Noussommes le 16 Aoû 2022 04:44 : Index du forum » Forums Annonces » Hébergement dans les Pyrénées. Une cabane d'Ansabère effondrée. Modérateur: Pteam. Page 1 sur 1 [ 11 messages ] Sujet précédent | Sujet suivant : Auteur Message; cyril Sujet du message: Une cabane d'Ansabère effondrée. Posté: 11 Mar 2015 16:44 . Pyrénéiste: Inscription: 25 Avr

La Cabane Est Tombée Sur Le ChienAh le maudit samedi, enterrement du quinze de FranceAstérix était vêtu de noir catapultant les centurions gauloisSacrée gueule de bois pour nous ce Dimanche,Cardiff rime avec Waterloo nos joueurs aux laissez moi sortir du livre de mes souvenirsLes fantômes d’autrefois qui nous faisaient sourire,Reviennent sur le gazon tous ces forts garçonsQui chantaient l’Ovalie, guerriers et frères Spanghero ouvrent le défilé,Arrivent derrière eux les piliers de Béziers,Aguirre et Blanco arrières lumineuxSuivent les costauds tous grand Joinel accompagne Rodriguez,La montagne Benazzi chante la Marseillaise,Dintrans sonne la charge des avantsPaparemborde est toujours et Berbizier dirigent la manoeuvre,Cordorniou petit génie sème sa folie,Lagisquet, N’tamak, Estève filent vers la ligneL’essai pour tous est dans leurs retrouve ton génie,Laissez ceux qui parlent de combat,D’être méchants ; de faire mal,Retrouvez du Rugby le génie,Le plaisir du jeu, la joie des De L'ÉcritSyllabes Hyphénique La Cabane Est Tombée Sur Le Chienah=le=mau=dit=same=di=en=ter=re=ment=du=quin=ze=de=france 15as=té=rix=é=tait=vê=tu=de=noir=ca=ta=pul=tant=les=cen=tu=rions=gau=lois 19sa=crée=gueu=le=de=bois=pour=nous=ce=di=man=che 12car=diff=rimea=vec=wa=ter=loo=nos=joueurs=aux=a=bois 12a=lors=lais=sez=moi=sor=tir=du=livre=de=mes=sou=ve=nirs 14les=fan=tômes=dau=tre=fois=qui=nous=fai=saient=sou=rire 12re=vien=nent=sur=le=ga=zon=tous=ces=forts=gar=çons 12qui=chan=taient=lo=va=lie=guer=riers=et=com=pa=gnons 12les=frères=s=pan=ghe=ro=ou=vrent=le=dé=fi=lé 12ar=rivent=der=riè=re=eux=les=pi=liers=de=bé=ziers 12aguir=re=et=blan=co=ar=ri=è=res=lu=mi=neux 12sui=vent=les=cos=tauds=tous=vi=gou=reux 9le=grand=joi=nel=ac=com=pa=gne=ro=dri=guez 11la=mon=ta=gne=be=naz=zi=chan=te=la=mar=seillaise 12din=trans=son=ne=la=char=ge=des=a=vants 10pa=pa=rem=bor=de=est=tou=jours=vaillant 9gal=lion=et=ber=bi=zier=di=ri=gent=la=ma=noeuvre 12cor=dor=niou=pe=tit=gé=nie=sè=me=sa=fo=lie 12la=gis=quet=n=ta=mak=es=tève=fi=lent=vers=la=ligne 13les=sai=pour=tous=est=dans=leurs=cœurs 8ova=lie=re=trou=ve=ton=gé=nie 8lais=sez=ceux=qui=par=lent=de=com=bat 9dê=tre=mé=chants=de=fai=re=mal 8re=trou=vez=du=rug=by=le=gé=nie 9le=plai=sir=du=jeu=la=joie=des=en=fants 10Phonétique La Cabane Est Tombée Sur Le Chiena lə modi samədi, ɑ̃tεʁəmɑ̃ dy kɛ̃zə də fʁɑ̃səasteʁi etε vεty də nwaʁ katapyltɑ̃ lε sɑ̃tyʁjɔ̃ ɡolwasakʁe ɡələ də bwa puʁ nu sə dimɑ̃ʃə,kaʁdif ʁimə avεk watεʁlu no ʒuœʁz- oz- lεse mwa sɔʁtiʁ dy livʁə də mε suvəniʁlε fɑ̃tomə dotʁəfwa ki nu fəzε suʁiʁə,ʁəvjεne syʁ lə ɡazɔ̃ tus sε fɔʁ ɡaʁsɔ̃ki ʃɑ̃tε lɔvali, ɡeʁjez- e fʁεʁə spɑ̃ɡəʁo uvʁe lə defile,aʁive dəʁjεʁə ø lε pilje də bezje,aɡiʁə e blɑ̃ko aʁjεʁə lyminøsɥive lε kɔsto tus ɡʁɑ̃ ʒwanεl akɔ̃paɲə ʁɔdʁiɡe,la mɔ̃taɲə bənazi ʃɑ̃tə la maʁsεjεzə,dɛ̃tʁɑ̃ sɔnə la ʃaʁʒə dεz- avɑ̃papaʁɑ̃bɔʁdə ε tuʒuʁ e bεʁbizje diʁiʒe la manœvʁə,kɔʁdɔʁnju pəti ʒeni sεmə sa fɔli,laʒiskε, ntamak, εstεvə file vεʁ la liɲəlesε puʁ tusz- ε dɑ̃ lœʁ ʁətʁuvə tɔ̃ ʒeni,lεse sø ki paʁle də kɔ̃ba,dεtʁə meʃɑ̃, də fεʁə mal,ʁətʁuve dy ʁyɡbi lə ʒeni,lə plεziʁ dy ʒø, la ʒwa dεz- Phonétique La Cabane Est Tombée Sur Le Chienalə=mo=di=sa=mə=di=ɑ̃=tε=ʁə=mɑ̃=dy=kɛ̃=zə=də=fʁɑ̃sə 