Ilte faut t'ecrire une petite routine les detecter et ne pas les compter ou les compter dans un compteur séparé. #17 Zecat , 3 Juin 2010 Zecat WRInaute accro
Un changement de compteur de gaz est une intervention que seul GRDF est habilitĂ© Ă  rĂ©aliser sur la grande majoritĂ© du territoire. Le gestionnaire de rĂ©seau est parfois amenĂ© Ă  remplacer les compteurs de gaz pour des raisons de sĂ©curitĂ© ou de rĂ©glementations. Les consommateurs, quant Ă  eux, ne sont pas en mesure de refuser cette opĂ©ration, tout comme ils ne peuvent pas dĂ©placer ou changer eux-mĂȘmes leur compteur. Ils peuvent toutefois demander un remplacement dans le cas oĂč le dispositif est dĂ©fectueux. En dĂ©tails, voici comment et pourquoi effectuer un changement de compteur gaz. Sommaire Pourquoi faut-il changer de compteur gaz GRDF ? Le changement du compteur gaz est-il obligatoire ? Quel est le prix d'un changement de compteur gaz ? Comment se dĂ©roule l'installation du compteur Gazpar ? Qui contacter pour un changement de compteur gaz ? Foire aux questions Pourquoi faut-il changer de compteur gaz GRDF ? Un changement de compteur gaz par GRDF peut ĂȘtre opĂ©rĂ© pour plusieurs raisons, notamment lorsque le compteur est jugĂ© trop vieux ou encore dans le but de moderniser le rĂ©seau de gaz, notamment avec le dĂ©ploiement du compteur intelligent Gazpar qui s'Ă©tend jusqu'Ă  2022. Dans les deux cas, le particulier n'a rien Ă  faire car ce changement de compteur de gaz est alors obligatoire et automatique. Le renouvellement d'anciens compteurs vĂ©tustes Les avantages du compteur Gazpar Le renouvellement d'anciens compteurs vĂ©tustes La raison la plus frĂ©quente pour laquelle un compteur de gaz doit ĂȘtre remplacĂ© est que celui-ci est trop vĂ©tuste. La rĂ©glementation exige un changement de compteur de gaz par GRDF tous les 20 ans, mĂȘme si le dispositif ne montre aucune dĂ©faillance. Tous les vieux compteurs sont donc systĂ©matiquement remplacĂ©s par GRDF lorsqu'ils atteignent la vingtaine. Le particulier n'a aucune dĂ©marche Ă  faire pour demander ce remplacement. Par ailleurs, GRDF a aussi pour mission de remplacer l'ensemble des 11 millions de compteurs de gaz actuels par le compteur communicant Gazpar, en partie pour rĂ©pondre aux enjeux de la transition Ă©nergĂ©tique. Ce dispositif Gazpar avait Ă©tĂ© testĂ© dans 24 villes et 4 rĂ©gions françaises en 2016, mais il est dĂ©sormais dĂ©ployĂ© partout en France. Toutes les installations devraient ĂȘtre complĂ©tĂ©es d'ici 2022. Cela signifie que mĂȘme les compteurs de moins de 20 ans se retrouveront remplacĂ©s Ă  terme. Dans ce cas aussi, le changement de compteur gaz par GRDF est automatique, gratuit et obligatoire - le consommateur n'est donc pas en mesure de refuser la pose de Gazpar et n'a aucune dĂ©marche Ă  rĂ©aliser pour le recevoir. La seule situation oĂč le consommateur peut demander le changement de son compteur de gaz est lorsqu'il juge celui-ci dĂ©fectueux. Il peut alors contacter GRDF pour demander une intervention. Si la dĂ©faillance est confirmĂ©e, l'opĂ©ration sera entiĂšrement prise en charge par GRDF. Toutefois, si le compteur s'avĂšre en bon fonctionnement, elle sera facturĂ©e - et attention, les frais de sollicitation d'un technicien GRDF peuvent dĂ©passer les 300€ TTC. Comment savoir si mon compteur de gaz est dĂ©fectueux ?Le compteur Ă©met un bruit anormal ; La consommation de gaz baisse ou augmente soudainement sans que le foyer n'ait changĂ© ses habitudes ; Le compteur est soumis aux intempĂ©ries pluie, neige, etc. ; Le compteur continue de tourner mĂȘme quand les vannes sont fermĂ©es.. Les avantages du compteur Gazpar Le changement des compteurs de gaz par le nouveau compteur Gazpar est rĂ©alisĂ© pour des raisons simples agir face aux dĂ©fis de la transition Ă©nergĂ©tique et moderniser le rĂ©seau de gaz français. Ce nouveau dispositif intelligent prĂ©sente en effet de nombreux avantages par rapport aux compteurs de gaz dits classiques, que ce soit pour le consommateur, pour l'environnement, ou encore pour les fournisseurs et GRDF lui-mĂȘme Des factures de gaz Ă©tablies sur la consommation rĂ©elle avec un ancien compteur, la facturation se fait gĂ©nĂ©ralement sur des estimations de consommation du foyer, puis ajustĂ©e Ă  travers une facture de rĂ©gularisation au moins une fois par an suite aux relevĂ©s de compteur de gaz rĂ©alisĂ©es par GRDF. Avec Gazpar, le foyer est systĂ©matiquement facturĂ© sur la base de sa consommation rĂ©elle, car le compteur intelligent est en mesure de compter quotidiennement sa consommation d'Ă©nergie ; Des relevĂ©s de compteur gaz automatiques le compteur intelligent est Ă©galement capable de transmettre les index de consommation automatiquement au gestionnaire. Plus besoin d'effectuer une auto-relĂšve de son compteur, ni de fixer de rendez-vous avec un technicien GRDF pour rĂ©aliser cette opĂ©ration. Cela permet aussi aux techniciens du gestionnaire de se concentrer sur d'autres tĂąches ; Un suivi de consommation plus prĂ©cis comme le compteur Gazpar permet un relevĂ© bi-journalier, il donne la possibilitĂ© aux utilisateurs de suivre leur consommation de maniĂšre trĂšs prĂ©cise au jour le jour, et aussi de la comparer avec certaines pĂ©riodes ou mĂȘme Ă  d'autres foyers pour mieux maĂźtriser leur budget. Il est mĂȘme possible, via l'espace client gaz GRDF, de programmer un seuil de consommation et de recevoir une alerte en cas de dĂ©passement. Ce suivi de consommation prĂ©cis devrait aider les foyers Ă  faire baisser leurs factures de gaz. La Commission de RĂ©gulation de l'Energie CRE estime Ă  1,5% les Ă©conomies d'Ă©nergie possibles avec Gazpar ; Un changement de compteur gaz gratuit un autre avantage du compteur Gazpar est que son installation est entiĂšrement prise en charge par GRDF. Le client n'a aucune dĂ©marche Ă  rĂ©aliser et aucun frais Ă  payer. Le changement du compteur gaz est-il obligatoire ? Deux cas de changement de compteur gaz par GRDF sont obligatoires le remplacement tous les 20 ans, ainsi que le remplacement par le compteur communicant Gazpar. Ces deux opĂ©rations sont en effet effectuĂ©es pour des raisons de sĂ©curitĂ© et de rĂ©glementation. Le consommateur ne peut pas les refuser. Peut-on refuser le changement de compteur gaz ? Les risques encourus pour refus de changement de compteur gaz Peut-on refuser le changement de compteur gaz ? Il convient d'abord de rappeler que le compteur de gaz n'est pas une propriĂ©tĂ© de l'occupant du logement, mais du gestionnaire du rĂ©seau de gaz naturel, donc GRDF. Ce dernier est ainsi habilitĂ© Ă  changer le compteur de gaz pour les besoins du rĂ©seau et pour la sĂ©curitĂ© des consommateurs, sans que les particuliers puissent s'y opposer. De plus, le dĂ©ploiement du compteur intelligent Gazpar est encadrĂ© par une directive europĂ©enne de 2009 2009/73/CE. Son installation est ainsi obligatoire pour l'ensemble des 11 millions de foyers alimentĂ©s au gaz en France, peu importe leurs fournisseurs. S'il n'est pas possible de refuser Gazpar, le particulier peut cependant repousser la pose du compteur chez lui. En effet, GRDF accorde un temps de rĂ©flexion aux consommateurs, qui