Jevais parler d’un obstacle Ă  rĂ©pondre Ă  l’appel de Dieu. Dieu nous appelle tous. Nous allons lire l’appel d’un de nos prĂ©dĂ©cesseurs qui se nomme GĂ©dĂ©on (00:00:26) Lecture de Juges 6:1-17. 1 Les enfants d’ IsraĂ«l firent ce qui dĂ©plaĂźt Ă  l’Éternel; et l’Éternel les livra entre les mains de Madian, pendant sept ans.
1. L'appel Chacun des confirmands est appelĂ© par son prĂ©nom, comme au baptĂȘme. Dans la tradition biblique, nommer une personne manifeste l’appel que Dieu lui adresse personnellement. Celle-ci rĂ©pond librement Me voici » et s’avance. 2. La profession de foi Proclamer publiquement le Credo de l’Église est une affirmation d’adhĂ©sion libre Ă  la foi, un signe d’appartenance Ă  la communautĂ© et un engagement Ă  vivre sa vie selon l’Évangile. 3. L’imposition des mains et l’appel de l’Esprit L'Ă©vĂȘque impose les mains aux confirmands. Ce geste se retrouve pour tous les sacrements de l’Église. Depuis le temps des apĂŽtres, il est le signe du don de l’Esprit. Tout en accomplissant ce geste, l’évĂȘque demande les sept dons du Saint-Esprit la sagesse et l’intelligence, le conseil et la force, la connaissance et l’affection filiale et la crainte de Dieu qui n’est pas synonyme de terreur, mais de profond respect envers Dieu. 4. L’onction avec le saint chrĂȘme Le saint chrĂȘme est une huile parfumĂ©e. Elle est consacrĂ©e par l’évĂȘque, entourĂ© par tous les prĂȘtres du diocĂšse, pendant la semaine sainte cette messe solennelle est dite chrismale ». Le saint chrĂȘme est le signe du don de l’Esprit saint. Le baptisĂ© a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© marquĂ© sur le front du saint chrĂȘme le jour de son baptĂȘme ; cette seconde onction » de la confirmation n’en est en fait qu’une seule. Elle prolonge celle du baptĂȘme et marque l’unitĂ© des deux sacrements. L’évĂȘque, en appliquant le saint chrĂȘme dit N., sois marquĂ© de l’Esprit saint le don de Dieu. » Dans les Églises orientales de rite byzantin, l’onction se fait sur le front, les yeux, les narines, les oreilles, les lĂšvres, la poitrine, le dos, les mains et les pieds. 5. Le baiser de la paix Le baiser de paix, qui achĂšve le rite du sacrement, signifie et manifeste la communion ecclĂ©siale avec l’évĂȘque et avec tous les SĂ©bastien Antoni, assomptionniste>>> À lire aussi sur FĂȘter le jour anniversaire de son baptĂȘme <<< LAppel de Dieu 3 Dieu Ă©tablit ce type de rapport avec l’ancien IsraĂ«l quand Il dit : « Je marcherai au milieu de vous, je serai votre Dieu, et vous serez mon peuple.» (LĂ©vitique 26:12) En tant qu’homme ou femme, nous avons tous une vocation naturelle au mariage. Cependant, Dieu appelle certains Ă  renoncer Ă  ce grand bien pour se donner Ă  Lui de façon plus particuliĂšre, dans le sacerdoce ou la vie consacrĂ©e masculine ou fĂ©minine. La question n’est donc pas Est-ce que Dieu m’appelle au mariage ou bien Ă  la vie consacrĂ©e ? » mais plutĂŽt Est-ce que Dieu m’appelle Ă  la vie consacrĂ©e ? ». Cet appel n’est pas extĂ©rieur Ă  moi, comme si les cieux se dĂ©chiraient et qu’une voix me disait Je t’appelle Ă  devenir prĂȘtre ! ». Non ! L’appel de Dieu s’exprime dans mon cƓur – par exemple sous la forme d’un dĂ©sir profond – et suscite en moi la joie. Discerner, c’est donc Ă©couter la voix de Dieu au cƓur de mon dĂ©sir de L’aimer, de Le servir et d’aimer et servir mes frĂšres. La reconnaissance d’un appel Ă  la consĂ©cration de mon ĂȘtre Ă  Dieu se fait ainsi dans un dialogue ineffable » avec Dieu Jean-Paul II. Cet appel reste le mystĂšre du cƓur de Dieu Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisi. » Jean 15, 16. Au fond, discerner l’appel de Dieu, c’est approfondir une histoire d’amour, dans un cƓur-Ă -cƓur avec ce Dieu dont je me sais aimé  Chers jeunes, pour dĂ©couvrir et suivre fidĂšlement la forme de vie Ă  laquelle le Seigneur appelle chacun, il est indispensable de demeurer dans son amour comme des amis. Or, comment se conserve l’amitiĂ© sinon par la frĂ©quence des rencontres, la conversation, le fait d’ĂȘtre ensemble et de partager les joies et les peines ? Sainte ThĂ©rĂšse de JĂ©sus disait que la priĂšre consistait Ă  une relation intime d’amitiĂ© oĂč l’on parle souvent seul Ă  seul avec Celui dont nous savons qu’Il nous aime » cf. Libro de la vida, 8. » Benoit XVI, JMJ 2011, Madrid. Pour en savoir plus Et moi, quelle est ma vocation ? Comment discerner ? SanctifiĂ©s dans l’amour Se marier Donner JĂ©sus au monde PrĂȘtre de la CommunautĂ© de l’Emmanuel FrĂšre de tous LaĂŻc consacrĂ© au sein de la CommunautĂ© de l’Emmanuel Dieu seul suffit Femme consacrĂ©e au sein de la CommunautĂ© de l’Emmanuel Rechercher JĂ©susChrist Le Christ pantocrator de la mosaĂŻque de la dĂ©isis Ă  la basilique Sainte-Sophie de Constantinople, Ă  Istanbul.: JĂ©sus de Nazareth et Fils de Dieu; Naissance entre 7 et 5 avant l'Ăšre commune BethlĂ©em () : DĂ©cĂšs entre 30 et
Dans histoire de l’humanitĂ©, l’on a toujours pensĂ© que les chiffres font partie du rationnel et des sciences exactes. Par contre, ceux-ci ont un cĂŽtĂ© sacrĂ©, mystique ou encore occulte, selon l’entendement qu’on leur attribue. Mieux, on dira qu’ils ont une signification divine et alerte un appelĂ© spirituel. DĂ©couvrez ci-dessous quelques un des signes d’un appel spirituel ! Une sĂ©quence de signes d’un appel spirituel Si vous voyez les sĂ©quences de numĂ©ros comme les 11 11, 22 22 et 33 33, en rĂȘve, sur une montre, une piĂšce d’identité  Faites attention, car vous ĂȘtes surement en face d’un message universel. La rĂ©pĂ©tition de la sĂ©quence de chiffres 11 11, 22 22 et 33 33 sont des signes d’un appel spirituel qui vient des codes occultes de Sirius, Orion et PlĂ©iades, pour que les personnes se connectent avec le MOI supĂ©rieur ». Plusieurs personnes reçoivent cet appel, mais trĂšs peu d’entre elles en comprennent le sens et Ă©tablissent la communication comme il se doit. Les sĂ©quences et leurs sens pour une appelĂ© spirituel 11 11 Restez vigilant ! Pensez seulement Ă  ce que vous voulez et vous dĂ©sirez. Ne faites surtout pas le contraire ! Cette sĂ©quence est la preuve de qu’il y a toujours une autre chance d’apprendre Ă  se dĂ©tacher des choses et que nos pensĂ©es se manifestent plus rapidement qu’avant. Cela confirme aussi que les anges sont avec vous en tout temps et prĂȘts Ă  vous aider. Quand vous regardez votre montre et vous voyez s’afficher 11 11, cela signifie que le moment est venu pour vous de vous spiritualiser et de prendre le chemin de l’élĂ©vation spirituelle. Cette sĂ©quence est un signe avant-coureur de votre Ă©tat de santĂ© futur, une maniĂšre de vous avertir sur l’imminence d’une maladie grave, d’un accident. C’est aussi le dernier appel pour Ă©voluer en amour
 22 22 Cette sĂ©quence se prĂ©sente comme la matĂ©rialisation dans un futur proche de toutes vos idĂ©es, dĂ©sirs et projets. Tout se dĂ©roulera bien ! Concentrez-vous sur votre bien-ĂȘtre quotidien, et ayez toujours de bonnes pensĂ©es. Mais si vous regardez votre montre et vous voyez s’afficher 22 22, C’est l’un des signes d’un appel spirituel pour une attention particuliĂšre sur votre Ă©tat de santĂ©. Prenez soin de vous ! Nourrissez-vous bien, pratiquez du sport, dormez bien et, surtout, libĂ©rez-vous des dĂ©pendances Ă©motionnelles, comme la crainte, la colĂšre, la douleur et la tristesse. 33 33 Cette sĂ©quence signifie que les maĂźtres spirituels, comme JĂ©sus, la Sainte Marie, le Quan Yin et la Yogananda sont ensembles et avec vous ! Dans tous les cas, le calme et la rĂ©flexion doivent nous guider quand l’on se retrouve face Ă  une sĂ©quence de numĂ©ros similaires tels que prĂ©sentĂ©s ci-dessus. A lire aussi La numĂ©rologie du bonheur mois par mois. A quoi servent les rĂȘves ? 5 techniques de purification spirituelle du corps.