15as=te=ʁi=e=tε=vε=tydə=nwaʁ=ka=ta=pyl=tɑ̃=lε=sɑ̃=ty=ʁjɔ̃=ɡo=lwa 18sa=kʁe=ɡə=lə=də=bwa=puʁ=nu=sə=di=mɑ̃=ʃə 12kaʁ=dif=ʁiməa=vεk=wa=tεʁ=lu=no=ʒu=œʁ=zo=za=bwa 13a=lɔʁ=lεse=mwa=sɔʁ=tiʁ=dy=li=vʁə=də=mε=su=və=niʁ 14lε=fɑ̃=tomə=do=tʁə=fwa=ki=nu=fə=zε=su=ʁiʁə 12ʁə=vjε=ne=syʁ=lə=ɡa=zɔ̃=tus=sε=fɔʁ=ɡaʁ=sɔ̃ 12ki=ʃɑ̃=tε=lɔ=va=li=ɡe=ʁje=ze=kɔ̃=pa=ɲɔ̃ 12lε=fʁε=ʁə=spɑ̃=ɡə=ʁo=u=vʁe=lə=de=fi=le 12a=ʁi=ve=də=ʁjεʁə=ø=lε=pi=lje=də=be=zje 12a=ɡi=ʁə=e=blɑ̃=ko=a=ʁjε=ʁə=ly=mi=nø 12sɥi=ve=lε=kɔs=to=tus=vi=ɡu=ʁø 9lə=ɡʁɑ̃=ʒwa=nεl=a=kɔ̃=pa=ɲə=ʁɔ=dʁi=ɡe 11la=mɔ̃=taɲə=bə=na=zi=ʃɑ̃=tə=la=maʁ=sε=jεzə 12dɛ̃=tʁɑ̃=sɔ=nə=la=ʃaʁ=ʒə=dε=za=vɑ̃ 10pa=pa=ʁɑ̃=bɔʁ=də=ε=tu=ʒuʁ=va=j=ɑ̃ 11ɡa=ljɔ̃=e=bεʁ=bi=zje=di=ʁi=ʒe=la=ma=nœ=vʁə 13kɔʁ=dɔʁ=nju=pə=ti=ʒe=ni=sε=mə=sa=fɔ=li 12la=ʒis=kε=nta=mak=εs=tεvə=fi=le=vεʁ=la=liɲə 12le=sε=puʁ=tus=zε=dɑ̃=lœ=ʁə=kœʁ 9ɔ=va=li=ʁə=tʁu=və=tɔ̃=ʒe=ni 9lε=se=sø=ki=paʁ=le=də=kɔ̃=ba 9dε=tʁə=me=ʃɑ̃=də=fε=ʁə=mal 8ʁə=tʁu=ve=dy=ʁyɡ=bi=lə=ʒe=ni 9lə=plε=ziʁ=dy=ʒø=la=ʒwa=dε=zɑ̃=fɑ̃ 10 Commentaire Sur La Poesie18/10/2015 1633Claude408Tes souvenirs fleurent bon avec les fantômes qui chantaient l’Ovalie .Vive. le Sud Ouest le pays du Rugby Poème SportPublié le 18/10/2015 0918 L'écrit contient 167 mots qui sont répartis dans 6 strophes. Poete Coburitc Récompense Pourquoipas vous promener dans Saint-Quentin, admirer l’hôtel de ville et les lumières Art-déco la nuit tombée sur la grande place. Dans ce cas, nous pourrons vous conseiller un restaurant selon vos envies. Si vous ne voulez pas quitter votre cocon, commandez un repas-cocotte que nous vous apporterons dans la cabane. Le ciel est dégagé Ah le maudit samedi, enterrement du quinze de FranceAstérix était vêtu de noir catapultant les centurions gauloisSacrée gueule de bois pour nous ce Dimanche,Cardiff rime avec Waterloo , nos joueurs aux laissez moi sortir du livre de mes souvenirsLes fantômes d'autrefois qui nous faisaient sourire ,Reviennent sur le gazon tous ces forts garçonsQui chantaient l'Ovalie, guerriers et frères Spanghero ouvrent le défiléArrivent derriere eux les piliers de Béziers,Aguirre et Blanco arrières lumineuxSuivent les costauds tous grand Joinel accompagne Rodriguez,La montagne Benazzi chante la Marseillaise ,Dintrans sonne la charge des avants,Paparemborde est toujours et Berbizier dirigent la manoeuvre ,Cordorniou petit génie sème sa folie,Lagisquet , N'tamak, Esteve filent vers la ligne,L'essai pour tous est dans leurs retrouve ton génie,Laissez ceux qui parlent de combat,D'être méchants, de faire mal,Retrouvez du Rugby le génie ,Le plaisir du jeu la joie des enfants.
Pêchesur la terrasse au bord de l'eau ou navigue dans le formidable kayak - mais attention aux animaux sauvages ! Un loup et un aigle en briques rôdent dans les parages ! À la nuit tombée, détends-toi devant le feu de camp avant de plonger dans un sommeil réparateur, dans la douillette chambre mansardée. Et si tu as envie d'aventures
Merci à Edith Lawniczak pour cet article. Juliane Koepcke Juliane Koepcke avait dix-sept ans et voulait désespérément rentrer chez elle. Elle venait de terminer ses études secondaires à Lima et rentrait chez elle dans la station de recherche biologique de Panguana, que ses parents avaient fondée, au plus profond de la forêt amazonienne à environ 150 km au sud de Pucallpa. Elle vivait à Panguana, par intermittence, depuis trois ans avec sa mère, Maria, et son père, Hans-Wilhelm Koepcke, tous deux zoologistes. Leur vol était la veille de Noël 1971 et l’avion avait déjà sept heures de retard. Il était juste avant midi lorsque Juliane et sa mère ont finalement embarqué sur le vol. Le vol