peuvent alors demander une installation Ă  une date antĂ©rieure, Ă  condition que cette date soit avant fin 2022, oĂč la fin du dĂ©ploiement est programmĂ©e. Pour repousser son rendez-vous, le particulier peut refuser l'entrĂ©e du technicien Ă  son logement dans le cas oĂč son compteur est situĂ© Ă  l'intĂ©rieur ou encore adresser un courrier de refus Ă  GRDF. Mais attention, cela n'est pas recommandĂ©, sachant que le compteur devra tout de mĂȘme obligatoirement ĂȘtre remplacĂ© d'ici 2022. Les risques encourus pour refus de changement de compteur gaz Les risques encourus par les personnes refusant le changement de leur compteur gaz par GRDF sont surtout d'ordres financier et de sĂ©curitĂ© Des relevĂ©s de compteur payants les relevĂ©s Gazpar sont automatiques et ne requiĂšrent plus le dĂ©placement des techniciens GRDF au moins une fois par an. Ceux qui refusent l'installation du nouveau compteur devront alors payer pour prendre rendez-vous avec un technicien pour rĂ©aliser les relevĂ©s, aprĂšs 2022. D'aprĂšs les grilles tarifaires des prestations GRDF, un relevĂ© spĂ©cial coĂ»te 36,65€ TTC ; Un coĂ»t probable pour l'installation de Gazpar pendant la phase de dĂ©ploiement, le changement du compteur gaz par Gazpar est gratuit pour le consommateur. Cependant, pour ceux qui la refusent, il se pourrait que l'installation devienne payante une fois la phase de dĂ©ploiement complĂ©tĂ©e. En 2021, le remplacement d'un compteur de gaz Ă  la demande d'un particulier est facturĂ© 79,88€ TTC ; Des risques liĂ©s Ă  la sĂ©curitĂ© pour empĂȘcher le technicien chargĂ© de l'installation de Gazpar d'accĂ©der Ă  leur compteur, de nombreux consommateurs dĂ©cident de bloquer les accĂšs au boĂźtier en plaçant par exemple un cadenas. Cela peut ĂȘtre dangereux, car en cas de panne ou d'urgence gaz, les techniciens GRDF seront ralentis dans leurs opĂ©rations de dĂ©pannage. Quel est le prix d'un changement de compteur gaz ? Dans la majoritĂ© des cas, le changement du compteur gaz est gratuit, c'est-Ă -dire entiĂšrement pris en charge par GRDF. Le particulier n'est facturĂ© que s'il demande lui-mĂȘme le remplacement de son compteur pour ses propres bĂ©nĂ©fices par exemple s'il souhaite un compteur plus avancĂ© Ă©quipĂ© d'un Ă©metteur d'impulsion. Il devra Ă©galement payer s'il demande le remplacement de son compteur qu'il juge dĂ©fectueux, mais qu'aucune dĂ©faillance n'est trouvĂ©e par le technicien. Pour rĂ©sumer, voici combien coĂ»te le changement de compteur de gaz par GRDF selon la situation Prix d'un changement de compteur de gaz GRDF - 2021 Situation Prix du changement de compteur* Vieux compteur de plus de 20 ans Gratuit Remplacement par le compteur Gazpar Gratuit Compteur dĂ©fectueux Gratuit Remplacement Ă  la demande du client 79,88€ VĂ©rification du bon fonctionnement du compteur Ă  la demande du client PrĂ©sence de dĂ©faillance Gratuit Aucune dĂ©faillance 314,40€ *Prix TTC Ă  jour selon la grille tarifaire de GRDF en Mai 2021. Changer de compteur gaz qui paye du locataire ou du propriĂ©taire ? Pour savoir qui paye pour le changement de compteur gaz entre le propriĂ©taire et le locataire, il faut tenir compte de la raison de ce changement. Le propriĂ©taire est responsable de toutes les rĂ©parations dans un logement, y compris un compteur dĂ©fectueux. C'est donc normalement Ă  lui de payer pour remplacer un compteur dĂ©faillant, sauf que cette intervention est gratuite. S'il s'agit d'un changement de compteur de gaz par simple choix pour amĂ©liorer son confort et bĂ©nĂ©ficier d'un meilleur suivi de consommation, en revanche, c'est au locataire de prendre en charge les frais. Comment se dĂ©roule l'installation du compteur Gazpar ? Le remplacement du compteur de gaz par Gazpar se fait en suivant un calendrier d'installation dĂ©jĂ  Ă©tabli par GRDF. Cela signifie que les particuliers n'ont pas besoin de fixer de rendez-vous ni de faire une demande pour recevoir leur compteur nouvelle gĂ©nĂ©ration. Ils seront en revanche tenus informĂ©s de chaque Ă©tape de la pose Un mois avant l'installation de Gazpar Ă  son domicile, le client reçoit un courrier de la part de GRDF qui lui informe de l'arrivĂ©e prochaine du compteur chez luie ; 15 jours avant l'installation, un deuxiĂšme courrier est envoyĂ©, cette fois-ci par l'entreprise mandatĂ©e par GRDF pour la pose du compteur. Ce courrier indique la date et l'heure du passage du technicien, et dĂ©termine si la prĂ©sence du client est requise ou non elle n'est pas obligatoire si le compteur est situĂ© Ă  l'extĂ©rieur et est donc accessiblee ; 2 jours avant l'installation, si la prĂ©sence du client est requise, il reçoit une confirmation et un rappel du passage du technicien par e-mail ou par SMSe ; 8 heures avant l'arrivĂ©e du technicien, le particulier doit couper tous ses appareils fonctionnant au gaz chaudiĂšre, cuisiniĂšre, etc. ; À la date et Ă  l'heure du rendez-vous, il faut compter environ 30 minutes pour que le technicien rĂ©alise l'installation et effectue l'ouverture du nouveau compteur de gaz. Qui se charge du changement de compteur gaz ? Le changement de compteur gaz est rĂ©alisĂ© par GRDF et les entreprises mandatĂ©es par le gestionnaire uniquement. Il existe un outil de vĂ©rification mis en place par GRDF pour confirmer qu'une entreprise est bien missionnĂ©e par le distributeur, pour Ă©viter les arnaques. L'intervention est gratuite. Le coĂ»t sera en effet rapportĂ© sur les tarifs d'acheminement. Il n'existe pas de numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone GRDF dĂ©diĂ© au changement de compteur gaz comme cette opĂ©ration est en gĂ©nĂ©ral programmĂ©e automatiquement par le gestionnaire, sans que le particulier n'ait Ă  la demander. En revanche, il est possible de contacter le service client GRDF pour demander Ă  remplacer volontairement son compteur Ă  ses propres frais, ou encore demander des renseignements sur la possibilitĂ© de le faire changer avant la pĂ©riode lĂ©gale de 20 ans. Le service client GRDF peut ĂȘtre contactĂ© par tĂ©lĂ©phone au ☎ 09 69 36 35 34 du lundi au vendredi de 8h Ă  17h ou directement sur son site Internet, dans la rubrique "Aides et contacts". Foire aux questions Un changement de compteur gaz n'oblige en rien un consommateur Ă  changer de fournisseur, et inversement, un changement de fournisseur n'implique pas un changement de compteur par GRDF. Cela dit, toutes les occasions sont bonnes pour comparer les fournisseurs de gaz sur le marchĂ© afin de trouver l'offre de gaz la moins chĂšre, sachant que les consommateurs sont libres de changer de fournisseur Ă  tout moment et gratuitement. Comment trouver la meilleure offre ? Pour se faire accompagner dans sa recherche des fournisseurs les moins chers du marchĂ©, il est conseillĂ© de faire appel aux experts Selectra qui peuvent comparer les offres en 5 minutes et orienter le particulier vers le fournisseur le plus adaptĂ© Ă  son profil. Pour cela, il suffit d'appeler le ☎ 09 73 72 25 gratuit À titre indicatif, ci-dessous une liste de quelques fournisseurs aux tarifs parmi les plus attractifs Le compteur Gazpar Ă©tait en phase de test dans 24 villes françaises en 2016. Le