normaliser immédiatement toute situation, même en cas d’urgence. Mais lorsque nous commençons à contrôler la réalité, notre conscience peut ne pas être suffisamment concentrée pour stabiliser le résultat. À ce moment-là , nous aurons des résultats, mais ils ne dureront pas. Ou alors, nous avons des résultats partiels. Par exemple, si nous nous efforçons de normaliser une catastrophe, nous ne pourrons peut-être pas la prévenir complètement, mais nous pourrons réduire son impact sur la vie. Nous devons donc continuer à travailler jusqu’à ce que nous ayons stabilisé le résultat. Si nous avons l’impression que cela ne fonctionne pas bien, c’est simplement que notre conscience n’est pas encore assez structurée pour avoir des résultats très efficaces. Nous devons continuer et persévérer ; le moment viendra où nous y arriverons. C’est inévitable. Sur notre chemin vers le contrôle de la réalité, avec un peu de pratique et de temps, nous pourrons sentir si notre conscience a atteint le niveau de contrôle de la réalité ou non ; et nous pourrons nous ajuster en conséquence. Le travail négatif’’ Il y a, pour ainsi dire, une partie négative du travail de structurer notre conscience. Nous devons apprendre à contourner les informations qui ne sont pas à la norme. Nous devons apprendre à ne pas prêter aucune attention à tout ce qui n’est pas à la norme. L’idée de guérir une maladie avec cette technologie, par exemple, nous demande simplement de ne pas considérer le manque de connaissance qui a causé la maladie. C’est quelque chose comme un contournement dans un sens très concret, voire spatial la partie qui n’est pas à la norme est positionnée à un endroit particulier. Si vous savez cela, vous ne devez tout simplement pas entrer dans cet espace avec votre attention ou votre pensée. Si vous ne nourrissez pas les éléments qui ne sont pas à la norme avec votre attention, elle ne peut pas se matérialiser pour vous. Pourquoi ? Parce que la loi de l’attraction ne matérialise que les choses sur lesquelles nous avons porté notre attention. Si l’Âme est en contrôle, elle envoie la pré-pensée que l’esprit, par sa conscience structurée, transforme en pensée structurée qui génère alors une matérialisation à la norme. Si, par contre, les croyances collectives prennent le dessus, elles provoquent des déformations. Il est donc juste et bon de ne pas analyser ou même de penser à ce qui n’est pas à la norme ; nous ne devrions pas nous en soucier du tout. Ce que nous devrions plutôt faire, c’est envoyer immédiatement une impulsion pour contrôler la réalité et aller de l’avant sans s’en soucier. Voici un exemple vous vous promenez et vous voyez un trou devant vous. Vous reconnaissez que c’est un trou dans lequel vous allez tomber si vous ne faites pas attention ; et immédiatement – sans même y penser ! – vos pieds le contournent. Il est également vrai que vous ne pouvez pas travailler avec un négatif ; vous ne pouvez pas vous forcer à ne pas voir ou à ne pas penser à quelque chose. Mais on peut remplacer une réaction par une autre réponse; on peut cultiver le réflexe d’émettre un bio-signal normalisant dès que l’on est confronté à un événement qui n’est pas à la norme. Avec le temps et la confiance dans le processus, notre impulsion constructive remplacera lentement le vieux réflexe de ressentir l’attrait des crimes, des catastrophes, etc. C’est comme remettre l’événement inharmonieux sur le chemin de l’éternité. Tout ce qui s’est égaré, nous le ramenons au centre. Nous le remettons sur le bon chemin et nous envoyons de la lumière. Plus on s’éloigne de la voie du milieu, plus on a besoin de connaissances, plus on a besoin de lumière. Pour permettre à un événement de se normaliser, notre conscience doit constamment le projeter à la norme. L’événement négatif lui-même peut nous aider sur le chemin chaque événement qui n’est pas comme nous le voudrions, contient cette information négative mais il a aussi une autre facette tout ce que nous n’aimons pas nous dit en même temps ce que nous aimons. Nous avons donc le choix de regarder soit le côté sombre, soit le côté lumineux. Nous avons le choix de la direction vers laquelle nous dirigeons notre attention. Nous éliminons simplement la possibilité que quelque chose de mauvais puisse se produire en dehors de notre conscience ; et nous gardons seulement toutes les possibilités de ce que nous aimerions qu’il arrive. En fait, lorsque nous sommes bien formés, la solution vient avec le problème et nous commençons à normaliser la situation instantanément, dès qu’elle se produit – les yeux fermés. Pourquoi ça marche Nous pouvons voir que tout dans le monde a une nature particulaire et ondulatoire. Et tout se décide du côté de l’onde et le côté de la particule ne fait que suivre. Nous savons maintenant que nous devons créer une onde lumineuse résonnante, un bio-signal avec notre conscience, afin d’interférer avec