vers Pucallpa devait durer moins d’une heure. Environ 25 minutes après le décollage, le vol LANSA 508 a volé dans une zone d’orages et de fortes turbulences et l’avion a commencé à trembler violemment. Les compartiments supérieurs se sont ouverts, inondant les passagers et l’équipage de bagages et de cadeaux de Noël. L’avion aurait pu faire demi-tour mais il y avait une pression pour respecter le calendrier des vacances, et les pilotes ont donc continué à voler. Après une dizaine de minutes de secousses, Juliane a vu un éclair très lumineux frapper l’aile gauche. Elle a entendu sa mère dire C’est la fin, c’est fini. Immédiatement après, l’avion a commencé à piquer du nez. Il faisait nuit noire et les gens criaient, puis le rugissement profond des moteurs m’a complètement rempli la tête », se souvient Juliane. Lorsque l’avion est tombé, il s’est brisé, la séparant de tout le monde à bord. La prochaine chose qu’elle sut, c’est qu’elle était dehors, toujours attachée à son siège et plongeant dans la jungle en contrebas. Je pouvais voir la canopée de la jungle tourner vers moi. Ensuite, j’ai perdu connaissance et je ne me souviens de rien de l’impact », a-t-elle déclaré. Lorsqu’elle s’est réveillée le lendemain, elle s’est retrouvée entourée d’un feuillage dense. Il n’y avait personne d’autre. L’avion volait à une altitude de 6400 mètres lorsqu’il a heurté l’orage. Il s’est brisé à environ 3000 mètres et elle est tombée de cette hauteur. Sa survie était miraculeuse. Même ses blessures – une clavicule cassée, une entorse au genou et quelques entailles aux épaules et aux jambes – étaient mineures. Je suis allongée là, presque comme un embryon pour le reste de la journée et toute une nuit, jusqu’au lendemain matin », écrit-elle dans ses mémoires, When I Fell From the Sky , publiés en 2011. Je suis complètement trempée, couverte de boue et de terre, car il a dû pleuvoir pendant un jour et une nuit ». C’était le milieu de la saison des pluies, il n’y avait donc pas de fruits à portée de main à cueillir et pas de brindilles sèches avec lesquelles faire un feu. Malgré sa situation précaire, Juliane n’a pas ressenti de peur, seulement un sentiment d’abandon sans bornes ». Ayant passé trois ans avec ses parents dans leur station de recherche, Juliane a beaucoup appris sur la vie dans la forêt tropicale. J’ai reconnu les sons de la faune de Panguana et j’ai réalisé que j’étais dans la même jungle », a-t-elle déclaré. Son père avait appris à Juliane comment survivre au cas où elle se perdrait dans les sous-bois inhospitaliers. Cherche toujours un ruisseau », lui avait dit son père. Suivez le ruisseau jusqu’à une rivière. Les rivières sont les routes des Indiens Konibo, Shipibo et Cacataibo, des bûcherons et des propriétaires de plantations. Si vous vous perdez dans la jungle, les rivières peuvent être votre seul espoir d’atteindre la civilisation. Alors, s’armant d’un bâton pour éloigner les serpents venimeux, Juliane se mit à la recherche d’une rivière. Juliane portait une mini-robe très courte sans manches et des sandales blanches. Elle avait perdu ses lunettes sans lesquelles elle pouvait à peine voir. Elle a également perdu une chaussure mais a gardé l’autre pour tester le sol devant elle pendant qu’elle marchait. La première chose que Juliane a faite a été de chercher sa mère à proximité de l’accident. Mais elle ne trouva aucun débris. A quelques encablures, elle a trouvé un petit colis tombé de l’avion à l’intérieur duquel se trouvaient des jouets et un morceau de gâteau de Noël. Elle a essayé de manger