dĂ©ploiement s'est ensuite gĂ©nĂ©ralisĂ© depuis 2017 et va continuer jusqu'Ă  fin 2022. Pour savoir quand le compteur devrait arriver dans sa commune, le particulier peut consulter le calendrier d'installation de Gazpar par GRDF gratuitement en ligne. Il suffit d'y saisir son code postal pour connaĂźtre les prochaines pĂ©riodes d'installation. Le changement de compteur gaz dure environ 30 minutes, pendant lesquelles tous les appareils fonctionnant au gaz devront ĂȘtre coupĂ©s. Pour toute intervention sur les compteurs, le client ne doit pas obligatoirement ĂȘtre prĂ©sent, sauf si le boĂźtier n'est pas accessible. RĂ©gion: Devise: L’option Usage gĂ©nĂ©ral v2 offre un accĂšs aux fonctionnalitĂ©s de stockage Azure les plus rĂ©centes, notamment le stockage Sporadique et Archive, avec une tarification optimisĂ©e de façon Ă  proposer les tarifs de stockage les plus bas par Go. Ces comptes fournissent l’accĂšs Ă  Data Lake Storage et aux objets blob de Mettez en service votre Ă©lectricitĂ© dans votre maison neuve ! Service et Rappel Gratuit - Disponible du lundi au dimanche de 8h Ă  21h En 5 minutes, nos conseillers vous aident gratuitement Ă  mettre en service votre Ă©lectricitĂ© ! Comparez les offres d'Ă©lectricitĂ© et Ă©conomisez jusqu'Ă  300€/an Comparez Service Gratuit En 5 minutes, notre app vous aide gratuitement Ă  mettre en service votre compteur Ă©lectrique ! Le compteur communicant est un compteur qui utilise les technologies AMR Automated Meter Reading et qui mesure prĂ©cisĂ©ment les consommation de gaz et d’électricitĂ©. Les donnĂ©es sont envoyĂ©es par radio au gestionnaire de rĂ©seau de distribution Enedis et GrDF. Le compteur Ă©lectrique communicant existe dĂ©jĂ  dans plusieurs pays du monde. Appelez papernest pour changer de fournisseur d’énergie en 5 min 09 72 50 77 40 Le compteur Ă©lectrique communicant Linky Linky, c’est le nouveau compteur Ă©lectrique communicant lancĂ© par Enedis en dĂ©cembre 2015. Il a pour fonction de recevoir des ordres et de transmettre des donnĂ©es sans intervention de la part d’un technicien. Autonome, le compteur Ă©lectrique communicant est fait pour faciliter la vie des clients Enedis. L’objectif, c’est de parvenir au changement de tous les anciens compteurs Ă©lectriques en France d’ici 2021 dans plus de 35 millions de foyers. Il enregistre, Ă  l’image des anciens compteurs, la consommation globale des kWh du foyer. Le compteur Ă©lectrique communicant Linky est gratuit et sa pose n’est pas non plus facturĂ©e. Il mesure la mĂȘme taille que les autres compteurs et se pose au mĂȘme endroit. Les avantages du compteur Ă©lectrique communicant ConcrĂštement, qu’est-ce que le compteur communicant change vĂ©ritablement ? les relĂšves se font dĂ©sormais Ă  distance, nul besoin d’un technicien modification de compteur ou de contrat sans rendez-vous en moins de 24h suivi de consommation via internet Ă©lectricitĂ© dans un nouveau logement en moins de 24 heures nouvelles offres d’électricitĂ© Ă  distance et pilotage des appareils Ă©lectromĂ©nagers aisĂ© Au-delĂ  de ces avantages, le compteur Linky, c’est aussi des coĂ»ts de prestations bien moins onĂ©reux coĂ»t de l’augmentation de puissance gratuit la premiĂšre annĂ©e et autrement au lieu de avec les anciens compteurs coĂ»t de la mise en service en urgence le jour mĂȘme au lieu de coĂ»t de la mise en service Ă  au lieu de comme Ă  l’accoutumĂ©e. D’autres avantages ? pour les collectivitĂ©s territoriales un meilleur service public de l’électricitĂ© et une meilleure prĂ©vision des investissements grĂące Ă  des donnĂ©es plus fiables pour les petits producteurs d’électricitĂ© un compteur unique qui enregistre les index de production et de consommation pour les fournisseurs d’électricitĂ© gestion plus fiable, satisfaction client en hausse et la possibilitĂ© des dĂ©velopper de nouvelles offres et d’autres services sans bouleverser les offres et tarifs actuels. Le compteur Linky mode d’emploi ? À retrouver sur le site officiel d’Enedis. Quel a Ă©tĂ© l’accueil rĂ©servĂ© au compteur Ă©lectrique communicant ? Paris rejette le compteur Ă©lectrique communicant Linky. En 2011, la ville de Paris a rejetĂ© l’idĂ©e de l’installation des compteurs communicants. Pourquoi ? La capitale remet en cause le bĂ©nĂ©fice du compteur Ă©lectrique intelligent et sont sceptiques quant Ă  la confidentialitĂ© des donnĂ©es de chaque citoyen et craignent pour la prĂ©servation de leur libertĂ© et de leur vie privĂ©e. Lors de sa gĂ©nĂ©ralisation, UFC Que Choisir Ă©mettait elle aussi des rĂ©serves et les Robins des Toits s’inquiĂ©taient Ă©galement des effets nĂ©gatifs Ă©mis par les ondes radios sur la santĂ© des français. 09 72 50 77 40 Appel non surtaxĂ© Appelez papernest pour prendre un contrat d’électricitĂ© avec un compteur communiquant Toutes vos dĂ©marches en ligne Commencez Service gratuit RĂ©alisez vos dĂ©marches de souscription de contrats d’énergie en moins de 5 minutes avec papernest. À savoir que pour le gaz, le compteur communicant existe aussi Gazpar. DĂ©jĂ  plus de 560 000 français nous ont fait confiance ! Pourquoi pas vous ? 09 72 50 77 40 DĂ©jĂ  plus de 560 000 français nous ont fait confiance ! Pourquoi pas vous ? Je me lance ! Mis Ă  jour le 30 Juin, 2022 Qui sommes nous ? Alexis Willot Chef de projet Web - Telecom Un conseiller papernest vous rappelle gratuitement Ouvrir votre contrat d'Ă©nergie, changer de fournisseur ou comparer les prix n'aura jamais Ă©tĂ© aussi simple. Saisissez votre numĂ©ro, on s'occupe du reste ! Ce site est protĂ©gĂ© par reCAPTCHA et les rĂšgles de confidentialitĂ© et d'utilisation de Google C’est notĂ© ! Votre rappel a Ă©tĂ© programmĂ©, restez bien Ă  proximitĂ© de votre tĂ©lĂ©phone vous serez bientĂŽt rappelĂ©. Oups, une erreur s’est produite
 Retournez en arriĂšre et tentez avec un autre numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. Retourner sur la page prĂ©cĂ©dente > Cette« force » dĂ©pend de la longueur L du mot de passe et du nombre N de caractĂšres possibles. Elle suppose que le mot de passe est choisi de façon alĂ©atoire. Elle se calcule aisĂ©ment par la formule N L. Mais il est plus difficile d’estimer si la valeur ainsi obtenue est suffisante ou pas. Bouygues Telecom, Orange et Archos sont toutes les trois des entreprises françaises. Mais elles ont un autre point en commun puisqu’elles ont toutes les trois lancĂ© un rĂ©seau de type LoRa. On commence de plus en plus Ă  voir passer ce terme sur les sites d’actualitĂ© dĂ©diĂ©s aux objets connectĂ©s et aux rĂ©seaux M2M machine to machine, et le rĂ©seau LoRa est censĂ© rĂ©volutionner le monde des objets connectĂ©s. Mais de quelle maniĂšre ? DĂ©couverte de ce nouveau rĂ©seau dotĂ© de racines françaises. Il y a quelques semaines, Ă  l’occasion d’une confĂ©rence de presse sur le rĂ©seau LoRa dĂ©diĂ© aux objets connectĂ©s, Bouygues Telecom, Sagemcom et le prĂ©sident de l’alliance LoRa – Geoff Mulligan – sont revenus en dĂ©tail sur le fonctionnement et les enjeux de ce rĂ©seau radio longue portĂ©e Ă  basse consommation. Car c’est ça l’objectif de LoRa permettre la crĂ©ation d’un vaste rĂ©seau destinĂ© aux objets connectĂ©s, permettant de rĂ©duire les coĂ»ts