Blog SIGNES ET PROMESSES ; Description : Ce Blog a pour but au travers de son contenu, d'édifier l'église de Jésus-Christ, de faire connaßtre à nos contemporains l'amour de Dieu

Le Coran est un guide pour l’humanitĂ©. Il mĂšne au succĂšs dans cette vie et au bonheur Ă©ternel dans l’au-delĂ , un prĂ©sent du CrĂ©ateur Ă  Sa crĂ©ation. C’est un livre rempli de signes que Dieu appelle des indices, des preuves, des leçons. Ces signes prouvent l’existence de Dieu et mettent en garde l’humanitĂ© contre le Jour du Jugement, oĂč chacun d’entre nous se tiendra devant Dieu, Ă©crasĂ© ou, au contraire, Ă©levĂ© par les actions qu’il aura accomplies sur terre. Un des signes les plus manifestes du Coran est l’histoire de MoĂŻse, une histoire qui comprend de nombreuses leçons pour l’humanitĂ©. Un Ă©lĂ©ment de ce rĂ©cit qui a intriguĂ© le monde des siĂšcles durant est le partage des eaux de la Mer Rouge et la noyade des Égyptiens. Les trois grandes religions monothĂ©istes judaĂŻsme, christianisme et islam rapportent sensiblement la mĂȘme histoire de MoĂŻse, Ă  la diffĂ©rence prĂšs que le Coran apporte de nombreux dĂ©tails supplĂ©mentaires et corrige certaines interprĂ©tations erronĂ©es. Tandis que toutes les versions incluent le partage des eaux de la Mer Rouge et la mort par noyade de Pharaon, le Coran nous apprend que le corps de Pharaon sera prĂ©servĂ© jusqu’à la fin des temps afin de servir de signe et de rappel aux gens. Nous allons aujourd’hui Ă©pargner ton corps afin que tu sois un signe pour ceux qui viendront aprĂšs toi. Mais en vĂ©ritĂ©, beaucoup de gens ne prĂȘtent aucune attention Ă  Nos signes. » Coran 1092 Quand Pharaon dĂ©tenait le pouvoir, qu’il Ă©tait riche, puissant et en bonne santĂ©, il refusait de reconnaĂźtre l’existence de Dieu. Il nia toutes les preuves qui lui furent prĂ©sentĂ©es et fut ainsi l’artisan de sa propre condamnation. Mais Ă  la derniĂšre minute, tandis que les vagues menaçaient de le noyer et que son cƓur se serra de terreur, Pharaon reconnut Dieu. Son arrogance s’évanouit d’un seul coup, mais il Ă©tait, hĂ©las, trop tard; il vit la mort approcher et, devant l’horreur de ce qui l’attendait, pria Dieu de lui venir en aide. Le fameux Ă©rudit musulman Ibn Kathir dĂ©crit ainsi la mort de Pharaon Le rideau tomba sur la tyrannie de Pharaon et les vagues rejetĂšrent son corps sur la rive occidentale de la mer. Les Égyptiens l’aperçurent et comprirent aussitĂŽt que la divinitĂ© qu’ils adoraient et Ă  laquelle ils obĂ©issaient n’avait Ă©tĂ© rien d’autre qu’un homme, un homme incapable d’éloigner la mort de sa propre personne. » Dieu, en parlant du corps de Pharaon, parle d’un signe pour ceux qui viendront aprĂšs ». Beaucoup de pharaons d’Égypte se sont comportĂ©s comme s’ils Ă©taient des dieux. Quand un pharaon atteignait sa trentiĂšme annĂ©e de rĂšgne, on organisait une cĂ©rĂ©monie appelĂ©e Sed, au cours de laquelle le pharaon recevait officiellement le titre de dieu ». Plusieurs pharaons, surtout ceux ayant rĂ©gnĂ© durant ce qui est appelĂ© le deuxiĂšme royaume », ont fait Ă©riger de nombreux monuments et statues en leur honneur. Certains, et plus particuliĂšrement Amenhotep III et RamsĂšs II, souhaitaient laisser leur marque en souvenir de leur puissance, de leur richesse et de leur prĂ©tendu caractĂšre divin. Dieu dit Ă  MoĂŻse Rends-toi auprĂšs de Pharaon, car il s’est certes rebellĂ©. Et dis-lui Souhaites-tu te purifier? » Coran 7917-18 Puis, tournant rapidement le dos, Pharaon alla rassembler [ses gens] et proclama C’est moi votre seigneur, le trĂšs-haut! ». Alors Dieu le saisit et en fit un exemple pour l’au-delĂ  comme pour le monde d’ici-bas. Certes, il y a en cela une leçon pour celui qui craint Dieu. »Coran 7924-25 Alors Pharaon dit Ô notables! Je ne vous connais pas d’autre divinitĂ© que moi-mĂȘme. Ô Haman, allume-moi le four Ă  briques, puis construis-moi une tour afin que je puisse monter jusqu’au dieu de MoĂŻse. Mais je pense, en vĂ©ritĂ©, qu’il est du nombre des menteurs. » Coran 2838 Les pharaons de l’ancienne Égypte Ă©taient connus pour leurs excĂšs, leur croyance en de multiples divinitĂ©s et leur cruautĂ© et oppression envers leurs esclaves et les citoyens de leur pays. Quand un ĂȘtre humain croit fermement qu’il n’est rien de moins qu’un dieu, il devient inĂ©vitablement arrogant et tyrannique. MalgrĂ© cela, et malgrĂ© l’incroyable arrogance du pharaon du temps de MoĂŻse, Dieu Ă©tait prĂȘt Ă  lui pardonner. Il lui envoya une succession de signes et de preuves de Son existence, mais Pharaon continua de vivre comme s’il n’y avait pas de lendemain. Il rejeta du revers de la main les offres de pardon que Dieu lui transmettait par l’intermĂ©diaire de MoĂŻse. Pour des gens comme cela, il y a pourtant toujours un lendemain et un inĂ©luctable jugement, suivi d’un chĂątiment. Partez, toi et ton frĂšre, [tous deux appuyĂ©s de] Mes signes, et ne cessez pas de M’invoquer. Allez tous deux trouver Pharaon; il a certes transgressĂ© toutes les limites. Et parlez-lui gentiment; peut-ĂȘtre prĂȘtera-t-il attention ou Me craindra-t-il. »Coran 2042-44 Les signes que Dieu envoya Ă  Pharaon Ă©taient destinĂ©s Ă  lui servir de rappel, mais Pharaon n’y porta aucune attention et sera donc du nombre des perdants dans l’au-delĂ . Les corps des pharaons, qui ont Ă©tĂ© prĂ©servĂ©s jusqu’à aujourd’hui, sont des rappels des paroles de Dieu. On peut Ă©galement les comparer Ă  beaucoup de gens d’aujourd’hui, qui se