le gâteau mais il était saturé d’eau de pluie. Mais il y avait un petit sac de bonbons dans le colis de Noël. Elle l’a rentré. La jungle était pleine de dangers. Des araignées et des serpents venimeux se cachaient parmi le feuillage. Dans l’air il y avait des mouches et des moustiques. Il y avait des fruits et des baies d’apparence délicieuse suspendus aux arbres voisins, mais Juliane évitait tout ce qu’elle ne reconnaissait pas car ils pourraient être toxiques. Juliane a rapidement trouvée une petite source et a commencé à la suivre, espérant qu’elle finirait par mener à une rivière. Le quatrième jour, elle a trouvé les premiers débris de l’accident – un banc avec trois passagers enfoncés la tête la première dans le sol. La vue des cadavres lui fit frissonner le dos. Le manque de nourriture, la chaleur, les piqûres incessantes des moustiques et ses blessures commençaient à l’entraîner vers le bas. Sa clavicule, cassée dans la catastrophe, devenait de plus en plus douloureuse chaque jour. La blessure au pied rendait la marche plus difficile à mesure que les jours s’écoulaient lentement. Mais elle a quand même continué. La rivière s’élargissait et coulait plus rapidement. Le 10e jour, elle trébucha au bord d’une grande rivière. Là, elle trouva un petit bateau amarré au bord de la rivière, et près du bateau se trouvait un chemin qui menait à une petite hutte. Il n’y avait personne à l’intérieur. Elle a trouvée un bidon d’essence et l’a utilisé pour prodiguer des premiers soins grossiers sur ses blessures. Elle s’est souvenue que son père soignait une infection par les asticots sur leur chien avec du kérosène et avait essayé la même chose sur ses blessures avec de l’essence. Dès qu’elle a versé de l’essence sur ses blessures, des dizaines d’asticots en sont sortis en rampant. Elle a retiré une trentaine d’asticots de ses coupes et s’est sentie immensément fière d’elle-même. Cette nuit-là, elle dormit sur les planches nues de la hutte. Le lendemain matin, elle avait l’intention de continuer à descendre la rivière, mais comme il pleuvait à verse, elle décida de se reposer un moment. Cette pluie lui a sauvé la vie. Quelques heures plus tard, un groupe de pêcheurs fait irruption dans la cabane et est interloqué par la vue d’une femme blanche hagarde couverte de plaies et à peine vivante. Les hommes ont soigné ses blessures et lui ont donné à manger. Le lendemain, ils l’ont emmenée au village le plus proche en bateau, et de là, elle a été transportée par avion à l’hôpital. Juliane Koepcke avait passé onze nuits dans la forêt amazonienne. Elle était la seule survivante du vol. Après son expérience déchirante, Juliane est retournée en Allemagne d’où ses parents sont venus. Comme ses parents, Koepcke a obtenu un diplôme en biologie et est retournée au Pérou pour faire des recherches approfondies sur les mammifères, en particulier les chauves-souris. Son histoire de survie a fait l’objet d’un film italien de 1974 intitulé Miracles Still Happen et d’un documentaire du réalisateur Werner Herzog intitulé Wings of Hope . En 2011, elle publie sa propre autobiographie, When I Fell From the Sky . Aujourd’hui mariée à Erich Diller, un entomologiste spécialisé dans les guêpes parasites, Juliane Diller dirige désormais la conservation fondée par ses parents. Panguana est aujourd’hui la plus ancienne station de recherche biologique du Pérou. La réserve abrite plus de 500 espèces d’arbres, 160 types de reptiles et d’amphibiens, 100 espèces différentes de poissons, sept variétés de singes et 380 espèces d’oiseaux. Source Amusing Planet Le documentaire du réalisateur Werner Herzog intitulé Wings of Hope ⇓