le côté ondulatoire des événements. En d’autres termes, c’est une question de rapidité de traitement de l’information, une question de rapidité de pensée. Pour que la guérison se produise, par exemple, la vitesse de traitement des informations sur l’état de santé doit être plus rapide que la vitesse de traitement des informations sur l’état de la pathologie. Il suffit de s’attaquer à la partie ondulatoire de l’événement inharmonieux, c’est-à -dire la pathologie, pour qu’elle revienne à la normale. Ensuite, une fois qu’il est harmonisé, le côté particule doit suivre l’onde modifiée. Le processus de normalisation Normaliser un événement ne signifie pas le remplacer par un nouveau. Nous savons que tous les événements du monde ont déjà été créés par une impulsion d’amour dans la co-création du Créateur et de l’Homme. Ils sont toujours conformes à la norme et sont appelés prototype original . Ils existent au niveau fondamental et apparaissent comme des possibilités au niveau matériel. Chaque événement est créé avec un nombre infini de possibilités. Et c’est notre conscience qui choisit quelle possibilité sera matérialisée par la Loi de l’Attraction. Et le taux de rafraîchissement de la réalité est de 17x/sec. Ce prototype original contient la lumière informationnelle qui peut être transmise par une conscience structurée à un événement à normaliser. Dans ce processus, la lumière informationnelle fonctionne comme un pochoir qui superpose l’état normal d’un événement à un événement actuel qui n’est pas normal ; et le normalise de cette manière. Les séquences numériques fonctionnent exactement comme cela. Le Sentiment de la Présence Normalement, nous ne considérons pas la présence » comme une émotion, mais si nous y regardons de plus près, nous pouvons constater que nous sentons clairement si nous sommes présents ou non, elle est clairement un indicateur de notre alignement avec l’Âme, elle est clairement un indicateur de la structuration de notre conscience. Alors que les émotions les plus courantes sont principalement liées à des événements sur le plan physique, l’émotion de la présence se produit lorsque notre mental est en veille et que notre Âme prend le contrôle ! Dans la langue anglaise, nous avons le mot awareness » qui indique le même état nous ne sommes pas pris par des systèmes de croyances collectives, des déclencheurs émotionnels, etc. ; nous pouvons donc être présents à ce qui est sans aucun jugement ; une pure vigilance sans aucune implication personnelle. Dans cet état, notre conscience est structurée et notre perception est objective, non entachée par les filtres subjectifs d’une conscience non structurée. Habituellement, l’homme utilise les émotions pour contrôler l’Âme, c’est là que se situe le problème. Mais avec l’émotion de la présence, c’est une autre histoire. » M. Keshe Cela veut dire aussi que l’émotion de la présence est une des émotions les plus proches de l’Âme. Qu’est-ce qu’un rêve ? Normalement, nous considérons un rêve comme quelque chose d’irréel, une illusion. La science du plasma nous dit qu’un rêve indique une interaction entre notre Âme et l’Âme de la personne que nous voyons dans notre rêve lorsque nous dormons, ni l’âme ni le corps dorment, mais seulement le mental. Ainsi, pendant ce temps, la partie active du mental est suspendue et l’interaction de l’Âme avec une autre Âme est enregistré par la partie passive du mental. C’est pourquoi nous pouvons nous souvenir des rêves. Mais lorsque nous nous souvenons du rêve dans ce que l’on appelle l’état de veille », la partie active de l’esprit avec la conscience reprend alors le dessus et peut déformer ce que la partie passive a vu. Bien sûr, plus notre conscience est structurée, plus nous nous souviendrons de l’interaction originale entre les Ames. Rêve et voyage de l’Âme Dès que notre conscience sera structurée, elle ne superposera pas les croyances inconscientes à l’interaction entre les deux Âmes. À ce moment-là , nous nous souviendrons de la partie objective de l’interaction entre les Âmes. En même temps, nous pourrons interagir avec toute Âme que nous pourrions rencontrer dans l’espace au niveau objectif, celui de l’Âme. En fait cela veut dire que le rêve n’est qu’un évènement réel – les deux Âmes se rencontrent vraiment. Nous pourrons également percevoir les conditions de l’endroit où nous sommes arrivés dans l’espace et notre Âme, même sans l’implication de notre mental rationnel, adaptera notre corps en temps réel à la nouvelle condition de vie ; ainsi, nous restons parfaitement adaptés à l’endroit où nous nous trouvons à tout moment L’application de ces compréhensions changera toute notre civilisation car le même processus d’adaptation suivra même les changements les plus infimes de notre environnement – ici sur terre ou ailleurs – pour adapter immédiatement notre physique afin d’être toujours dans une condition physique parfaite