ainsi que la consommation Ă©lectrique des appareils s’y connectant. LoRa est un type de rĂ©seau plus exactement une technologie de modulation Ă  l’image de la 3G ou de la 4G. Contrairement Ă  ces derniers, le protocole n’est pas basĂ© sur la technologie IP, mais sur LoRaWAN, un nouveau protocole dĂ©veloppĂ© pour l’occasion afin de rĂ©pondre aux problĂ©matiques des objets connectĂ©s. Les origines françaises de LoRa La premiĂšre fois que nous avons abordĂ© le sujet LoRa sur FrAndroid, c’était en mars dernier lorsque Bouygues Telecom avait annoncĂ© sa volontĂ© de lancer le rĂ©seau LoRa dĂšs le mois de juin. L’alliance LoRa existe en fait depuis le dĂ©but de l’annĂ©e. La technologie de modulation utilisĂ©e provient du rachat de l’entreprise française Cycleo en 2012 par l’entreprise amĂ©ricaine Semtech. C’est cette sociĂ©tĂ© grenobloise Ă  qui l’on doit la technologie radio qui se cache derriĂšre LoRa. Pour rappel, le principal concurrent de LoRa est Sigfox, un rĂ©seau bas dĂ©bit Ă  basse consommation dĂ©veloppĂ© par l’entreprise Ă©ponyme de Toulouse mais avec un fonctionnement beaucoup plus intĂ©grĂ© et vertical puisque Sigfox est une technologie fermĂ©e et l’entreprise est donc l’unique opĂ©rateur de son rĂ©seau. Un signe que la France est toujours prĂ©sente dans le domaine des nouvelles technologies. L’alliance LoRa comprend en tout 127 membres et notamment Bouygues Telecom, Sagemcom, mais aussi des poids lourds internationaux comme HP, IBM et Cisco. La base technique d’un rĂ©seau LoRa LoRa est une technologie ouverte. Cela signifie que n’importe quelle entreprise peut crĂ©er son propre rĂ©seau LoRa puis l’exploiter, aprĂšs avoir achetĂ© les puces nĂ©cessaires au fonctionnement du rĂ©seau. Dans les faits, il suffit d’une antenne avec une station de base de la taille d’un attachĂ©-case, Ă©mettant sur la bande 868 MHz en France et reliĂ©e Ă  Internet d’une maniĂšre ou d’une autre Wi-Fi, Ethernet, 3G/4G, etc.. De l’autre cĂŽtĂ©, les objets connectĂ©s doivent intĂ©grer une puce LoRa pour recevoir le signal d’une antenne. Celui-ci est conçu pour Ă©mettre trĂšs loin, en intĂ©rieur et en sous-sol. Pour couvrir l’Irlande, l’alliance LoRa indique que seules 20 stations de base sont nĂ©cessaires. En revanche, pour la France, Bouygues Telecom en prĂ©voit 5000 Ă  6000 stations de base afin de rĂ©aliser une couverture de l’ensemble du territoire, en deep indoor, c’est-Ă -dire en sous-sol avec des tests rĂ©alisĂ©s Ă  1 mĂštre sous terre par Sagemcom dans le cadre de compteurs de relĂšve d’énergie. À titre de comparaison, le rĂ©seau 3G d’Orange utilise presque 28 000 antennes et 1 500 pour le rĂ©seau Sigfox, concurrent de LoRA qui ne rĂ©alise pas forcĂ©ment de deep indoor. Enfin, plus il y a de relais et meilleure sera l’autonomie des objets connectĂ©s qui seront dotĂ©s d’une meilleure accroche rĂ©seau. À gauche, un objet connectĂ© ; au milieu une antenne LoRa ; Ă  droite le lien avec Internet LoRa vs Sigfox Le rĂ©seau LoRa est-il vraiment meilleur que le rĂ©seau Sigfox ? La question est dĂ©licate puisque Sigfox est un rĂ©seau dĂ©ployĂ© par un seul opĂ©rateur. Sigfox vent en fait, un service de connectivitĂ© avec une garantie de service, par abonnement. Mais l’inconvĂ©nient de Sigfox est le manque de points haut en agglomĂ©ration. Certains avancent une gĂ©olocalisation impossible. Dans les faits, elle est possible Ă  une prĂ©cision de 1 km en France. Pour LoRa, cela dĂ©pendra du rĂ©seau et plus particuliĂšrement de la densitĂ© du maillage plus il y a d’antennes et plus la prĂ©cision sera Ă©levĂ©e. Concernant LoRa, ce sont principalement les opĂ©rateurs qui dĂ©ploient un rĂ©seau LoRa, bĂ©nĂ©ficiant alors de leurs points hauts existants. Enfin, en cas d’accords commerciaux, il sera possible de rĂ©aliser du roaming, c’est-Ă -dire, pour le client, de bĂ©nĂ©ficier de deux rĂ©seaux diffĂ©rents, par exemple celui d’Orange et de Bouygues Telecom selon la position de son objet connectĂ© et la couverture du rĂ©seau. Le roaming sera aussi possible Ă  l’international. Mais encore faut-il que les acteurs s’accordent entre-eux pour rĂ©aliser des partenariat commerciaux, ce qui n’est pas gagnĂ© puisqu’ils sont tous concurrents. Ce dernier problĂšme ne se pose pas dans le cadre de Sigfox puisque le rĂ©seau est en train d’ĂȘtre dĂ©ployĂ© Ă  l’international par un seul et mĂȘme acteur Sigfox lui-mĂȘme. Lien YouTubeS’abonner Ă  Frandroid Des exemples pratiques de l’utilisation de LoRa Dans la pratique, Ă  quoi sert LoRa ? Sagemcom a donnĂ© trois exemples de produits connectĂ©s grĂące au rĂ©seau LoRa. C’est le cas de capteurs permettant de connaĂźtre l’état de fermeture des portes des baraques de chantier pour savoir si elle s’est fait cambrioler, ou encore la position des engins de travaux grĂące Ă  la triangulation. L’entreprise a aussi abordĂ© le cas des capteurs de places libres dans les parkings, plus facile Ă  mettre en oeuvre qu’avec une connexion Wi-Fi qui nĂ©cessite de nombreux rĂ©partiteurs. On peut Ă©galement citer les compteurs eau, Ă©lectricitĂ©, gaz, etc. qui transmettent les relevĂ©s par les ondes. On est donc plus sur une approche B2B qu’un rĂ©seau purement destinĂ© aux consommateurs. Toutefois, ces derniers s’en serviront sĂ»rement, sans forcĂ©ment le savoir. Un rĂ©seau Ă©conome en Ă©nergie Le grand avantage de LoRa par rapport Ă  un rĂ©seau cellulaire conventionnel, c’est l’autonomie des rĂ©cepteurs. Le rĂ©seau LoRa est conçu de maniĂšre infrastructure, protocole, modulation, etc. Ă  consommer le moins d’énergie possible. Il serait ainsi possible d’atteindre une autonomie de l’ordre de plusieurs dizaines d’annĂ©es sur des produits comme des compteurs d’eau, d’électricitĂ©, etc. avec une batterie. Cela est rendu possible par le fonctionnement du protocole LoRaWAN avec trois modes diffĂ©rents. Le premier permet Ă  un objet d’envoyer des informations vers une antenne puis d’en recevoir immĂ©diatement aprĂšs l’envoi. Si le serveur veut envoyer des informations Ă  l’objet, il devra attendre le prochain cycle d’envoi. On pense par exemple aux compteurs d’eau qui envoient les donnĂ©es de maniĂšre rĂ©guliĂšre et espacĂ©e dans le temps. Ce mode est le moins gourmand en Ă©nergie. Le second mode permet Ă  l’objet connectĂ© de recevoir des donnĂ©es Ă  des intervalles rĂ©guliers et paramĂ©trĂ©s Ă  l’avance. Enfin, le dernier mode permet au rĂ©cepteur de recevoir des donnĂ©es en continu. Le mode le plus gourmand en Ă©nergie. Niveau dĂ©bits, le rĂ©seau LoRa est loin, trĂšs loin de la 3G et mĂȘme de la 2G. Il est question d’un dĂ©bit compris entre 0,3 Ă  50 kbps selon les besoins. Le dĂ©bit et la puissance d’émission s’adapte automatiquement selon les besoins des objets, afin de limiter la bande passante et donc la consommation. Le dĂ©bit est amplement suffisant pour transmettre quelques chiffres qui reprĂ©sentent par exemple une consommation d’eau sur un compteur. Bouygues, Orange et Archos en France Pour le moment, en France, Bouygues Telecom dĂ©butent le dĂ©ploiement de son rĂ©seau LoRa, tout comme Orange. Si ce dernier ne fait pas encore partie de l’alliance Ă  l’image d’Archos, ça ne saurait tarder selon les sources internes de