Cettecabane de charme est implantée sur un terrain arboré de 2000m². Elle est dotée de grandes fenêtres ouvertes sur l'extérieur et son toit vitré vous permettra d’admirer le ciel étoilé à la nuit tombée. Une jolie terrasse privative vous sera accessible pour les beaux jours, toutefois, pour les soirées plus fraîches vous disposerez à l’intérieur du logement d'un espace
Publié le 17 Mars 2020 par Cositas de toros Chère confinée, cher confiné. Nous y voila. Nous vivons une période inédite, angoissante sinon préoccupante où chaque jour bouleverse notre quotidien amenant son lot de directives, ordres et recommandations. Aujourd’hui, toute notre vie, notre organisation sont perturbées, bouleversées. Nous n’allons pas reprendre ici, les faits, les évènements ni les moyens et dispositions mis en place et surtout pas polémiquer, simplement aborder la situation liée au contexte et seulement dans le secteur qui nous est cher et qui nous réunit, le monde taurin. Chaque acteur du mundillo est plongé dans l’incertitude, chaque torero, chaque impresa, chaque ganadero. Les cartels, les ferias, les capeas… sont annulés ou reportés parfois à des dates qui semblent encore discutables voire incertaines. Nous n’en ferons pas la liste, les divers sites taurins s’en chargent. Tous les toreros matadors, novilleros, apprentis, tous bien préparés durant l’intersaison, voient, à plus ou moins court terme, leurs efforts et sacrifices anéantis en ce début de temporada. Nous pensons en particulier, aux plus jeunes, les novilleros en piquée ou non piquée, qui découvrent pour certains leurs débuts remis à plus tard, un contrat à Madrid, un premier habit de lumières… Aujourd’hui, les éventuelles solutions n’existent pas, les jours sont à prendre comme ils viennent, avec philosophie, facile à dire, hélas. La santé publique est en danger, des personnes meurent, nous ne l’oublions pas. Nous ne pouvons pas faire preuve d’égoïsme et pleurer sur notre sort d’aficionado. Mais je garde une sincère pensée pour tous les ganaderos dont beaucoup d’entre-eux vivent sur le fil du rasoir. Quid des toros, novillos, erales non "lidiés" ? La perte des ventes de leur bétail apportera en plus un surcoût de dépenses alimentaires et de frais vétérinaires. Voici la véritable solitude du ganadero qui survient dans ces temps hostiles. L’impact peut être autrement sérieux. Si l’homme a deux oreilles et une bouche, c’est pour écouter deux fois plus qu’il ne parle » affirmait Confucius… en théorie seulement car aujourd’hui nous parlons plus à tord et à travers que nous n’écoutons. Enfin, tout ceci pour dire que en dehors des oreilles et de la bouche, nous avons aussi un cœur. Il faudra le démontrer lorsque l’état de guerre sera levé, et nous, aficionados, nous nous ruerons au campo, soutenir nos ganaderos en organisant, chères peñas et clubs taurins, de belles journées. N’oublions pas que pour nombre d’entre-eux, nos visites ont aussi une valeur économique. Sortons de l’Enfer, lieu si "déplaisant" et vivement de nouveaux jours heureux ! PS. De mon canapé, je vous invite à lire, écrire, écouter de la musique, à trouver un nouveau rythme. C’est le moment de vous lancer dans de nouveaux hobbies et de réapprendre les bienfaits de la patience et de la réflexion. Cultivons la patience ! Gilbert Lamarque LACABANE A HUITRES, Mesquer-Quimiac : consultez 242 avis sur LA CABANE A HUITRES, noté 4 sur 5 sur Tripadvisor et classé #4 sur 11 restaurants à Mesquer-Quimiac.