et agréable. Le chauffage artificiel, l’éclairage, l’énergie pour les transports, etc. Et il y a un autre avantage à structurer notre conscience lorsque nous comprenons l’interaction entre deux Âmes, nous pouvons délibérément rêver de n’importe quelle Âme que nous souhaitons et nous la rencontrerons réellement ! En fait, pendant que nous vivons notre vie de vision tunnel », notre Âme est en interaction et en communication avec tout ce qui existe – seulement, nous n’en sommes pas conscients à cause de la vision tunnel ; nos croyances inconscientes surtout celles qui affirment que nous sommes limités filtrent la plus grande partie de celle-ci. L’Âme est toujours aux commandes en arrière-plan ; ainsi, lorsque nous disons oh, j’étais juste là quand ceci et cela s’est produit », la réalité est que l’Âme nous a emmenés là pour que nous puissions apprendre quelque chose. L’Émotion de la position Ici, sur le plan physique, nous nous orientons à l’aide de notre vision ainsi que des dispositifs d’orientation différée comme un GPS. Ces technologies ne sont pas utilisables dans l’espace. Cependant, l’Âme a la possibilité de percevoir la structure et la force de l’interaction avec d’autres entités, ce qui lui donne la possibilité de déterminer précisément la localisation réelle. Notre désir d’être en présence d’une certaine personne, est d’une intensité de champ plus élevée que la manifestation physique dans des endroits. De toute façon, les coordonnées où se trouve une personne ne sont pertinentes que sur le plan matériel. C’est donc l’intensité du champ de notre souhait qui nous mènera à l’Âme que nous désirons voir. L’émotion de la position, même si elle nous est largement inconnue, est assez fréquente dans le règne animal. Un exemple est la façon dont les lionnes chassent les antilopes chaque lionne sait exactement où se positionner autour du troupeau d’antilopes ; puis elles attendent et soudain elles se dirigent toutes vers une seule cible. Tout cela se passe en silence ; aucune des lionnes n’est vue en train de communiquer avec les autres pour coordonner la chasse. Elles connaissent simplement leur position individuelle par rapport à la position des autres lionnes et des antilopes. Nous voyons la même chose dans un essaim d’oiseaux ou un banc de poissons ; quand des centaines d’entre eux se déplacent comme un seul être. Les oiseaux migrateurs, en particulier les oies, savent où et quand rencontrer les autres, et chacun connaît sa place dans la volée et se déplace comme un seul être – personne ne dirige le contrôle des mouvements. Et comment les oiseaux trouvent-ils l’arbre exact où ils ont niché l’année précédente à leur retour? Nous pensions qu’ils suivaient les champs magnétiques de la Terre. Mais ces champs changent constamment, seul l’arbre reste en place ; il semble donc que les cigognes soient reliées à l’Âme d’un arbre particulier pour lui revenir. C’est comme si l’arbre les appelle constamment – et elles suivent l’appel comme l’appel d’un amoureux. Nos pieds Nous trouvons également un système de positionnement dans nos pieds et dans l’oreille interne – le premier est responsable de l’équilibre du corps entier, le second du positionnement de la tête. Le pied, le petit orteil plus précisément, est le grand équilibreur. Il décide des proportions de notre corps, de l’emplacement de nos masses, de nos muscles et de nos organes et de notre position verticale. Et ces systèmes de positionnement fonctionnent de manière totalement indépendante de notre implication volontaire – l’alliance parfaite entre le corps et l’Âme. Les mains et les doigts Nos doigts sont nos antennes ; nous les utilisons pour absorber l’énergie de l’univers beaucoup plus rapidement que par tout autre moyen physique. Leur forme et leur position déterminent les énergies qui sont absorbées et la manière dont ces énergies doivent être converties. Nous émettons également des énergies de manière ponctuelle.
croyanceque tout objet a une ame en 5 lettres - 4 rÉponses : * Les résultats sont triés par ordre de pertinence avec le nombre de lettres entre parenthèses. Cliquez sur un mot pour découvrir sa définition .
Les symboles égyptiens anciens et leur signification Rempli de nombreux mystères et d'une grande spiritualité, la mythologie et la culture des anciens Égyptiens sont certainement une partie importante de l'histoire de la civilisation. Certes, dans une mesure limitée seulement, nous sommes aujourd'hui en mesure de comprendre les hiéroglyphes décrivant les événements qui se sont produits pendant l'âge des dit, la connaissance du symbolisme égyptien est essentielle pour mieux comprendre cette époque. Pour ceux qui se demandent, voici les symboles égyptiens anciens les plus importants et leur signification Ankh, le symbole de vie égyptien. En tant que symbole le plus couramment utilisé parmi les symboles égyptiens anciens, l'Ankh qui est également connu