comportent comme des rois infaillibles, et nous rappeler comment Dieu chĂątie les arrogants et les tyrans. La fin tragique de Pharaon est un rappel pour toute l’humanitĂ©. Elle nous rappelle que ceux qui choisissent dĂ©libĂ©rĂ©ment de ne pas adorer Dieu comme Il le mĂ©rite risquent de n’ĂȘtre jamais guidĂ©s sur la bonne voie. Combien de signes Dieu nous enverra-t-Il encore? Un? Un million? Vaut-il vraiment la peine de renoncer totalement au bonheur Ă©ternel pour quelques moments de contentement et de fiertĂ© basĂ©s uniquement sur l’ego et l’arrogance? Source Un mot sur les tyrans"Un tyran est une personne dotĂ©e d'une incroyable mĂ©chancetĂ©. Nous pouvons citer comme exemple Ota tyran de Amino, il aurait a lui seul tuĂ© plus de 100 personnes.du grec ancien ÏÏÎ±ÎœÎœÎż / tĂșrannos, dĂ©signe dans l'AntiquitĂ© grecque un individu disposant d’un pouvoir absolu, aprĂšs s'en ĂȘtre emparĂ© de façon illĂ©gitime. Le mot tyran, peut-ĂȘtre d'origine lydienne a Ă©tĂ© appliquĂ© pour la premiĂšre fois au viiie siĂšcle av. au roi lydien GygĂšs par le sophiste Hippias d'Élis. Le terme prit trĂšs vite un sens pĂ©joratif, notamment Ă  AthĂšnes, impliquant que le tyran abuse de son pouvoir la nature du pouvoir tyrannique se reconnaĂźt en effet Ă  ce que le tyran, sans abolir les lois, se place au-dessus d'elles[2]. La perversion de ce rĂ©gime tient aussi au fait que la tyrannie cumule les vices de la dĂ©mocratie et ceux de l'oligarchie », en raison de l'amour du tyran pour les richesses et de son hostilitĂ© Ă  l'Ă©gard du peuple qu'il dĂ©sarme et asservit[3]. En outre, ce rĂ©gime se caractĂ©rise par son arbitraire, le tyran Ă©tant celui qui, dans la citĂ©, exerce son autoritĂ© selon ses propres vues » ; Platon utilise presque les mĂȘmes termes dans Le Politique, et le sous-entend en le dĂ©crivant dans le Gorgias. Sur le plan politique, il y a une diffĂ©rence entre tyrannie » et despotisme » dans la GrĂšce antique, un tyran Ă©tait un homme qui disposait d’un pouvoir assurĂ© par la force ; ce pouvait ĂȘtre un ancien magistrat, parfois mĂȘme un esclave, arrivĂ© au pouvoir aprĂšs un coup d'État, par ruse plus que par violence. Les tyrans ne prirent jamais officiellement le titre de tyran, et il n'y eut pas de titre gĂ©nĂ©ral et officiel pour les dĂ©signer, c'est pourquoi on leur donne le nom dont leurs ennemis les stigmatisaient."Source NemrodLe Coran fustige les gouverneurs qui se posent en seigneurs absolus sur terre, et qui asservissent les serviteurs de Dieu, tels que Nemrod Ă  propos duquel le Coran relate le face Ă  face qui l’a opposĂ© Ă  Abraham en ces termes N’as-tu pas vu celui qui, parce que AllĂąh l’avait fait roi, argumenta contre Abraham au sujet de son Seigneur ? Abraham ayant dit "J’ai pour Seigneur Celui qui donne la vie et la mort", "Moi aussi, dit l’autre, je donne la vie et la mort." Alors dit Abraham "Puisqu’AllĂąh fait venir le soleil du Levant, fais-le donc venir du Couchant." Le mĂ©crĂ©ant resta alors confondu. AllĂąh ne guide point les gens injustes. » Sourate 2, Al-Baqarah, La gĂ©nisse, verset 258. Ce tyran, qui affirmait donner la vie et la mort, tout comme le seigneur d’Abraham — le Seigneur des Mondes — donne la vie et la mort, exigeait que les gens lui vouent un culte comme ils vouaient un culte au seigneur d’Abraham. L’imprudence de cet homme Ă©tait telle qu’il a choisi au hasard deux passants dans la rue et les a condamnĂ© Ă  mort. Il a fait exĂ©cuter l’un d’eux en disant VoilĂ , je lui ai donnĂ© la mort. » Puis, il a amnistiĂ© l’autre en disant VoilĂ , je lui ai donnĂ© la vie » et de demander N’est-il pas vrai que je donne la vie et la mort ? » Dans la mĂȘme veine, il y a Pharaon qui a fait annoncer Ă  son peuple Je suis votre Seigneur le TrĂšs-Haut. » Sourate 79, An-NĂązi`Ăąt, verset 24. En effet, le Coran condamne trois formes de vices caractĂ©risant le despotisme politique 1 Le gouverneur se posant en dieu sur terre, dominant la terre de Dieu et sĂ©vissant contre les serviteurs de Dieu, Ă  l’instar de Pharaon. Pharaon2 L’homme politique arriviste qui met son intelligence et son expĂ©rience au service d’un tyran afin d’asseoir son pouvoir et assujettir les masses, Ă  l’instar de HĂąmĂąn.. 3 Le capitaliste qui profite du pouvoir du tyran ; il soutient ce dernier par sa fortune pour rĂ©colter une fortune encore plus grande qu’il suce dans la sueur et le sang du peuple, Ă  l’instar de QĂąrĂ»n CorĂ©. III. LE CORAN FAIT LIEN ENTRE LA TYRANNIE ET LA CORRUPTION Le Coran Ă©tablit une relation entre la tyrannie et la propagation de la corruption qui entraĂźne le pĂ©ril et la destruction des nations. Le TrĂšs-Haut dit en effet N’as-tu pas vu comment ton Seigneur a agi avec les `Âd § avec Iram, la citĂ© Ă  la colonne remarquable, § dont jamais pareille ne fut construite parmi les villes ? § et avec les ThamĂ»d qui taillaient le rocher dans la vallĂ©e ? § ainsi qu’avec Pharaon, l’homme aux Ă©pieux ? § Tous, Ă©taient des tyrans dans leurs pays, § et y avaient semĂ© beaucoup de corruption. » Sourate 89, Al-Fajr, L’aube, versets 6 Ă  12. Parfois, le Coran dĂ©signe la tyrannie en parlant d’élĂ©vation » `uluww, qui correspond Ă  un sentiment de supĂ©rioritĂ© et le fait de sĂ©vir contre les gens en les humiliant et en les Ă©crasant. Ainsi le TrĂšs-Haut dit de Pharaon Pharaon qui Ă©tait hautain et outrancier » Sourate 44, Ad-DukhĂąn, La fumĂ©e, verset 31. Pharaon Ă©tait hautain sur terre ; il rĂ©partit en clans ses habitants, afin