l’alliance. Archos est le dernier entrant en ayant annoncĂ© le dĂ©ploiement, dĂšs 2016 d’un rĂ©seau LoRa un peu particulier. Au lieu d’utiliser de classiques antennes, Archos dĂ©ploiera des mini antennes prenant la forme d’une prise Ă©lectrique, chez les partenaires comme La Poste ou les Abribus de JCDecaux par exemple. Mais le plus Ă©tonnant provient du protocole utilisĂ© par Archos qui n’est pas LoRaWAN, mais un protocole propriĂ©taire. Ainsi, un objet connectĂ© utilisant le protocole LoRaWAN ne pourra pas se connecter au rĂ©seau d’Archos. Dommage puisque cela fragmentera encore plus le marchĂ© existant des rĂ©seaux M2M machine to machine contrairement aux rĂ©seaux LoRa d’Orange et Bouygues Telecom qui seront compatibles avec les mĂȘmes objets. Une technique commerciale diffĂ©rente Au niveau commercial, les rĂ©seaux LoRa et plus gĂ©nĂ©ralement les rĂ©seaux M2M sont l’occasion pour les opĂ©rateurs de revoir un peu leur modĂšle Ă©conomique. Ainsi, il ne sera pas forcĂ©ment question d’un abonnement ou d’un coĂ»t liĂ© au volume de donnĂ©es Ă©changĂ©es. À la place, le coĂ»t devrait ĂȘtre annuel et fixe Archos parle par exemple d’un euro par an et par objet. Bouygues Telecom n’a pas encore abordĂ© la question du prix, mais pense Ă  offrir l’accĂšs au rĂ©seau ainsi que les transferts de donnĂ©es, mais faire payer la gestion des objets ou de la partie logicielle par exemple. Cette stratĂ©gie est rendue possible par le faible coĂ»t de dĂ©ploiement du rĂ©seau LoRa Bouygues parle de quelques dizaines de milliers d’euros pour couvrir la France contre plusieurs milliards d’euros pour les rĂ©seaux cellulaires. Une offre de rĂ©seaux M2M prolifique Nous avons rĂ©alisĂ© ce dossier sur LoRa afin de dĂ©chiffrer ce sujet mĂ©connu du grand public. Toutefois, c’est l’un des nombreux rĂ©seaux M2M existant actuellement et dĂ©diĂ© aux objets connectĂ©s avec une faible consommation d’énergie et une longue portĂ©e. On peut citer Sigfox, Weightless-N, Qowisio, Ingenu et encore d’autres acteurs. Pour les plus curieux, Olivier Ezratty a dressĂ© une longue et intĂ©ressante liste sur le sujet. Nous aurons l’occasion de revenir en dĂ©tail sur ces autres rĂ©seaux Ă  l’avenir. Selon nous, LoRa est le rĂ©seau qui a le plus de chance de percer et s’imposer puisqu’il commence Ă  se dĂ©ployer et est entiĂšrement ouvert. Certes, Sigfox est davantage dĂ©ployĂ© pour le moment, mais a moins de chances de s’imposer sur le long terme sans ouvrir ses technologies. Le consommateur n’aura de toute façon pas Ă  choisir, puisque ce sont les constructeurs d’objets qui le feront pour lui. On imagine qu’il y aura de nombreuses fusions dans les annĂ©es Ă  venir, pour ne conserver qu’une seule technologie principale mĂȘme s’il est probable que certaines grandes entreprises pourraient ĂȘtre tentĂ©es d’utiliser des solutions propriĂ©taires. Pour nous suivre, nous vous invitons Ă  tĂ©lĂ©charger notre application Android et iOS. Vous pourrez y lire nos articles, dossiers, et regarder nos derniĂšres vidĂ©os YouTube.
LesĂ©quipements rĂ©seaux et systĂšmes Ă©quipĂ©s d'agent SNMP peuvent ĂȘtre configurĂ©s pour Ă©mettre des alarmes SNMP vers le gestionnaire de Traps intĂ©grĂ© au manager snmp LoriotPro. LoriotPro gĂšre les Traps de type SNMP V1 et les notifications ou Informs SNMP V2C et V3 (restreint). LoriotPro assure la translation entre les Traps standards et les notifications V2c ou
ComplĂ©ment RĂ©seaux de Transport et Applications L’administration de l’Internet SNMP Simple Network Management Protocol IntroductionLes standardsLes attendus d’une administration de rĂ©seauL’organisation d’une administrationLes systĂšmes de gestion de rĂ©seau L’architecture d’un logiciel d’administration de rĂ©seauLa gestion distribuĂ©e d’un rĂ©seau1. Les concepts de SNMPLe ModĂšleLe ModĂšle 2Le ModĂšle 32. La MIB Management Information BaseSMI Structure of de spĂ©cification des informations d’administrationLa spĂ©cification de l’arbre des MIB typesMise jour de la structureLes MIBs3. Le Protocole SNMPQuelques rĂšgles CommunautĂ©s et Nom de communautĂ©sDĂ©finition de la communautĂ©Les concepts d’administration L’identification d’instanceL’accĂšs direct dans une tableL’ordre lexicographiqueLa spĂ©cification du protocoleEchange sur le rĂ©seau au niveau du serviceExempleSuite de l’exempleConclusion provisoire4. SNMP v2SMI Structure de l’information d’administration1. DĂ©finition des objets2. Les tablesCrĂ©ation et destruction d’un rang dans un tableauCrĂ©ation et destruction d’un rang dans un tableauExemple de crĂ©ation de ligne d’une tableLe protocolePossibilitĂ© de station d’administration Ă  station d’administrationLa MIBLa compatibilitĂ© entre SNMP et SNMPv2 La sĂ©curitĂ© dans SNMP 2Format des messages sĂ©curisĂ©sÉmission d’une requĂȘte sĂ©curisĂ©eExemples d’agentsAlgorithme de synchronisation des horlogesAlgorithme de synchronisation des horloges25. Conclusion6. Bibliographie Introduction Le rĂ©seau est devenu une ressource indispensable voir vitale au bon fonctionnement d’une organisation, une entreprise, 
 L’administration du rĂ©seau met en oeuvre un ensemble de moyens pour offrir aux utilisateurs un service de qualitĂ©, permettre l’évolution du systĂšme en incluant des nouvelles fonctionnalitĂ©s optimiser les performances des services pour les utilisateurs permettre une utilisation maximale des ressources pour un coĂ»t minimal. Administration c’est la partie opĂ©rationnelle d’un rĂ©seau Les fonctions d’administration doivent permettre l’extraction des informations des Ă©lĂ©ments du rĂ©seau au moyen d’outils => rĂ©colte un grand nombre d’information, la rĂ©duction du volume d’information au moyen de filtres => sĂ©lection d’information significatives, le stockage des informations retenues dans une base de donnĂ©es d’administration, des traitements sur ces informations, offrir des interfaces utilisateur d’administration administration, opĂ©rateur rĂ©seau. Les standards Pour ĂȘtre utiliser par une large gamme de produits systĂšmes terminaux, ponts, routeurs, Ă©quipement de tĂ©lĂ©communication quelconque et dans un environnement multi-constructeurs, On trouve deux grandes familles de standards SNMP regroupe un ensemble de standards incluant un protocole, une spĂ©cification de la structure de la base de donnĂ©es et un ensemble d’objets. C’est le standard pour TCP/IP. L’administration de systĂšmes OSI regroupe un grand ensemble de standards qui dĂ©crivent une architecture gĂ©nĂ©rale d’administration, un service et un protocole de gestion CMISE/CMIP, la spĂ©cification de la structure de la base de donnĂ©es et un ensemble d’objets. Les attendus d’une administration de rĂ©seau Les cinq domaines fonctionnels de l’administration tel que dĂ©finis dans l’OSI La gestion des pannes permet la dĂ©tection, la localisation, la rĂ©paration de pannes et le retour Ă  une situation normale dans l’environnement. La comptabilitĂ© permet de connaĂźtre les charges des objets gĂ©rĂ©s, les coĂ»ts de communication, 