sous le nom de croix ansée par les chrétiens coptes et représente la vie et l' a également été utilisé comme symbole de l'union entre les hommes et les femmes, en particulier l'union d'Osiris et d'Isis, dont on pensait qu'elle inondait le fleuve du Nil, apportant ainsi la fertilité à l'Egypte. C'est la raison pour laquelle l'ankh est aussi appelé la Clef du Nil. En plus d'être utilisé comme symbole du pouvoir purificateur et vivifiant de l'eau et de la clairvoyance la capacité de voir "l'au-delà ", l'ankh était considéré comme "la clé de l'éternité", "la clé du monde des morts".Parfois, les chevilles étaient dessinées sur les murs des temples, car on croyait qu'elles offraient une protection divine. L'Oeil d'Horus Aussi connu sous le nom de Oudjat, le symbole de l'Œil d'Horus représente la protection, la guérison, la bonne santé et le pouvoir est aussi connu comme le symbole de la lune. Les anciens Egyptiens croyaient que les amulettes portant l'Oeil d'Horus avaient des pouvoirs de d'Horus a également été utilisé comme un outil médical pour mesurer les ingrédients pendant la préparation des médicaments. Selon le mythe, Horus et Seth se battaient pour remplacer Osiris après sa mort et Seth a crevé l'œil gauche d' ou Toth guérit l'œil en utilisant la magie sur certaines parties et Seth offrit l'œil à son père, Osiris, pour le ramener à la vie. C'est la raison pour laquelle l'Oeil d'Horus est aussi connu comme le symbole du sacrifice. L'Œil de la Providence l'œil maçonnique qui voit tout sur les billets de banque en dollars américains est dérivé de l'œil d' vous souhaitez en savoir plus sur l'Œil d'Horus, également connu sous le nom d'Œil égyptien. L'Oeil de Rê Il existe différents mythes concernant l'origine du symbole de l'Oeil de Rê. Cependant, la plupart des experts croient que le symbole était en fait l'œil droit d'Horus et est devenu connu comme l'œil de Rê/Rê dans le temps. Les deux symboles représentaient pour la plupart les mêmes concepts. Cela dit, selon différents mythes, le symbole de l'Oeil de Rê a été identifié comme la personnification de nombreuses déesses dans la mythologie égyptienne telles que Wadjet, Hathor, Mut, Sekhmet et Bastet. Rê/Rê est le dieu du soleil dans la mythologie égyptienne. Par conséquent, l'Oeil de Rê symbolise le soleil. Ouroboros Ouroboros dans la mythologie égyptienne était l'un des symboles du soleil car il représentait les voyages d'Aton, le disque solaire dans la mythologie plus, l'ouroboros représentait la renaissance, la récréation de la vie et la perpétuité. Dans le Livre des Morts, "le serpent qui se mange lui-même/le serpent qui se mange la queue" est étroitement associé à Atoum, le premier dieu qui est né des eaux chaotiques de Nun l'eau primordiale dont toute la création a commencé en premier lieu, car il est né de ces eaux sous la forme d'un serpent qui se renouvelait chaque matin. Les Egyptiens ont transmis le symbole de l'ouroboros aux Phéniciens qui l'ont finalement transmis à la culture grecque. Le nom ouroboros a été donné au symbole par les connu sous le nom de symbole de l'infini, l'ouroboros est un symbole très utilisé dans le monde entier, y compris dans la mythologie nordique où il est connu sous le nom de vous souhaitez en savoir plus, cliquez ci-dessous pour lire notre article détaillé sur les ouroboros, le symbole de l'infini, son histoire et ses usages dans différentes cultures à travers l'histoire. Amenta Le symbole Amenta dans la culture égyptienne ancienne représente la Terre des Morts les Enfers.Amenta était à l'origine utilisé comme symbole de l'horizon où le soleil se couchait. Avec le temps, il a été utilisé pour représenter la rive ouest du Nil. Comme c'est aussi là que les Égyptiens enterraient leurs morts, on pense que c'est la raison pour laquelle amenta est devenu le symbole du monde souterrain dans le temps. Scarabée Le prochain sur notre liste est le Scarabée, l'un des symboles les plus importants de l'Égypte ancienne. Le scarabée Scarabaeus sacer, également connu sous le nom de Bousier, représente le soleil, la récréation de la vie/résurrection et la transformation. En voyant les scarabées bousier rouler des boules de fumier comme source de nourriture, les anciens Egyptiens croyaient que ces scarabées recréaient la c'était parce qu'ils confondaient les œufs pondus et enfouis dans le sable par les scarabées femelles avec les rouleaux faits comme source de nourriture. Par conséquent, ils pensaient que ces coléoptères "créaient la vie à partir de rien". Pilier Djed Le pilier Djed, également connu sous le nom de "colonne vertébrale d'Osiris", est le symbole qui représente la force et la stabilité dans la culture égyptienne est associé à Ptah, le dieu de la création et à Osiris, le dieu des enfers et des qu'il ait d'abord été connu comme le symbole de Ptah, le culte d'Osiris a adopté à temps le symbole du pilier djed. C'est de là que vient