Par Doudou13314682 0 0 May 22, 2014, 1147 pm De temps en temps j’ai envie de demander à mes meilleurs amis coronarographistes si après le cours d’anatomie intégré ils ont suivi le cours de physio coronaire…ouh ouh soeur endocarde vois tu du flux... View Article Par whiteshark 0 0 May 24, 2014, 613 pm avec cette analyse coronarienne en échographie on atteint le domaine de l’art View Article Par Benjamin 0 0 May 25, 2014, 527 am Flux très accéléré … Sténose serrée IVA distale résiduelle ? View Article Image may be here to view. Par philippe 0 0 May 25, 2014, 142 pm Bien vu Tout le problème est là… View Article Par philippe 0 0 May 25, 2014, 142 pm Ou du cochon? View Article Par philippe 0 0 May 25, 2014, 143 pm Le flux est effectivement très véloce, mais pas que… View Article Par Pascal 0 0 May 26, 2014, 138 pm Un flux uniquement protodiastolique avec une pente diastolique restante inexistante peut traduire un IR élevé soit par une sténose d’aval soit par une augmentation des résistances artériolaires... View Article Par philippe 0 0 May 27, 2014, 323 pm C’est ça! c’est la microvascualrisation d’aval qui est en cause ici, avec un aspect de no-reflow. Je suis sur que tu vas y arriver! il faut bien régler la machine, ne pas hésiter à ajouter un peu de... View Article

Date le 17.09.2015 – Hautes-Pyrénées – Départ: Germs-sur-l’Oussouet (950m) D’un accès rapide et facile, le Cuq Crémail est une jolie randonnée qui peut se faire à la demi-journée, son panorama au sommet est La frustration sublime … En pays d'Ovalie, on se plaît à manier la langue et les paradoxes, les coups de gueule et les coups de cœur, les comportements absurdes et les envolées lyriques. Rien n'échappe au verbe ovale et tout se prête à ses débordements généreux ou affligeants selon que l'on goûte ou non l'étrange confrérie de Rugby. Des expressions furent ainsi mises en avant par ces gens à l'accent chantonnant et à la langue métaphorique. Parmi celles-ci, comment ne pas évoquer la merveilleuse formule La cabane est tombée sur le chien, … et le chien est mort ! ». Elle relève du folklore d'un sport qui risque fort, en ce dimanche d'octobre de s'appliquer à lui-même cette belle devise. D'autant plus que, comme vous devez aisément l'imaginer, un coq qui se prend parfois pour un dindon a eu l'idée saugrenue de monter sur la sus-dite niche à chien pour chanter à la face du monde sa prétention extrême. Le dindon de la farce, parlons-en par la même occasion. Il est bon de tout mêler et il me semble de la première importance de vous toucher deux mots du drame qui sourd en mon petit club amateur. Je sais emprunter des chemins obscurs pour développer une pensée bien noire, c'est que la couleur est de circonstance et que la cabane, à défaut du ciel, nous tombe sur la tête bien avant que pareille mésaventure ne survienne au quinze de France ! Le canidé qui se prend pour un volatile si peu ailé, c'est le rugby amateur, dans le seul comité territorial de la région Centre. Des gens, d'une rare sagacité ou d'un profond mépris ont décrété que le jour de la Finale, les sportifs sous leur autorité indéboulonnable, allaient préférer le pré au canapé. Nous leur sommes reconnaissants de penser ainsi à nos santés souvent en danger dès qu'il est question de sport à la télévision ; l'abus de bières et de pizzas étant pour le moins détestable. Ainsi, à l'heure où la France entière profitera du triste spectacle de la probable déculottée magistrale, de notre équipe nationale, nous resterons à l'écart de chagrins éternels pour monter sereins et préservés dans un car. Nous échapperons au spectacle de la honte probable à moins que nous soyons privés, tous les espoirs sont permis, au