d’abuser de la faiblesse de l’un d’eux Il Ă©gorgeait leurs fils et laissait vivantes leurs femmes. Il Ă©tait vraiment parmi les fauteurs de corruption. » Sourate 28, Al-Qasas, Les rĂ©cits, verset 4. Ainsi voit-on que le sentiment de supĂ©rioritĂ© va toujours de pair avec la corruption. LES SOLDATS DU TYRAN ET SES MOYENS D’OPPRESSION PARTAGENT SON PÉCHÉEn sus des tyrans eux-mĂȘmes, la responsabilitĂ© des mĂ©faits repose sur les instruments du pouvoir », que le Coran dĂ©signe par le terme soldats », et qui correspondent Ă  la force militaire qui constitue la force de frappe du pouvoir politique destinĂ©e Ă  mĂąter les populations si d’aventure elles se rebellaient ou songeaient Ă  se rebeller. Le Coran dit Ă  ce sujet Pharaon, HĂąmĂąn et leurs soldats Ă©taient fautifs. » Sourate 28, Al-Qasas, Les rĂ©cits, verset 8. et Nous le saisĂźmes donc, ainsi que ses soldats, et les jetĂąmes dans le flot. Regarde donc ce qu’il est advenu des injustes ! » Sourate 28, Al-Qasas, Les rĂ©cits, verset 40. LE CORAN CRITIQUE LES PEUPLES QUI SE SOUMETTENT AUX TYRANS Le Coran n’a pas limitĂ© sa condamnation aux individus qui se prennent pour des dieux uniquement, il a Ă©tendu sa critique Ă  leurs peuples qui ont obĂ©i Ă  leur commandement, leur ont emboĂźtĂ© le pas et leur ont confiĂ© leur sort. Le Coran leur a attribuĂ© une part de responsabilitĂ©. Le TrĂšs-Haut dit Ă  propos du peuple de NĂ»h NoĂ© NoĂ© dit "Seigneur, ils m’ont dĂ©sobĂ©i et ils ont suivi celui dont les biens et les enfants n’ont fait qu’accroĂźtre la perte. » Sourate 71, NĂ»h, NoĂ©, verset 21.Il dit — ExaltĂ© soit-Il — Ă  propos des `Âd, le peuple de HĂ»d VoilĂ  les `Âd. Ils avaient niĂ© les signes de leur Seigneur, dĂ©sobĂ©i Ă  Ses messagers et suivi le commandement de tout tyran entĂȘtĂ©. » Sourate 11, HĂ»d, verset 59. Il dit aussi — ExaltĂ© soit-Il — Ă  propos du peuple de Pharaon Ainsi chercha-t-il Ă  Ă©tourdir son peuple et ainsi lui obĂ©irent-ils car ils Ă©taient des gens pervers. » Sourate 43, Az-Zukhruf, L’ornement, verset 54. Mais ils suivirent l’ordre de Pharaon, bien que l’ordre de Pharaon n’était point avisĂ©. § Il prĂ©cĂ©dera son peuple, au Jour de la RĂ©surrection. Il les mĂšnera Ă  l’aiguade du Feu. Et quelle dĂ©testable aiguade ! » Sourate 43, Az-Zukhruf, L’ornement, verset 54. Il a fait porter aux peuples une part de responsabilitĂ© car ce sont les peuples qui fabriquent les pharaons et les tyrans. C’est ce que les gens expriment dans l’adage On a demandĂ© Ă  Pharaon “Qu’est-ce qui a fait de toi un despote ?” Il a rĂ©pondu “Personne ne m’a arrĂȘtĂ© !” » LA SUNNAH FUSTIGE LES PRINCES INJUSTES La tradition prophĂ©tique a Ă©galement fustigĂ© les princes injustes et les tyrans, qui mĂšnent leurs peuples au martinet, et lorsqu’ils se prononcent personne n’ose les reprendre. Ceux-lĂ  sont ceux qui se prĂ©cipitent dans le feu tels des papillons de nuit ». Elle a Ă©galement fustigĂ© leurs auxiliaires, qui les entourent et les encensent. La tradition prophĂ©tique critique aussi les peuples qui se laissent imprĂ©gner par la peur au point que personne ne puisse appeler un tyran un tyran. Selon AbĂ» MĂ»sĂą, le Messager de Dieu dit La GĂ©henne contient une vallĂ©e dans laquelle se trouve un puits du nom de Habhab. Dieu y a destinĂ© tout tyran obstinĂ©. » Selon Mu`Ăąwiyah, le ProphĂšte dit AprĂšs moi viendront des gens qui se prononceront sans que personne n’ose les reprendre, ils feront la grimace dans le Feu comme des singes. » D’aprĂšs JĂąbir, le ProphĂšte dit Ă  Ka`b Ibn `Ajrah “Que Dieu te prĂ©serve du pouvoir des princes indigents, ĂŽ Ka`b.” — “Qui sont les princes indigents ?”, s’enquit ce dernier. — “Ce sont des princes qui viendront aprĂšs moi, qui ne suivent pas ma guidance et n’appliquent pas ma tradition. Ceux qui approuveront leurs mensonges, ou les soutiendront dans leurs injustices, ne sont pas des miens et je ne suis pas des leurs et ils ne boiront pas Ă  mon Bassin. Ceux qui ne les approuveront pas ni ne les soutiendront dans leurs injustices,sont des miens et je suis des leurs et ils boiront Ă  mon Bassin.”. D’aprĂšs un rĂ©cit attribuĂ© au ProphĂšte marfĂ»` selon Mu`Ăąwiyah Toute nation oĂč l’on ne rend pas la justice et oĂč le faible n’arrache pas ses droits au fort sans peine ne sera point sanctifiĂ©e. » D’aprĂšs un rĂ©cit attribuĂ© au ProphĂšte marfĂ»` selon `Abd AllĂąh Ibn `Amr Si tu vois ma nation craindre d’appeler un injuste un injuste, alors plus rien n’est Ă  espĂ©rer d’elle. ». Voir l'article dans sa totalitĂ© ici Et ne pense point qu’Allah soit inattentif Ă  ce que font les injustes. Il leur accordera un dĂ©lai jusqu’au jour oĂč leurs regards se figeront. » IbrĂąhim, verset 42Des quartiers Est d’Alep au territoire de Beni, du gĂ©nocide des Rohingyas Ă  la colonisation galopante en Cisjordanie, sans oublier les intenses prĂ©occupations de la communautĂ© noire aux Etats-Unis, partout, les injustices sont flagrantes, les crimes rĂ©voltants, leurs auteurs honteusement impunis. Si le monde prĂ©fĂšre dĂ©tourner le regard, fermer les yeux sur le sort d’autant de peuples opprimĂ©s, AllĂąh ExaltĂ© soit Son Nom, Lui, n’ignore rien de la situation de Ses crĂ©atures. Il est Compatissant Ra’oĂ»f envers Ses serviteurs, et le rappel retentissant de ce verset nous interdit de nourrir de mauvaises pensĂ©es au sujet de notre Seigneur face aux malheurs qui s’amoncellent dans le monde. Si les injustes, les rĂ©gimes oppresseurs, les systĂšmes basĂ©s sur