le nom "l'épine dorsale d'Osiris".Les Egyptiens croyaient que le pilier Djed était en fait la combinaison des quatre piliers qui retenaient les quatre coins de la terre. Tiet - Le noeud d'Isis Tiet/Tyet, aussi connu comme le nœud d'Isis et le sang d'Isis, est un symbole égyptien qui ressemble beaucoup au symbole ankh. Sa signification a également été interprétée comme étant similaire à celle de l'ankh. Il est supposé symboliser la était généralement identifiée à la déesse Isis et surtout utilisée avec le pilier ankh et Djed d'Osiris, c'est pourquoi elle était interprétée comme la double nature de la n'y a aucune information précise ou suggestion valable concernant le nom du Sang d'Isis mais il est supposé être donné à Tiet car il représentait le sang menstruel d'Isis et les pouvoirs magiques qu'il donnait. Symbole Ka / Esprit Ka Le symbole Ka dans l'un des symboles égyptiens les plus complexes utilisés dans les hiéroglyphes. C'est parce qu'il représentait trois concepts spirituels différents. Ka était le symbole de recevoir la vie d'autres hommes et dieux en plus d'être la source de ces pouvoirs et le double spirituel de tout homme mot "ka" signifie littéralement "esprit" ou "âme" et on croyait qu'il représentait l'âme que les déesses Heket ou Meskhenet insufflaient aux bébés à leur était aussi le double spirituel né avec chaque être humain. Il a vécu, mais il n'est pas mort avec cette personne et il a vécu aussi longtemps qu'il avait un endroit où vivre. C'est-à -dire, tant qu'il avait un corps dans lequel l'une des principales raisons pour lesquelles les anciens Egyptiens momifiaient leurs morts. On croyait qu'une personne perdrait la chance d'avoir une vie éternelle si son corps se décomposait, causant ainsi la mort de son ka. Ba En forme d'oiseau le plus souvent un faucon avec une tête humaine, le symbole Ba était représenté comme un oiseau quittant ou entrant dans la tombe de quelqu'un ou à côté de son corps mot "Ba" pourrait être interprété comme "âme" ou "esprit" bien que "manifestation spirituelle" serait une traduction plus parce que Ba est connu comme une partie de l'âme dans la croyance égyptienne ancienne. Plus précisément, on croyait que Ba était le caractère unique d'un se rapproche de la signification de "personnalité" par l'absence d'un meilleur mot. Selon cette croyance, même un objet inanimé pourrait avoir indiqué dans les Textes du cercueil, Ba a vu le jour après la mort d'une personne et a rejoint Ka, l'essence de la vitalité dans l'au-delà , tandis que certaines personnes croyaient qu'elle existait avant la mort et ont survécu à cette Žabkar, égyptologue de renom, suggéra que Ba qui ressuscita après la mort était la personne elle-même, l'existence physique de cette personne plutôt qu'un être immatériel. La plume de Maât La plume de Maât/Ma'at est l'un des symboles égyptiens les plus courants utilisés dans les hiéroglyphes. La déesse Maât représentait la justice dans la culture égyptienne et la Plume de Maât peut être vue dans le contexte d'"assurer la justice" dans les inscriptions parce que les anciens Egyptiens croyaient que leur cœur serait pesé contre la Plume de Maât dans la Salle des Deux Vérités lorsque leur âme entrerait dans Douât le Monde des Morts.Si son cœur s'avérait égal ou plus léger que cela signifierait qu'il était une personne vertueuse et qu'il irait à Aaru paradis dirigé par Osiris.Sinon, son cœur serait dévoré par Ammit, la déesse mangeuse d'âme, et il serait maudit pour rester aux Enfers pour toujours. Ouas Le symbole Ouas ou le sceptre Ouas était le symbole du pouvoir dans la culture égyptienne ancienne. Elle représentait la domination des dieux, c'est-à -dire une domination et une puissance divine plutôt qu'une puissance la croyance, elle assurait également la continuité de la prospérité d'un roi. Deshret Deshret, aussi connu sous le nom de Couronne Rouge d'Egypte, est le symbole qui représente la Basse Egypte, les terres de la déesse Wadjet. Il est également utilisé comme symbole de Kemet, les terres fertiles du territoire de Seth. Hedjet Hedjet la Couronne Blanche était l'une des deux couronnes de l'Egypte qui représentaient le royaume de Haute Egypte. Il a été combiné avec la Couronne rouge de Basse-Égypte, Deshret, pour former le Pschent, Double Couronne d'Égypte lorsque le pays a été unifié. Pschent Le Pschent était la Double Couronne d'Egypte composée de la Couronne Rouge et de la Couronne Blanche, Deshret et Hedjet représentant respectivement la Basse Egypte et la Haute Egypte. Elle représentait l'unité de l'Egypte et le contrôle total du pharaon sur toute l'Egypte. Anneau de Shen Shen est le symbole du cercle enroulé ou du cartouche dans la culture égyptienne ancienne qui représente la divinité. Il était surtout utilisé en Mésopotamie et en symbole, qui avait à l'origine la forme d'un cercle, était parfois utilisé comme cartouche. Ce type d'utilisation visait à représenter la protection que la personne dont le nom était écrit à l'intérieur du symbole Shen, le plus souvent un roi ou une royauté, était sous protection divine selon la croyance.  