 Cette Ă©valuation est Ă©tablie en fonction du volume et de la durĂ©e de la transmission. Ces relevĂ©s s’effectuent Ă  deux niveaux RĂ©seau et Application. La gestion des configurations permet d’identifier, de paramĂ©trer les diffĂ©rents objets. Les procĂ©dures requises pour gĂ©rer une configuration sont la collecte d’information, le contrĂŽle de l’état du systĂšme, la sauvegarde de l’état dans un historique L’audit des performances permet d’évaluer les performances des ressources du systĂšme et leur efficacitĂ©. Les performances d’un rĂ©seau sont Ă©valuĂ©es Ă  partir de quatre paramĂštres le temps de rĂ©ponse, le dĂ©bit, le taux d’erreur par bit et la disponibilitĂ©. La gestion de la sĂ©curitĂ© une des fonctions de gestion concerne le contrĂŽle et la distribution des informations utilisĂ©es pour la sĂ©curitĂ©. Un sous-ensemble de la MIB concerne les informations de sĂ©curitĂ© SMIB. Il renferme le cryptage et la liste des droits d’accĂšs. L’organisation d’une administration Qui a besoin d’administration et pour quoi faire ? Il existe diffĂ©rents types de dĂ©cision d’administration dĂ©cisions opĂ©rationnelles dĂ©cision Ă  court terme, concernant l’administration au jour le jour et opĂ©rations temps rĂ©el sur le systĂšme dĂ©cisions tactiques dĂ©cision Ă  moyen terme concernant l’évolution du rĂ©seau et l’application des politiques de long terme dĂ©cisions stratĂ©giques dĂ©cision de long terme concernant les stratĂ©gies pour le futur en exprimant les nouveaux besoins et dĂ©sirs des utilisateurs. Ces niveaux dĂ©terminent diffĂ©rents niveaux d’administration le contrĂŽle opĂ©rationnel rĂ©seau pour les dĂ©cisions opĂ©rationnelles la gestion rĂ©seau pour les dĂ©cision tactiques l’analyse de rĂ©seau pour les dĂ©cision tactiques et stratĂ©giques la planification pour les dĂ©cisions stratĂ©giques Les systĂšmes de gestion de rĂ©seau Un systĂšme de gestion rĂ©seau est une collection d’outils pour contrĂŽler et gĂ©rer le rĂ©seau qui comprend une interface pour opĂ©rateur avec un ensemble de commandes pour exĂ©cuter la plupart des tĂąches d’administration de rĂ©seaux. un minimum d’équipements supplĂ©mentaire intĂ©grĂ© au systĂšme existant. La configuration d’un environnement de rĂ©seau gĂ©rĂ© L’architecture d’un logiciel d’administration de rĂ©seau L’architecture de l’application dans un gestionnaire ou dans un agent va varier en fonction des fonctionnalitĂ©s de la plate-forme. Une vue gĂ©nĂ©rique d’une plate-forme divisĂ© en trois grandes catĂ©gories le logiciel utilisateur le logiciel de gestion rĂ©seau le logiciel de communication et de support des donnĂ©es La gestion distribuĂ©e d’un rĂ©seau Ressources RĂ©seau serveurs, routeurs, hotes avec des agents d’administration concepts de SNMP Protocole d’administration de machine supportant TCP/IP Conçu en 87-88 par des administrateurs de rĂ©seau RĂ©ponse Ă  un appel d’offre de l’OSF selon le modĂšle DCE RMON MIB1-91, Secure SNMP-92, SNMPv2 – 93. Permet de rĂ©pondre Ă  un grand nombre de besoins disposer d’une cartographie du rĂ©seau fournir un inventaire prĂ©cis de chaque machine mesurer la consommation d’une application signaler les dysfonctionnements Avantages protocole trĂšs simple, facile d’utilisation permet une gestion Ă  distance des diffĂ©rentes machines le modĂšle fonctionnel pour la surveillance et pour la gestion est extensible indĂ©pendant de l’architecture des machines administrĂ©es Le ModĂšle Une administration SNMP est composĂ©e de trois types d’élĂ©ments des agents chargĂ©s de superviser un Ă©quipement. On parle d’agent SNMP installĂ© sur tout type d’équipement. une ou plusieurs stations de gestion capable d’interprĂ©ter les donnĂ©es une MIB Management Information Base dĂ©crivant les informations gĂ©rĂ©es. Un protocole activĂ© par une API permet la supervision, le contrĂŽle et la modification des paramĂštres des Ă©lĂ©ments du rĂ©seau. Les fonctionnalitĂ©s get permet Ă  la station d’interroger un agent, get_next permet la lecture de l’objet suivant d’un agent sans en connaitre le nom set permet de modifier les donnĂ©es d’un agent trap permet de transmettre une alarme Le ModĂšle 2 Architecture de SNMP Le ModĂšle 3 L’utilisation de SNMP suppose que tous les agents et les stations d’administration supportent IP et UDP. Ceci limite l’administration de certains pĂ©riphĂ©riques qui ne supportent pas la pile TCP/IP. De plus, certaines machines ordinateur personnel, station de travail, contrĂŽleur programmable, 
 qui implantent TCP/IP pour supporter leurs applications, mais qui ne souhaitent pas ajouter un agent SNMP. => utilisation de la gestion mandataire les proxies Un agent SNMP agit alors comme mandataire pour un ou plusieurs pĂ©riphĂ©riques La MIB Management Information Base => ModĂšle de donnĂ©es associĂ© Ă  SNMP . SMI Structure of Management information – mĂ©ta modĂšle . MIB = liste des variables reconnues par les agents => Base de donnĂ©es contenant les informations sur les Ă©lĂ©ments du rĂ©seau Ă  gĂ©rer => 1 ressource Ă  gĂ©rer = 1 objet MIB = Collection structurĂ©e d’objets chaque noeud dans le systĂšme doit maintenir une MIB qui reflĂšte l’état des ressources gĂ©rĂ©es une entitĂ© d’administration peut accĂ©der aux ressources du noeud en lisant les valeurs de l’objet et en les modifiant. => 2 objectifs Un schĂ©ma commun SMI Structure of Management Information Une dĂ©finition commune des objets et de leur structure SMI Structure of de spĂ©cification des informations d’administration => donne les rĂšgles de dĂ©finition, d’accĂšs et d’ajout des objets dans la MIB mĂ©ta-modĂšle Objectif encourager la simplicitĂ© et l’extension de la MIB rendre un objet accessible de la mĂȘme maniĂšre sur chaque entitĂ© du rĂ©seau possĂ©der une reprĂ©sentation identique des objets La MIB contient des Ă©lĂ©ments simples scalaire et tableaux Ă  deux dimensions de scalaires SNMP ne permet que des interrogations de scalaires OSI permet des structures et des modes de recherche complexes La spĂ©cification de l’arbre des MIB accessibles . On utilise la syntaxe pour dĂ©crire les donnĂ©es. Chaque objet est reprĂ©sentĂ© par un “object identifier” Exemple Internet Object Identifier = {ISO org3 dod6 1} soit en notation pointĂ©e pour le noeud Internet. Exemple directory Object Identifier = {internet 1} mgmtObject Identifier = {internet 2} Les types Des types simples INTEGER, OCTET STRING, OBJECT IDENTIFIER, NULL, SEQUENCE, SEQUENCE OF Les types dĂ©rivĂ©s ou applicatifs [RFC 1155] Exemple de types applicatifs IpAddress = — type de donnĂ©es reprĂ©sentant une adresse IP [APPLICATION 0] IMPLICIT OCTET STRING SIZE 4 NetwokAddress = –adresse rĂ©seau CHOICE {internet IpAddress} Counter = — repasse Ă  0 lorsque = Max [APPLICATION 1] IMPLICIT INTEGER 0..4294967295 Gauge = – ne repasse pas Ă  0 [APPLICATION 2] IMPLICIT INTEGER 0..4294967295 TimeTicks = — compte le tps en centiĂšme de sec depuis une Ă©poque donnĂ©e [APPLICATION 3] IMPLICIT INTEGER 0..4294967295 Opaque = — reprĂ©sente un encodage arbitraire [APPLICATION 4] IMPLICIT Octet String + 2 types construits = SEQUENCE { 