l’humiliation des peuples, semblent aujourd’hui Ă  l’abri de tout blĂąme, de toute condamnation de leurs actes, AllĂąh ExaltĂ© soit Son Nom nous assure que cette impunitĂ© apparente n’est que temporaire, et que Sa rĂ©ponse sera en attendant cette justice, qui triomphera forcĂ©ment au Jour du Jugement, quand les regards se figeront », quel comportement doit adopter le musulman soumis Ă  la tyrannie d’une personne, au despotisme d’un rĂ©gime, Ă  la barbarie d’un systĂšme ? Quelle attitude spirituelle, au-delĂ  de ses divers engagements sociaux, humanitaires, de ses prises de positions militantes, doit-il observer ? Si la morale islamique nous dĂ©fend de rĂ©agir aux Ă©vĂ©nements, positifs comme nĂ©gatifs, sous le coup de nos seules Ă©motions, elle nous enjoint Ă  chercher le refuge et le rĂ©confort dans la priĂšre et d’implorer le secours d’AllĂąh dans les circonstances malheureuses. C’est ainsi que le ProphĂšte Muhammed paix et bĂ©nĂ©dictions d’AllĂąh sur lui a garanti que toute invocation, supplique ou complainte adressĂ©e par les victimes d’injustices Ă  AllĂąh ne connaĂźtrait ni barriĂšre ni Khuzeima Ibn Thabit qu’Allah l’agrĂ©e, le ProphĂšte que la priĂšre d’Allah et son salut soient sur lui a dit Craignez l’invocation de celui qui subit une injustice car elle est certes portĂ©e au dessus des nuages et Allah dit Par ma Puissance et ma MajestĂ©, je vais certes te secourir d’ici peu ». rapportĂ© par At-TabarĂąniL’opprimĂ© secouru, l’oppresseur chĂątiĂ© et humiliĂ© au Jour de la reddition des comptes. Celui qui pensait n’avoir Ă  jamais rĂ©pondre de ses actes, confrontĂ© par la Justice du Tout-Puissant avant de voir son statut basculer pour passer de bourreau Ă  suppliciĂ©, d’intouchable Ă  vulnĂ©rable. OĂč qu’ils soient, qui qu’ils soient, les auteurs d’actes indicibles, insaisissables aujourd’hui, subiront un jour Ă  leur tour l’humiliation, la souffrance et le chĂątiment. Par cette annonce, et par l’invitation Ă  la patience Ă  travers l’invocation, l’islam appelle le musulman Ă  s’abstenir de tout acte de vengeance personnelle, Ă  tout rĂ©flexe guidĂ© par les passions et la rancƓur, et non par la lumiĂšre de la foi. L’islam appelle Ă  croire avec certitude et conviction Ă  la rĂ©alitĂ© du Jour du Jugement, oĂč la Justice sera rendue sans qu’aucune crĂ©ature d’AllĂąh ne soit lĂ©sĂ©e, ainsi qu’au Destin, au dĂ©roulement des Ă©vĂ©nements dont nous sommes les tĂ©moins, qu’ils soient heureux ou malheureux. Ces deux Ă©lĂ©ments, faisant partie intĂ©grante des six piliers de la foi, placeraient quiconque les refuse et les rejette en dehors du champ commun des croyants. MalgrĂ© la difficultĂ©, le pessimisme liĂ© Ă  l’époque et Ă  son contexte dĂ©favorable, le sentiment d’impuissance et l’immense injustice pouvant ĂȘtre vĂ©cue dans nos vies personnelles, mais aussi dans certaines contrĂ©es lointaines, la clĂ© demeure dans la relation Ă  AllĂąh ExaltĂ© soit Son Nom et la certitude en Sa Ibn Omar qu’Allah les agrĂ©e, le ProphĂšte que la priĂšre d’Allah et son salut soient sur lui a dit Le jour du jugement Allah va plier les cieux puis il va les prendre dans sa main droite puis Il va dire Je suis le Roi, OĂč sont les tyrans ? OĂč sont les orgueilleux ? Puis Il va plier les terres et va les prendre dans sa main gauche puis Il va dire Je suis le Roi, OĂč sont les tyrans? oĂč sont les orgueilleux ? » rapportĂ© par Muslim – Sahih n° 2788Source Quoi ? Les opprimĂ©s jouent un rĂŽle dans la domination qu’ils subissent c’est parce qu’ils l’acceptent qu’elle peut se mettre en place et se perpĂ©tuer. L’Ɠuvre Le discours de la servitude volontaire Ă©tait Ă  l’origine une simple dissertation rĂ©digĂ©e par La BoĂ©tie alors qu’il Ă©tait encore Ă©tudiant. Pourtant, ce texte a traversĂ© les siĂšcles car il dit quelque chose d’universel sur la nature humaine. Attention Ă  ne pas caricaturer les propos de La BoĂ©tie, il n’est pas contre le gouvernement et l’obĂ©issance, mais contre la soumission Ă  la tyrannie ! Qui ? Le peuple ! Face Ă  la tyrannie, il serait facile de considĂ©rer que les responsables sont des masses aveuglĂ©es
 Pourtant, cette masse n’est-elle pas composĂ©e d’individus parfaitement capables de sens critique ? Pourquoi ? Puisqu’on n’a jamais vu quelqu’un ne pas souffrir de sa servitude, La BoĂ©tie considĂšre que la libertĂ© est naturelle. Dans ce cas, pourquoi servons-nous, alors que nous ne sommes pas soumis Ă  une force Ă  l’état brut ? Pour lui, le dĂ©sir de libertĂ© peut parfaitement s’accompagner d’une volontĂ© de servitude. Ce constat suppose que la lĂ©gitimitĂ© du pouvoir ne va pas de soi, aucune domination ne peut se prĂ©valoir d’un fondement naturel. Comment ? 1 L’habitude, la tradition si on est nĂ© dans un Ă©tat de servitude, on ne peut pas regretter quelque chose que l’on a pas connu. 2 La ruse des tyrans pour abĂȘtir leurs sujets il est dans l’intĂ©rĂȘt d’un pouvoir tyrannique de maintenir les individus dans l’ignorance de tout ce qui pourrait les attirer vers la libertĂ©. 3 La chaĂźne de soumission un tyran est soutenu par quelques hommes, eux-mĂȘmes soutenus par une centaine d’autres hommes, et ainsi de suite, jusqu’à ce que la totalitĂ© d’un territoire soit soumise Ă  une mĂȘme autoritĂ©. Ce qui donne
 Si on est privĂ© de libertĂ©, c’est parce qu’on la dĂ©laisse ! Source