Uraeus Dérivé du mot "iaret" signifiant "le ressuscité", Uraeus est un symbole égyptien ancien significatif qui est fait d'un cobra montant. Le symbole d'Uraeus représentait le lien entre les dieux et les rois/pharaons et les pharaons étaient reconnus avec le symbole d'Uraeus qu'ils a également symbolisé l'autorité et la puissance absolues des dieux et des croyait qu'il donnait des pouvoirs magiques et assurait une protection magique à celui qui le portait. Seba Seba était le symbole des étoiles dans la culture égyptienne antique et représentait les dieux des étoiles ou la mythologie égyptienne, les étoiles étaient appelées "les disciples d'Osiris" puisqu'elles étaient identifiées aux âmes des morts dans Douât, l'Enfer. Lorsqu'il est dessiné dans un cercle, le symbole Seba représente Douât. Hekha et Nekhakha Dans la culture égyptienne ancienne, le symbole de l'escroc du berger était le symbole du pouvoir de l'État sur son peuple. Le mot "hekha HqA", qui est aussi une épithète d'Osiris, signifie "gouverner". De même, le fléau nekhakha était considéré comme le symbole du pouvoir royal. Le célèbre égyptologue Toby Wilkinson a suggéré que le symbole du fléau représentait le pouvoir coercitif d'un roi et son contrôle sur ses sujets. Colline Primordiale Le symbole primordial de la colline que l'on retrouve dans les inscriptions égyptiennes est l'un des symboles les plus anciens qui ont été utilisés. Les Egyptiens croyaient que cette colline avait créé des terres pendant le processus chaotique de la création. On pense qu'il a inspiré l'idée de construire des pyramides. Le Menat Associé étroitement à Hathor et Ihy, son fils, Menat était connu comme le symbole de la déesse Hathor. En fait, "le Grand Menat" était l'un des noms d'Hathor. Le symbole du Menat représentait la vie, la fertilité, la naissance, la renaissance, la puissance et la Égyptiens portaient des amulettes menat en espérant que cela apporterait prospérité, fertilité et désirez en apprendre d'avantages sur la mythologie égyptienneSi vous êtes amoureux de l’Égypte ancienne, n'hésitez pas à découvrir les bijoux égyptiensAidez vous du guide des tailles pour les bagues
Laquestion que vous posez, Michèle, me donne l’impression que pour vous, l’âme, « apparaîtrait », voire « entrerait » dans le corps, à un moment donné. Il me semble que la Bible nous propose une autre façon de voir l’être humain. La Bible parle de la « chair », c’est-à -dire de l’ensemble formé par le corps et l’âme, pour désigner l’être humain dans sa
Que se passe-t-il après la mort ? Où va notre âme ? Est-ce qu’après la mort c’est le néant ? Des questions, pour ma part qu’on devraient se poser plus souvent !Ce n’est pas évident de mettre les choses en perspective. Pour être honnête, la perception de la mort est plutôt subjective. Néanmoins, je vais essayer de formuler une thèse personnelle. En outre, je n’ai absolument pas l’intention de l’imposer comme la vérité absolue. Je partage une vérité, ma vérité, mais celle-ci n’est pas censée être la vérité. Ce qui compte, c’est d’en parler. C’est toujours intéressant d’aborder un tel sujet. On ne parle pas de la mort dans notre société ou si peu. La mort est si taboue… D’ailleurs c’est pourquoi de nombreuses personnes ont peur de la mort !Pour ma part, je pense que nous nous réincarnons. Je pense qu’il y a plusieurs couches astrales, vous montez, vous descendez. Nous devons comprendre les lois de l’univers pour vivre en harmonie. Portez atteinte à la loi divine nous fera courrir le risque de dégringoler…Donc reprenons ma théorie sur la vie après la mort. Pour ma part, ceux qui n’ont pas compris leurs erreurs retournent dans le bas astral, vous savez ce couloir où règnent encore les barbaries, là où l’homme manque cruellement d’intelligence. Comme un retour dans le passé. Imaginons l’époque de l’inquisition ou l’époque des nombre d’entre nous croient en la vie après la mort ! Pourtant, je constate le délabrement du monde. Comment penser, qu’après notre mort nous puissions recevoir ce que nous n’avons pas offert dans cette vie terrestre. En réalité, tout ça me semble illogique ! Nous sommes plus de 60% de la population à être convaincu d’une après vie. Pourtant, j’observe beaucoup de méchanceté. Comment l’expliquer, si nous sommes si nombreux à approuver l’existence d’une vie après la vie !C’est la beauté de l’âme qui influence les incarnations suivantes. C’est la pureté de l’âme, de l’altruisme, de la sagesse qui nous fait évoluer dans les sphères célestes et notre méchanceté qui nous fait descendre dans le bas exemple si une femme a fait souffrir un homme dans ce couloir du temps, elle retournera dans le couloir inférieur. Là où les hommes n’ont aucun respect pour les