} = SEQUENCE OF Les objets dĂ©crits utilisent la macro suivante OBJECT-TYPE MACRO = BEGIN TYPE NOTATION = “SYNTAX” type TYPE ObjectSyntax “ACCESS” Access “STATUS” Status VALUE NOTATION = value VALUE ObjectName Access = “read-only” ”read-write” ”write-only” ”not-accessible” Status = “mandatory” ”optional” ”obsolete” ”deprecated” END Exemple d’objets dĂ©fini par le SMI du RFC1155 OBJECT ———— atIndex {atEntry 1} Syntax INTEGER Definition The interface number for the physical address Access read-write Status mandatory OBJECT ———— atPhysAddress {atEntry 2} Syntax OCTET STRING Definition The media-dependant physical address Access read-write Status mandatory OBJECT ———— atEntry {atTable 1} Syntax AtEntry= SEQUENCE { atIndex INTEGER, atPhysAddress OCTET STRING, atNetAddress NetworkAddress, } Definition an entry in the translation table Access read-write Status mandatory OBJECT ———— atTable{at 1} Syntax SEQUENCE OF AtEntry Definition The address translation table Access read-write Status mandatory Autres objets intĂ©ressants atIndex OBJECT-TYPE SYNTAX INTEGER ACCESS read-write STATUS mandatory = {atEntry 1} atPhysAddress OBJECT-TYPE SYNTAX OCTET STRING ACCESS read-write STATUS mandatory = {atEntry 2} atNetAddress OBJECT-TYPE SYNTAX NetWorkAddress ACCESS read-write STATUS mandatory = {atEntry 3} atEntry OBJECT-TYPE SYNTAX AtEntry ACCESS read-write STATUS mandatory = {atTable 1} Mise jour de la structure le nom de la MIB concernĂ©e ne change pas mais son no de version Ă©volue exemple mgmt version-number les anciens objets sont dĂ©clarĂ©s comme obsolĂštes s’il y a besoin mais sont prĂ©servĂ©s augmentation de la dĂ©finition d’un objet en ajoutant de nouveaux objets dans la structure ou crĂ©ation complĂšte d’un objet => Évolution pas de modification des objets existants dans les nouvelles versions Les MIBs Version 2 de la MIB mib-2 Object Identifier = {mgmt 1} => groupe de travail “SNMP Working Group” MIB II 10 sous ensembles qui sont system interfaces at ip icmp tcp udp udp egp transmission snmp system correspond au nom de l’agent, no de version, type de la machine, nom du systĂšme d’exploitation, type de logiciel rĂ©seau en ASCII imprimable exemple d’interrogation AccĂšs Ă  des variables d’administration sur une passerelle appletalk-internet echo “internet[]” snmp-table more sysDescr[0]=”Beholder running on Ultrix” sysObjectID[0]= sysUpTime[0]=449144 sysContact[0]=”Stephane Bortzmeyer” sysName[0]=” sysLocation[0]=”My office” sysServices[0]=127 interface Âč interfaces rĂ©seau d’une machine nombre d’interface, type des interfaces et nom du fabricant, vitesse des interfaces, nombre de paquets entrants, sortants, en erreur,
 at conservĂ© pour des raisons de compatibilitĂ© avec MIB-I. gĂšre une table de translation entre des adresses rĂ©seau de niveau logique IP et adresses spĂ©cifiques Ethernet. Ă©quivalent Ă  la table ARP. ip paramĂštres durĂ©e de vie par dĂ©faut des paquets IP, nb de paquets reçus ou envoyĂ©s, nb de paquets rĂ©assemblĂ©s avec succĂšs ainsi que le nb de fragments crĂ©es, la table de routage si elle existe, le masque sous-rĂ©seau, l’adresse physique, etc. la partie de la MIB la plus importante icmp 26 compteurs pour chaque message icmp, 2 compteurs pour compter les messages reçus et Ă©mis 4 compteurs pour compter le nombre total de messages icmp reçus, reçus par erreur ou non envoyĂ©s, tcp rend compte des connexions TCP en cours et des paramĂštres de type nombre max de connexions simultanĂ©es permises, nombre d’ouverture active,
et l’état de chaque connexion Ă©coute, time-wait,
. udp 4 compteurs renseignent sur le nombre de datagramme UDP envoyĂ©s, reçus, en erreur, 
 la table gĂšre la liste des applications utilisant UDP ainsi que le pour correspondant egp gĂšre le protocole egp External gateway protocolroutage des paquets entre routeurs. on a le nbre de paquets entrants, sortants, en erreur, la table des routeurs adjacents, des infos sur les routeurs
 transmission ne contient que type Object Identifier ={transmission number} qui permet d’identifier le type de media utilisĂ© pour la transmission. snmp requis pour chaque entitĂ© mettant en oeuvre le protocole contient le nombre de message SNMP entrants et sortants, le nombre de mauvaises versions reçues ou de nom de communautĂ© invalide, la rĂ©partition du type de requĂȘtes reçues et envoyĂ©es get, get_next, set et trap Protocole SNMP L’architecture du rĂ©seau utilisĂ© Format d’un message SNMP un identificateur de version no de version SNMP un nom de communautĂ© une PDU version communautĂ© SNMP PDU Les opĂ©rations de SNMP get une station d’administration lit la valeur d’un compteur, d’une variable d’un agent gĂ©rĂ©set mise Ă  jour d’une variable sur un agent trap un agent envoie une valeur d’une variable de maniĂšre implicite vers la station d’administration. Quelques rĂšgles il n’est pas possible de changer la structure de la MIB par ajout ou retrait d’instances. L’accĂšs aux objets est possible uniquement sur les objets-feuilles de l’arbre des identificateurs d’objets. Par convention, il est possible d’exĂ©cuter des opĂ©rations sur des tables Ă  deux dimensions. =>D’un cĂŽtĂ© ces restrictions simplifient l’implantation de SNMP => De l’autre cĂŽtĂ© ils limitent la capacitĂ© du systĂšme d’administration. CommunautĂ©s et Nom de communautĂ©s Le contrĂŽle d’accĂšs par les diffĂ©rentes stations d’administration Ă  la MIB de chaque agent comporte trois aspects un service d’authentification un agent peut souhaiterlimiter les accĂšs Ă  la MIB aux stations d’administrations autorisĂ©es une politique d’accĂšs un agent peut donner desprivilĂšges diffĂ©rents aux diffĂ©rentes stations d’administration un service de mandataire proxy un agent peut agircomme un proxy pour d’autres stations gĂ©rĂ©es => Concerne la sĂ©curitĂ© => d’oĂč la crĂ©ation de communautĂ© SNMP DĂ©finition de la communautĂ© La communautĂ© SNMP est une relation entre un agent et les stations d’administration qui dĂ©finit l’authentification, le contrĂŽle d’accĂšs et les caractĂ©ristiques des proxys Le concept est local Ă  un agent Un agent Ă©tablit une communautĂ© pour chaque combinaison d’authentification, de contrĂŽle d’accĂšs et de caractĂ©ristiques de proxys. Chaque communautĂ© dĂ©finie entre un agent et ses stations d’administration a un nom unique pour l’agent employĂ© lors des opĂ©rations get et set. Une station d’administration garde la liste des noms de communautĂ© donnĂ©s par les diffĂ©rents agents. L’authentification => doit assurer l’agent que le message vient bien de la source citĂ©e dans le message. => SNMP fournit un schĂ©ma d’authentification simple chaque message d’une station d’administration comporte le nom de la communautĂ© => ce nom fonctionne comme un mot de passe, et le message est dit authentifiĂ© si l’émetteur connaĂźt le mot de passe. => lĂ©ger ! ce qui fait que les opĂ©rations set et trap sont mis dans des communautĂ©s Ă  part avec utilisation de cryptage et dĂ©cryptage. La politique d’accĂšs => Un agent limite l’accĂšs Ă  sa MIB Ă  une sĂ©lection de stations d’administration => Il peut fournir plusieurs types d’accĂšs en dĂ©finissant plusieurs communautĂ©s => Ce contrĂŽle d’accĂšs a deux aspects une vue de la MIB un sous-ensemble des objets de la MIB. DiffĂ©rentes vues de la MIB peuvent ĂȘtre dĂ©finies pour chaque communautĂ© un mode d’accĂšs SNMP un Ă©lĂ©ment de l’ensemble {read-only, read-write}. Il est dĂ©fini pour chaque communautĂ©. La vue de la MIB et le mode