Lessignes de l'existence de Dieu sont vraiment partout! Islam & pensées religieuses. Yabiladi. Annonces . Général. Actualité du Maroc et du Monde. Voyages & vacances. Culture, Histoire et régions du Maroc. Aide, astuces & bons plans. Formalités administratives & aide juridique. Sports. Halka : Blagues, poÚmes, jeux, détente. Yabiladies. Mariage et
D’entrĂ©e de jeu, il est trĂšs important de savoir que tout le monde a une mission Ă  accomplir sur terre. Dieu ne t’a pas envoyĂ© sur terre pour juste te balader ou contempler la nature, non ! Il y a un but pour lequel Dieu t’a Ă©tabli sur terre. Il dit dans ÉphĂ©siens 2 10 LSG Car nous sommes Son ouvrage, ayant Ă©tĂ© créés en JĂ©sus-Christ pour de bonnes Ɠuvres, que Dieu a prĂ©parĂ©es d’avance, afin que nous les pratiquions. » Cela veut dire que dĂ©jĂ  dans l’éternitĂ©, Dieu prĂ©parait ce que tu devais faire sur terre, dans un temps particulier. Alors maintenant, Il vient t’appeler pour te faire savoir ce que tu dois faire. Dans Son appel, Dieu permet aux hommes de participer Ă  Son dessein d’amour pour le monde. ÉsaĂŻe 6 8 LSG J’entendis la voix du Seigneur, disant qui enverrai-Je, et qui marchera pour Nous ? Je rĂ©pondis Me voici, envoie-moi. » En analysant cette portion des Écritures, on comprend vite que Dieu a un certain nombre de choses qu’Il veut rĂ©vĂ©ler au monde; voilĂ  pourquoi Il ne cesse de nous appeler. C’est-Ă -dire qu’Il a besoin de toi et moi pour Lui servir d’instruments par lesquels Il passera pour accomplir Son Ɠuvre. Quand il s’agit de l’appel de Dieu, le problĂšme n’a jamais Ă©tĂ© Dieu. Mais trĂšs souvent, c’est plutĂŽt notre incapacitĂ© Ă  entendre la voix de Dieu, ou Ă  discerner tout autre moyen qu’Il utilise pour nous appeler qui pose problĂšme; spĂ©cialement quand Il veut nous envoyer accomplir une mission. Retiens donc que la voix de Dieu qui t’appelle continue Ă  retentir, et c’est Ă  toi d’ĂȘtre capable de saisir cet appel et vite rĂ©pondre comme ÉsaĂŻe Me voici, envoie-moi. » JĂ©rĂ©mie 1 5 LSG Avant que Je t’eusse formĂ© dans le ventre de ta mĂšre, Je te connaissais, et avant que tu fusses sorti de son sein, Je t’avais consacrĂ©, Je t’avais Ă©tabli prophĂšte des nations. » Le contexte de ce passage nous enseigne que Dieu S’assure d’apprĂȘter d’abord la mission avant mĂȘme la naissance de celui qui va l’exĂ©cuter. Alors sache que Dieu avait dĂ©jĂ  prĂ©parĂ© ce que tu dois faire sur terre. Si tu le sais dĂ©jĂ , demande Ă  Dieu de t’aider Ă  le faire comme Il le veut; si tu ne le sais pas encore, continue Ă  Le chercher pour qu’Il te le rĂ©vĂšle, sĂ»rement qu’Il le fera au bon moment. Jean 15 16 BDS Ce n’est pas vous qui M’avez choisi. Non, c’est Moi qui vous ai choisis; Je vous ai donnĂ© mission d’aller, de porter du fruit, du fruit qui soit durable. Alors le PĂšre vous accordera tout ce que vous Lui demanderez en Mon nom. » Ce texte met un accent sur le fait qu’on ne s’appelle pas soi-mĂȘme, c’est Dieu qui a le pouvoir de nous appeler pour Ɠuvrer dans Sa moisson Matthieu 9 37-38. Il le fait ainsi, parce que c’est Lui Seul qui maĂźtrise le plan; et notre part consiste Ă  rĂ©ellement faire toutes choses selon Sa volontĂ© parfaite. Vouloir s’auto-appeler ou faire ce que Dieu ne nous a pas demandĂ© de faire n’amĂšnera que frustration, avec trĂšs peu de rĂ©sultat et mĂȘme de l’échec. Dieu Ă©tant le MaĂźtre de la moisson, Il ne rĂ©compense uniquement que les ouvriers qu’Il a appelĂ©s sur un terrain particulier, et qui exĂ©cutent ce qu’Il leur a prescrit. Donc n’essaye pas de t’improviser lĂ  oĂč Dieu ne te veut pas, identifie bien lĂ  oĂč Dieu te veut, et tout se passera bien pour Sa gloire. ÉphĂ©siens 4 1-3 PDV Voici ce que je vous demande avec force, moi qui suis prisonnier pour le Seigneur vivez en accord avec l’appel que vous avez reçu de Lui. Soyez simples, doux et patients, supportez-vous les uns les autres avec amour. Cherchez toujours Ă  rester unis par l’Esprit-Saint, c’est Lui qui vous unit en faisant la paix entre vous. » Dans ce passage, l’apĂŽtre Paul nous rappelle qu’il ne suffit pas d’ĂȘtre conscient de notre vocation. Bien plus, il faut vivre en accord avec cette vocation. Donc c’est une chose d’avoir l’appel, c’en est une autre de vivre en accord avec cet appel. Proverbes 1 24 PDV Je vous appelle, et vous dites non. Je vous tends la main, et personne ne fait attention. » Ce passage vient encore nous rappeler que Dieu a besoin de serviteurs dans Sa moisson, mais trĂšs souvent, c’est nous qui refusons Son appel au profit d’autres choses. A travers ce passage, j’aimerais encore te rappeler que Dieu a besoin de toi, car Il y a un certain nombre de choses que tu dois faire pour Lui. Alors si tu as longtemps refusĂ©, l’occasion t’est redonnĂ©e aujourd’hui de faire comme le jeune Samuel dans 1 Samuel 3 10 LSG l’Éternel vint et se prĂ©senta, et Il appela comme les autres fois Samuel, Samuel ! Et Samuel rĂ©pondit Parle, car ton serviteur Ă©coute. » Ce qui doit t’emmener Ă  comprendre que tu as un appel, c’est l’état dans lequel le monde se trouve. Parce que les besoins des autres servent en fait de moyen de dĂ©couverte de ce que nous avons comme mission. Le monde a besoin de Dieu, et c’est toi et moi qui devrons prĂ©senter Dieu au monde, selon le couloir de notre appel.
Lessignes de l’alliance. GĂ©nĂ©ral. Clarence Stam. Cet article a pour sujet les signe s de l' alliance entre Dieu et son peuple: le sabbat, la circoncision, le baptĂȘme qui a remplacĂ© la circoncision, la cĂšne, avec une Ă©valuation de la pensĂ©e baptiste et de la question de la participation des enfants Ă  la cĂšne.