femmes. Les personnes bienveillantes, elles, seront projetées dans un monde rempli de sagesse et d’intelligence. Un monde évolué où il y a moins de souffrance. Où l’être humain vit en ma théorie, nous pouvons voyager dans le futur en Haut. Là où les hommes sont évolués ou retourner dans le passé là où les hommes sont cruels et incultes. Bien sur c’est une métaphore expliquant ma vision sur ce qu’il peut se passer après la mort !L’incarnation ne se fait pas dans le même couloir du tempsOn ne s’incarne pas dans le même monde à l’autre bout de la planète-là où les gens meurent de faim. D’aillleurs, j’y reviendrai après. Je pense que le voyage est temporel. Justement, l’erreur est d’expliquer le karma de manière simpliste et égoiste sur les gens qui meurt de se réincarneraient à tel endroit parce qu’ils auraient des choses à comprendre. Pour ma part, je n’y crois pas une seule seconde ! De mon point de vue, ces personnes naissent et vivent dans des conditions abjectes parce qu’il y a des hommes qui ont décidés de faire du mal dans ce monde ! Mais aussi, à cause de personnes totalement indifférentes à la misère d’autrui. Et comme la pauvreté fait peur ! On préfère ne pas la regarder et trouver des excuses pour ne pas s’en occuper !Chacun de nous sommes responsables de ce qui se passe à l’autre bout de la terre. Toute l’humanité et toutes les âmes de ce monde en prennent la responsabilité. D’ailleurs, je ne vous parlerais pas des âmes impures qui ont été réincarnés ici pour provoquer le chaos. Le devoir de ces infâmes est de faire régresser un maximum les êtres humains pour les réunir au plus profond des personne envoie un écho à l’univers et provoque une réaction en reviendrais sur eux dans un autre article. La question est pourquoi sont-ils dans la même incarnation que nous ? pourquoi ont ils réussit à ouvrir la porte du temps pour venir parmi nous ? Mais bon je ne vais pas m’égarer ici, je reviens sur ma fameuse question que se passe-t-il après notre mort ? . Qui sait, nos théories évolueront peut-être d’ici quelques est le but de votre vie ? Le savez vous ?Qu’est-ce que vous rechercher exactement dans cette vie ? allez au plus profond de vous-même. Qu’est-ce qui va ou ne va pas dans votre caractère ? Essayer de comprendre ce qu’il y a corrigé. Les remises en question sont difficiles mais nécessaire car elles sont un monde sans souffrance ni physique, ni psychologique où avez-vous besoin de faire souffrir ou souffrir en pensant que c’est une nécessité pour l’homme et continuez un cycle cruel. Qui êtes-vous ? pourquoi vous êtes ici ? quelle est votre mission sur terre ?l’au-delà dans les religionsBien évidemment, cela n’engage que moi ! Mais la religion, par exemple, nous offre sa perspective sur l’ pas le fonctionnement de la mort, ni de la vie. Comme toute théorie, vous devez être en mesure d’analyser les choses comme un tout et être exemple, la parole de Jésus a fait l’objet de nombreux effet, les Saintes Écritures n’ont pas été interprétées de la même façon d’une personne à l’ interprétations sont diamétralement opposées et il est malheureux que personne ne puisse s’écouter. Peut-être que c’est la vérité de chacun qu’il faudrait rassembler pour reconstituer le puzzle! Ce n’est pas en imposant sa propre vérité que nous saurons pourquoi nous vivons et pourquoi nous mourons…Pourtant, une seule chose était à retenir, le verbe aimer. Aimez-vous les uns les autres. Voilà pourquoi Jésus s’est sacrifié. Nous n’avons toujours pas compris le message divin. En effet, à aucun moment il nous a parlé de devoir souffrir pour avoir une belle âme. La souffrance apporte le mal et le traumastisme. Et ce, que ce soit pour la vie ou le passage de la contraire, il s’est sacrifié pour nous faire comprendre que la souffrance n’était que le synonyme de malheur, seul l’amour fera progresser de manière universelle les âmes. Par conséquent seul l’amour fera progresser l’humanité !La colère de Jésus contre les chefsJésus est devenu furieux lorsque les chefs des villages ont demandé à leurs fidèles de jeûner pendant plusieurs jours et d’effectuer des rituels contraignants. Ces chefs de la bonne parole n’ont même pas appliqué les règles qu’ils ont imposées à autrui. Faites ce que je dis mais pas ce que je fais. Un vieil adage qui n’a malheureusement pas a oublié totalement ses paroles de bienveillance. Dommage, nous serions beaucoup plus évolués. Nous ne saurions pas à la dérive si on avait compris le sens de son message Divin et de son sacrifice. Si on l’avait compris, aujourd’hui, il n’y aurait plus de guerre, ni de gens profitant de la souffrance d’ il n’y aurait plus de gens agonisant de faim et de misère. Mais surtout, il n’y aurait même plus d’ignorance à l’instant T où vous lisez ce texte. De nombreuses personnes commencent à le comprendre. Il n’y a pas de souffrance ou sacrifice nécessaire pour être élevé spirituellement. Toujours selon