renouveau soudain et magnifique d'une équipe capable du pire et en de rares occasions du sublime. Le pire, il nous est réservé. Punis de jouer au Rugby dans un comité qui navigue à vue sans regarder le calendrier international, nous allons nous nicher, dès dix heures, dans la cabine d'un car en nous déclarant à nous même La cabine est tombée sur les chiens galeux du sport amateur ! ». Rassurez-vous, nous garderons éternellement un chien de notre chienne à ces maudits décideurs régionaux qui nous ont privés de ce moment de communion nationale. Nulle récrimination ne parvient à leur porte, nul arrangement n'est possible. Gouverner c'est prévoir, ils comprendront bien vite qu'ils n'avaient pas prévu le pire ! Je vais hurler à la mort, vieux chien enchaîné dans sa niche miteuse. Je veux gueuler ma colère et mordre ces affreux bonshommes qui nous excluent de la célébration télévisuelle. Ils vont voir tomber sur leurs têtes toutes les plaintes de ce petit peuple en short sans lequel ils ne seraient rien. Ils vont recevoir le coup de pied de l'âne. Les mouches vont bourdonner à leurs oreilles et nous allons allumer le contre-feu de la révolte. Puisque nous n'avons pas les moyens de nous faire entendre, nous allons faire grand vacarme pour affirmer notre désappointement et mettre un poing » final et général sur cette affaire, comme parfois on sait le faire au Rugby. Dimanche, si rien n'est décidé d'ici-là, nous serons privés de l'évènement le plus important de notre sport qui n'a lieu que tous les quatre ans. Les responsables de ce crime de lèse-amateur seront châtiés, foi de combattant valeureux. Le chien n'est pas mort, il se relèvera enragé ! Aboiement leur. Vidéo Tex Avery - Droopy - Senor Droopy par thenelaware
Icivous pouvez lire La Cabane Magique, Tome 1 : La vallée des dinosaures. Vous pouvez également lire et télécharger de nouveaux et vieux complet E-Books. Profitez-en et vous détendre en lisant plein La Cabane Magique, Tome 1 : La vallée des dinosaures Livres en ligne. Posted by Unknown at 1:32 AM.
La cabane est tombee sur le chienLa cabane est tombee sur le chien, le chien est dans le coma et il n’est pas prêt de se reveiller… C’est a peu pres l’image que donne le PSG ce jour a pres la nouvelle defaite des Bleu et Rouge au Parc hier soir face a Nice. Pharaon me demandait pourquoi je ne parlays pas d’Ederson dans mon post de vendredi dernier. Je lui repondais que ce serait l’objet du post de ce WE. Et bien c’est le cas. C’est Ederson, que je considere comme le meilleur joueur de L1 cette saison, et ne venez pas me rabattre les Oreilles avec Benzema ou Ben Harfa ou Cavenaghi ou n’importe quel joueur de l’OM. Non le meilleur c’est Ederson. D’ailleurs John Michael Aulas l’a déjà recrute pour la saison prochaine de l’OL. J’espere qu’il le fera jouer, ou le pretera et n’a pas fait cela juste pour le “retirer” du plus donc d’etre le meilleur joueur de L1 cette saison, il est surement le joueur qui vient d’enfoncer le dernier clou dans le du PSG et l’a tres probablement envoye en que le PSG est encore en lice en coupe de France, competition que le club ne peut decemment pas delaisser, pas a ce stade de la competition et surtout pas pour ses supporters ni d’ailleurs pour les joueurs qui veulent se faire remarquer pour attirer l’attention de recruteurs, d’agents et de clubs etrangers pour fuir la L2, ils risquent d’ailleurs de briller en coupe et laisser tomber mentalement le Championnat…. Donc il y a maintenant de tres tres fortes chanes pour que le PSG realize le double Coupe de la Ligue, Coupe de France et descende en L2. Sa seule chance de se sauver s’appelle donc JPP. NlWt.
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