Il n’y a pas de vie sans vocation, et il n’y a pas de vocation sans qu’il n’y a pas de vie qui ne serve Ă  rien mĂȘme celle d’un malade, mĂȘme celle d’un bĂ©bĂ© qui meurt prĂ©maturĂ©ment
 Toute vie est voulue et aimĂ©e de DieuChaque vocation a une mission qu’est-ce que le Seigneur attend de nous ? Nous sommes tous privilĂ©giĂ©s car nous sommes tous appelĂ©s ! La 1° vocation de tout homme c’est l’appel Ă  vivre. C’est la volontĂ© de Dieu Je t’ai gravĂ© dans les paumes de mes mains
" Attention aux Ă  quoi bon » ; cela n’est pas de Dieu. Toute vie est vocation. ProcrĂ©ation = crĂ©ation avec Dieu. MĂȘme si un enfant n’est pas voulu par ses parents, il a Ă©tĂ© voulu par Dieu. Soyons Ă  l’écoute de la parole de Dieu. Voyons comment Dieu appelle. Dans l’Ancien Testament La vocation d’Abraham GenĂšse12,1 Quitte ton pays
 je bĂ©nirai ceux qui te bĂ©niront
 » Il avait 75 ans ! Dans toute vocation, l’initiative vient de Dieu. Nous avons Ă©tĂ© choisis. Le rĂŽle de l’homme est de rĂ©pondre Ă  l’appel de Dieu. Or tout appel demande de quitter quelque chose quitte ton pays » c’est-Ă -dire quitte tes sĂ©curitĂ©s humaines. Il faut faire confiance pour aller du connu vers l’inconnu. Quitter = obĂ©ir Ă  la parole du Seigneur. Sois une bĂ©nĂ©diction » Ă  travers cette vocation il y a une bĂ©nĂ©diction pour moi-mĂȘme et pour les autres. Nous formons un seul corps » une Ăąme qui s’élĂšve Ă©lĂšve le monde, une Ăąme qui s’abaisse abaisse le monde. Nous sommes reliĂ©s les uns aux autres. Toute vocation a une fĂ©conditĂ© Je vous ai choisi pour que vous portiez du fruit et que votre fruit demeure" Jean 15, 16 Quelque soit l’état de la personne, le corps dit la personne. Toute personne a une fĂ©conditĂ©. Le sacrifice d’Isaac GenĂšse 22 il fait partie intĂ©grante de la vocation d’Abraham. Pour nous, faire ce sacrifice, c’est offrir au Seigneur ce que l’on chĂ©rit le plus
 pour obtenir la sainte indiffĂ©rence » quelque soit ce qui va venir, mon cƓur reste en paix. Je ne suis plus dans une attitude possessive. Ceux que j’aime appartiennent d’abord Ă  Dieu. Nos dĂ©sirs sont remis dans le Seigneur mĂȘme si je ne l’ai plus si je ne les ai plus, cela ne m’empĂȘchera pas de t’aimer Seigneur ». On peut ĂȘtre attachĂ©s Ă  ceux que l’on aime, mais en pĂšre des croyants, est un modĂšle d’obĂ©issance et de disponibilitĂ© Ă  la volontĂ© de Dieu. MoĂŻse Exode 3 le buisson ardent quelque chose retient l’attention de MoĂŻse. Pour nous, quelque fois aussi, des choses nous interpellent, nous touchent la pauvretĂ©, le Tiers-monde, etc. Faire un dĂ©tour » MoĂŻse a fait le dĂ©tour, il s’est mis en route. Pour nous c’est sortir de notre train-train habituel pour suivre les motions de l’Esprit-Saint l’Esprit-Saint nous appelle Ă  construire, Ă  agir fais sortir mon peuple d’Egypte ».MoĂŻse rĂ©pond mais qui suis-je pour faire cela ? » En effet, on se sent toujours incapable face Ă  la vocation c’est signe que c’en est une vraie !On a Ă©tĂ© choisis et Dieu nous dit je serai avec toi. Le croyant n’est jamais seul. IsaĂŻe 6,1 Vision formidable, il voit le trĂŽne de Dieu, les sĂ©raphins. malheur Ă  moi qui suis indigne et qui ai vu Dieu ».IsaĂŻe est troublĂ© par cette expĂ©rience de Dieu. Il se dit impur. Le sĂ©raphin va le purifier avec un charbon ardent. Nos pĂ©chĂ©s ne sont pas des raisons pour ne pas rĂ©pondre Ă  notre vocation. Le Seigneur lui-mĂȘme vient nous pardonner. Me voici, envoie-moi » le cƓur d’IsaĂŻe est disposĂ©. Dieu l’envoie alors annoncer la bonne nouvelle. JĂ©rĂ©mie Avant mĂȘme de te modeler dans le ventre de ta mĂšre je t’ai connu". Toute vie est le fruit de l’amour de Dieu. JĂ©rĂ©mie 20 il en a assez d’ĂȘtre prophĂšte ! c’est trĂšs dur, il a Ă©tĂ© attaquĂ©, on s’est moquĂ© de lui, c’est trĂšs lourd. JĂ©rĂ©mie 20,9 Je ne penserai plus Ă  lui Dieu, je ne parlerai plus en son nom » crise de vocation ; c’est rassurant ce ras le bol » de vocation ! Il y a toujours un combat spirituel Ă  la rĂ©ponse Ă  une vocation. Aimer n’est pas spontanĂ© on a toujours une part de souffrance dans toute vocation. Ne nous en Ă©tonnons pas. JĂ©rĂ©mie traverse puis sort de l’épreuve Je me suis laissĂ© sĂ©duire ». Quand le Seigneur appelle, on reste libre bien sĂ»r. Attention, on peut s’épuiser Ă  lutter contre Dieu. Ne pas croire que le bonheur est ailleurs dans un autre pays, avec un autre conjoint, etc. Carpe diem » c’est cueillir aujourd’hui le bonheur que Dieu me donne. En cas de grosses difficultĂ©s se demander pourquoi » ne sert Ă  rien on n’en sait rien ! Mais se demander plutĂŽt comment », c’est Ă  dire qu’est-ce que je fais avec ça ? Faire mĂ©moire de l’appel de Dieu. Rendre prĂ©sente la grĂące actuelle. Par exemple quand on fĂȘte NoĂ«l, on fait mĂ©moire de la grĂące de l’incarnation. Rendre prĂ©sent cet appel initial. Dans le Nouveau Testament Regardons l’appel des disciples et voyons le discernement des vocations, des appels. RĂ©cit de St-Jean Les premiers disciples l’appel Ă  la vocation chrĂ©tienne est un appel Ă  la suite du Christ. C’est une invitation de la personne de JĂ©sus Ă  rentrer dans son intimitĂ© oĂč demeures-tu ? » et aussi entrer dans une dĂ©marche de confiance vis-Ă -vis de lui. Comment entrer dans l’intimitĂ© du Christ ? Par les sacrements, lieux de grĂąces par excellence ; cadeaux privilĂ©giĂ©s de la grĂące de Dieu. L’Eglise il faut une appartenance Ă  l’Eglise pour une vocation. Il faut vraiment entrer dans l’Eglise. Etre Ă  la suite du Christ, mais dans son Eglise. On devient alors membre du corps du Christ. MĂȘme du temps de JĂ©sus, c’était par les disciples que les personnes rencontraient JĂ©sus viens, suis-moi ». Le programme de vie ce sont les en Ă©tat de dĂ©pendance avec Dieu pour se laisser pardonner, se laisser sauver par lui c’est spĂ©cifique de la foi chrĂ©tienne. Vivons de la PĂąque du Christ. Portons la croix avec JĂ©sus. C’est toujours JĂ©sus qui a l’initiative, comme dans l’Ancien testament. Comment faire pour distinguer notre vocation ? Nous sommes appelĂ©s Ă  la suite du Christ. Il y a 2 formes de suite » du Christ dans l’Eglise la suite du Christ dans la vie matrimoniale et familiale la suite du Christ dans la vie consacrĂ©e. Les autres doivent ĂȘtre consacrĂ©s d’une maniĂšre ou d’une autre, offerts, donnĂ©s au Seigneur qui les consacre. Ces 2 Ă©tats de vie ont une vocation. Ils sont appelĂ©s Ă  une fĂ©conditĂ©. Pour discerner, se poser la question qu’est-ce qui habite mon cƓur ? » un amour privilĂ©giĂ© pour une personne en Dieu ou un amour universel, pour tous ? Il y a 3 grands choix Ă  faire dans sa vie l’état de vie le choix de Dieu la vie l’intĂ©rieur de cela il y a plein d’autres appels. Pour discerner se demander Est-ce conforme Ă  l’Evangile ? Est-ce que ça me fait grandir dans l’intimitĂ© avec Dieu ? Est-ce que ça me fait grandir dans l’appel que le Seigneur me demande ? dans ma vocation ? Cet appel doit se vĂ©rifier est-ce que l’on se sent appelĂ©s à