mon point de vue, c’est de la théorie des religions vis à vis de la souffranceD’ailleurs, quand je vois certains discours ça me hérisse le poil. Certains concepts New-Ages perçoivent la souffrance comme une bonne chose pour la spiritualité de l’homme. Cela expliquerait les nombreuses cruautés sur la planète. En faisant de tels raccourcis, nous acceptons le fait que des enfants meurent encore de faim ou de soif et que des femmes et des hommes continuent d’être victimes de ce fait on a bafoué la parole sacrée de Jésus. Il y a trop de gens indifférents à la souffrance d’autrui. Ces derniers se satisfont d’une réponse simpliste qui les dédouane complètement de la s’est passé 2020 ans depuis l’apparition du Christ. Il y a encore des détournements de ses sages paroles. Les gens s’égarent de plus en plus. Si nous continuons à faire semblent de ne pas comprendre ce que nous vivons, beaucoup d’âmes régresseront. Notre but ultime c’est de tous nous rassembler dans les plus hautes du coronavirus sur terre et des calamitésVous vous demandez pourquoi les portes du mal se sont ouvertes et Que fait ce virus sur cette planète ? Même si c’est une guerre bactériologique et que la COVID à été répandue de manière délibérée, cela se fait par effet papillon. On a fait résonner l’univers. Nous en sommes responsables. Si nous ne réagissons pas, si nous ne comprenons pas, ce sera compliqué pour beaucoup d’entre nous au cours de notre vie terrestre et les incarnations soyez plus indifférent à votre prochain. Personne ne demande à ce que vous fassiez partie d’une ONG. Par contre vos actes du quotidien vont permettre de contaminer une autre âme. L’ aide que vous allez apporter permettra d’avoir un écho positif dans cet univers. Cela s’appelle l’effet papillon. D’une manière ou d’une autre il y aura une réaction en condamnons pas les autres âmesPlus les gens seront indifférents ou méchants plus la cruauté ira en grandissant. Les personnes toxiques condamneront les âmes réincarnées ici et compliqueront leur mission. Pensez aux âmes à laquelle vous êtes liées et à celles qui leur sont liées. Pensez à votre mission d’âme. N’oubliez pas l’effet papillon et les réactions en chaines. Dans la sphère inférieure que ce soit au passé, au présent ou au futur. Nous sommes liés les uns les autres. Notre but est d’avancer tous ou le symbole de l’infiniCertaines doctrines nous ont amené à être dans l’erreur. En effet, elles se sont glissé à travers l’enseignement Divin. Même certaines écritures sacrées ont été falsifiées ou détournées en les interprétant de manière littéraire. En Égypte antique par exemple, les Égyptiens avaient le culte de l’âme, du passage du monde des vivants au monde des morts, le Ka survit après sa mort. Le Ka naît , c’est votre âme et le Ba est la transformation. La survivance de l’âme après la mort de manière répétée ou infinie. à l’image du serpent d’ouroboros, l’infini. Il faut comprendre les paraboles enveloppées de sagesse spirituelle et divine dans la rédemption et la réincarnationIl y a certaines paraboles qui parlent de la descente de l’âme dans la matière. Il y a les paraboles de résurrection. Des allégories concernant la rédemption et parlant aussi des hautes sphères Grèce antique il y avait une croyance sur les lois et les principes universels. Il y avait des écoles où on étudiait les lois personnes entraient en état de transe, ils avaient compris que l’on pouvait scinder l’âme et l’esprit… D’ailleurs, c’est le cas aussi des chamans. Il y a aussi certains cultes ésotériques pouvant nous offrir une forme de savoir sur le processus de mort… Certains médiums les vrais médiums ont relaté des expériences qu’ils ont pu faire en voyageant dans l’astral. Certains ont même la possibilité de communiquer avec ceux qui se trouvent dans le couloir supérieur. D’autres ont fait la mauvaise expérience de communiquer avec le bas astral. C’est le cas par exemple des médiums pratiquant l’écriture automatique ou la planche de oui civilisations anciennes ouvraient déjà la porte du tempsLe bouddhisme Tibétain possède une philosophie très intéressante. Les Tibétains ont une croyance fascinante. Il progresse spirituellement jusqu’au plan de super conscience pour atteindre l’illumination. Dans le livre Tibétain des morts, il y est expliqué les perceptions de la mort jusqu’à la renaissance. En Grèce antique, il y avait le culte d’Hermès. Les Grecs avaient déjà la croyance de l’immortalité de l’ était le gardien des portes. Selon cette croyance spirituelle, on pensait qu’Hermes pouvait enchainer les mauvaises âmes et les empêcher de se réincarner. Il avait même une divinité qui guidait les âmes jusqu’à leur nouvelle y a du bon à prendre dans chaque philosophie car elles possèdent chacune une sagesse spirituelle.
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croyance que tout objet a une ame
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