 ?Est-ce que c’est quelqu’un qui me demande
 ? VĂ©rifier avec l’accompagnateur spirituel si c’est un appel pour moi. Prendre conseil pour discerner. Il y a 2 aspects 1. Les signes objectifs Ce sont les conseils spirituels, mon Ă©tat de vie, les circonstances dans lesquelles je suis, les rencontres, les demandes faites, est-ce que cela demeure dans le temps ? Mais aussi une certaine facilitĂ© de le faire, un goĂ»t pour ce que l’on a choisi est-ce que je me projette dedans ? Les capacitĂ©s reçues nous montrent aussi le chemin bien le montrer aux enfants. Il faut une certaine facilitĂ© si on rame » trop, et si l’on n’a pas de joie, cela ne va pas !. Il faut un goĂ»t pour l’appel de Dieu, pas un dĂ©goĂ»t ! Les circonstances aussi me disent quelque chose de la volontĂ© de Dieu par exemple Ă  travers une maladie, une pĂ©riode de chĂŽmage, un deuil
 il y a un discernement Ă  faire. Ce sont des signes objectifs que nous donne le Seigneur. La vocation chrĂ©tienne s’enracine dans notre vie. 2. Les Ă©lĂ©ments subjectifs L’appel doit me rendre heureux. C’est un appel au bonheur. Et il y a une paix intĂ©rieure. Avoir une lumiĂšre dans l’intelligence et dans le cƓur. Le Seigneur nous Ă©claire par son Esprit Saint. La certitude les raisons d’aimer doivent ĂȘtre bien ancrĂ©es. Et si l’on n’a pas de certitude intĂ©rieure, on reste oĂč l’on en est en attendant la lumiĂšre de Dieu on ne va pas prendre de dĂ©cisions. Les dĂ©cisions prises en pleine lumiĂšre ne doivent jamais ĂȘtre remises en cause en cas de il y a aussi les signes que je dĂ©couvre pour moi une parole par exemple. Mais attention, il faut toujours faire valider les signes. Bien voir si ce n’est pas l’imaginaire qui travaille. C’est important de discerner la volontĂ© de Dieu comment faire ? demander conseil Ă  la bonne personne ! dĂ©libĂ©rer c’est un discours intĂ©rieur, une dĂ©libĂ©ration prendre la dĂ©cision Attention aux vellĂ©itaires qui ne passent jamais Ă  l’action ou aux pusillanimes qui ne veulent pas se mouiller » et qui se replient sur eux, et puis il y a aussi celui qui passe Ă  l’action, mais de maniĂšre impulsive. On compte sur l’aide se l’Esprit-Saint, de la priĂšre des uns et des autres, de Marie. Cela demande toujours un acte de confiance. Mais il faut toujours se savoir portĂ© et soutenu. LorsqueDieu prendra en charge votre sĂ©curitĂ©, il vous donnera un esprit d’audace pour vous permettre d’aller lĂ  oĂč les autres ne peuvent pas aller. MĂȘme si vous traversez la vallĂ©e la plus sombre, vous ne craindrez aucun mal, car vous saurez que les anges de Dieu sont avec vous. 7 Signes indiquant que vous avez la sĂ©curitĂ© de Dieu. Doutons-nous parfois de l’appel de Dieu sur notre vie ? Si la rĂ©ponse est positive, nous constatons que cela arrive aussi aux hommes d’impact de la Bible. Nous pouvons le voir Ă  travers MoĂŻse, lors de sa rencontre avec Dieu dans l’épisode du buisson ardent Exode 3 et 4. Le professeur Sylvain Tousignant nous dĂ©crit dans le cours de Pentateuque comment MoĂŻse, ce grand leader que nous connaissons, a contestĂ© son 40 ans dans le dĂ©sert, Dieu se rĂ©vĂšle Ă  MoĂŻse et l’appelle Ă  retourner en Egypte pour dĂ©livrer son peuple. MoĂŻse va rĂ©pondre Ă  5 reprises Ă  Dieu sur cet appel. Voici ses prĂ©textes 1- son indignitĂ©Exode MoĂŻse dit Ă  Dieu Qui suis-je, pour aller vers Pharaon, et pour faire sortir d'Égypte les enfants d'IsraĂ«l?MoĂŻse se sentait sans valeur et indigne. Auparavant il aurait pu conduire les armĂ©es de Pharaon, maintenant 40 ans ont passĂ©, il ne se sent pas Ă  la hauteur pour cette mission que Dieu lui donne. Mais en rĂ©alitĂ©, il n’était plus imbu de lui-mĂȘme. Il se savait inadĂ©quat pour la tĂąche, mais c’est cela qui va le rendre prĂȘt car il va dĂ©pendre de Dieu pour cette grande mission. 2- son MoĂŻse dit Ă  Dieu J'irai donc vers les enfants d'IsraĂ«l, et je leur dirai Le Dieu de vos pĂšres m'envoie vers vous. Mais, s'ils me demandent quel est son nom, que leur rĂ©pondrai-je? Dieu dit Ă  MoĂŻse Je suis celui qui suis. Et il ajouta C'est ainsi que tu rĂ©pondras aux enfants d'IsraĂ«l Celui qui s'appelle "je suis" m'a envoyĂ© vers a peur d’ĂȘtre rejetĂ© par les anciens d’IsraĂ«l, de ne pas ĂȘtre reçu comme envoyĂ© par Dieu et de ne pas savoir quoi leur rĂ©pondre. À cause de l’ignorance de MoĂŻse, Dieu se rĂ©vĂšle Ă  lui et lui dit " Je suis ". Ce nom va lui donner tout le courage nĂ©cessaire pour affronter les 40 prochaines annĂ©es. C’est cette connaissance de Dieu qui va lui permettre de son manque de crĂ©dibilitĂ©. MoĂŻse rĂ©pondit, et dit Voici, ils ne me croiront point, et ils n'Ă©couteront point ma voix. Mais ils diront L'Éternel ne t'est point a peur de ne pas ĂȘtre crĂ©dible, de ne pas ĂȘtre Ă©coutĂ©. Dieu va lui rĂ©pondre en lui donnant trois signes miraculeux Exode Il va donner 3 signes de puissance, le bĂąton qui va devenir un serpent, la guĂ©rison de la lĂšpre et l’eau du fleuve qui deviendra du sang. Ces trois signes vont devenir des symboles, le serpent reprĂ©sente les dieux de l’Egypte, l’eau du Nil reprĂ©sente les Ă©lĂ©ments de l’Egypte et la lĂšpre sur le corps symbolise les Égyptiens qui vont aussi ĂȘtre frappĂ©s. 4- sa mauvaise MoĂŻse dit Ă  l'Éternel Ah! Seigneur, je ne suis pas un homme qui ait la parole facile, et ce n'est ni d'hier ni d'avant-hier, ni mĂȘme depuis que tu parles Ă  ton serviteur; car j'ai la bouche et la langue prĂ©texte sa mauvaise Ă©locution. Mais Dieu ne voulait pas forcĂ©ment un grand discoureur imbu de lui-mĂȘme mais un serviteur qui dirait ce qu’Il ordonnerait. Dieu prend les faibles de ce monde pour confondre les son MoĂŻse dit Ah! Seigneur, envoie qui tu voudras est en train de dire qu’il ne veut pas ĂȘtre envoyĂ© par Dieu. Il n’a plus d’argument et demande Ă  Dieu d’envoyer quelqu’un d’autre. Dieu va s’enflammer contre MoĂŻse et accepte d’envoyer Aaron avec va finalement accepter et faire le choix d’obĂ©ir Ă  la vision cĂ©leste. Il retournera en Egypte aprĂšs 40 ans d’absence. Suite Ă  cette rencontre avec Dieu, il ne doutera plus jamais de son appel Ă  dĂ©livrer le peuple d’IsraĂ«l. Dans nos vies, il y a ce mĂȘme principe une rencontre avec Dieu a lieu, le buisson ardent ne prendra pas forcĂ©ment feu, il n’y aura pas de miraculeux visible, mais il y a un moment d’appel, un moment divin oĂč se manifeste l’appel de l’accepter et engageons-nous dans ce que Dieu nous appelle Ă  ĂȘtre et Ă  faire. -Si Heu est Ă©tudiante Ă  l'Institut Biblique du QuĂ©bec. Elle vient de Paris, oĂč elle Ă©tait membre du Centre ÉvangĂ©lique de Philadelphia, elle frĂ©quente maintenant l'Ă©glise Nouvelle Vie de Longueuil. 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