d’accĂšs forment ce que l’on appelle le profil de la communautĂ© SNMP. Le service de proxy => c’est un agent SNMP qui agit pour d’autres pĂ©riphĂ©riques qui ne supportent pas par exemple TCP/IP => Pour chaque pĂ©riphĂ©rique reprĂ©sentĂ© par le systĂšme de proxy, celui-ci doit maintenir une politique d’accĂšs => le proxy connaĂźt quels sont les objets MIB utilisĂ©s pour gĂ©rer le systĂšme mandatĂ© la vue de la MIB et les droits d’accĂšs Les concepts d’administration L’identification d’instance Nous avons vu que chaque objet de la MIB a un unique identificateur qui est dĂ©fini par sa position dans la structure en arbre de la MIB Quand un accĂšs est fait Ă  une MIB, via SNMP, on veut accĂ©der Ă  une instance spĂ©cifique d’un objet et non Ă  un type d’objet. SNMP offre deux moyens pour identifier une instance d’objet spĂ©cifique dans une table – une technique d’accĂšs par sĂ©rie on utilise l’ordre lexicographique des objets de la structure de la MIB. – une technique d’accĂšs direct L’accĂšs direct dans une table DĂ©finition de table Une table a la syntaxe suivante SEQUENCE OF Un rang a la syntaxe suivante SEQUENCE {,
} les types dĂ©finissent chaque colonne d’objet et chaque type a la forme suivante nom de la colonne valeur de la syntaxe Chaque colonne d’objet est dĂ©finie de la maniĂšre habituelle avec une macro OBJECT-TYPE. Chaque Ă©lĂ©ment a un identificateur unique Exemple d’instance d’une table de connexion TCP Les trois instances de tcpConnState ont le mĂȘme identificateur L’index de table La clause INDEX dĂ©finit un rang. Il dĂ©termine sans ambiguĂŻtĂ© la valeur de l’objet La rĂšgle de construction de l’identificateur de l’instance d’une instance de colonne d’objet est la suivante Soit un objet dont l’identificateur d’objet est y, dans une table avec des objets INDEX i1, i2,
, iN, alors l’identificateur d’instance pour une instance d’objet y dans un rang particulier est y.i1.i2
iN On distingue par les index les diffĂ©rentes colonnes. On combine l’identificateur de l’objet pour une colonne et un ensemble de valeur de l’Index pour obtenir le rang. Identificateurs d’instance pour les objets de la table prĂ©cĂ©dente x= = identificateur de l’objet tcpConnEntry qui est l’identificateur de tcpConnTable i = le dernier sous-identificateur de la colonne sa position dans la table name = valeur du nom de l’objet Toutes les identificateurs d’instances de tcpConnTable ont la forme mAddress L’ordre lexicographique L’identificateur d’objet est une sĂ©quence d’entiers qui reflĂšte une structure hiĂ©rarchique des objets de la MIB. => un identificateur d’objet pour un objet donnĂ© peut ĂȘtre dĂ©rivĂ© par la trace du chemin de la racine Ă  l’objet. => L’utilisation d’entiers apporte un ordre lexicographique => La rĂšgle les noeuds “fils” sont dĂ©finis en ajoutant un entier Ă  l’identificateur du pĂšre et en visitant l’arbre de bas en haut et de gauche Ă  droite. => Cela permet d’accĂ©der aux diffĂ©rents objets de la MIB sans vraiment en connaĂźtre le nom spĂ©cifique de l’objet => la station d’administration peut donner un identificateur d’objet ou un identificateur d’instance d’objet et demander l’instance de l’objet qui est le suivant dans l’ordre. La spĂ©cification du protocole Les formats SNMP versioncommunautĂ©SNMP PDU Message SNMP type PDUid-request00variable GetRequestPDU, GetNextRequestPDU, SetRequestPDU type PDUid-requestetat erreurindex erreurvariable GetResponse PDU type gĂ©nĂ©rtrap speciftime-stampvariable Trap PDU nom1 valeur1nom2 valeur2nomn valeurn la partie variable Émission d’un message construction de la PDU via ajout d’un nom de communautĂ©, adresse source, adresse destination, numĂ©ro de version, envoi de datagramme contenant l’objet spĂ©cifiĂ© RĂ©ception d’un message rĂ©ception du message analyse du message message correct ?=> non => fin version OK ? => non => finExamen de la communautĂ© et des donnĂ©es contenues dans le message OK ? oui examen de la PDU reçue analyse syntaxiqueOK ? oui construction d’une nouvelle PDU correspondant Ă  la requĂȘte reçue. construction du message et envoi non Signale l’erreur d’authentification Archive l’erreur et trap Ă©ventuel RFC1157-SNMP DEFINITIONS = BEGIN IMPORTS ObjectName, ObjectSyntax, NetworkAddress, IpAddress, TimeTicks FROM RFC1155-SMI; Message = SEQUENCE { version INTEGER {version-1 0},– Version 1 for this RFC community OCTET STRING, — Community name data ANY — e . g . PDUs } — Protocol data units PDUs = CHOICE { get-request GetRequest-PDU, get-next-request GetNextRequest-PDU, get-response GetResponse-PDU, set-request SetRequest-PDU, trap Trap-PDU } GetRequest-PDU = [0] IMPLICIT PDU GetNextRequest-PDU=[1] IMPLICIT PDU GetResponse-PDU = [2] IMPLICIT PDU SetRequest-PDU = [3] IMPLICIT PDU PDU = SEQUENCE { request-id INTEGER, — Request identifier error-status INTEGER { — Sometimes ignored noError 0, toobig 1, noSuchName 2, badValue 3, readOnly 4, genError 5}, error-index INTEGER, — Sometimes ignored variable-binding VarBindList }– Values are sometimes ignored Trap-PDU = [4] IMPLICIT SEQUENCE { enterprise OBJECT IDENTIFIER,–Type of object generating trap agent-addr NetworkAddress– Only one type of network adresses — IP adress of object generating trap generic-trap INTEGER {– Generic trap type coldStart 0, warmStart 1, linkDown 2, linkUp 3, authenticationFailure 4 egpNeighborLoss 5, enterpriseSpecific 6 } , specific-trap INTEGER, — Specific code time-stamp TimeTicks, — Elapse time since the last reinitialization of the enti variable-binding VarBindList — “Interesting” information } Variable binding VarBind = SEQUENCE {name ObjectName, value ObjectSyntax} VarBindList = SEQUENCE OF VarBind END Echange sur le rĂ©seau au niveau du service Get GetRequest-PDU = [0] IMPLICIT SEQUENCE { request-id RequestID, error-status ErrorStatus, — Ă  0 error-index ErrorStatus, — Ă  0 Variable_Binding VarBindList} RĂ©ception d’une GetRequest-PDU, Si pour chaque objet de la VarBindList, l’objet ne correspond pas alors envoi d’un GetResponse-PDU avec ErrorStatus Limitation locale alors envoi de GetResponse-PDU avec ErrorStatus limitation locale alors envoi de GetResponse-PDU avec ErrorStatus limitation locale alors envoi de GetResponse-PDU avec ErrorStatus valeurs utilisĂ©es dans le “generic_trap” coldstart l’agent envoyant le trap se rĂ©initialise suite Ă  un incident crash, erreur majeure, 
. Le redĂ©marrage n’était pas prĂ©vu warmstart l’agent envoyant le trap se rĂ©initialise suite Ă  une altĂ©ration de ses donnĂ©es linkdown signale l’erreur sur une voie de communication de l’agent. le premier Ă©lĂ©ment de la VarBindList prĂ©cise l’interface en erreur linkup signale qu’une voie de communication de l’agent est mise en service. Le premier Ă©lĂ©ment de la VarBindList prĂ©cise l’interface activĂ©e authentificationfailure signale que l’agent a reçu un message non authentifiĂ© egpneihborloss le routeur voisin de l’agent qui communiquait avec lui via EGP vient d’ĂȘtre stoppĂ© enterprisespecific indique qu’un Ă©vĂ©nement spĂ©cifique vient de se produire. Le specific trap indique le numĂ©ro de trap concernĂ©. Conclusion provisoire modĂ©lisation par groupe d’objets ou variables scrutation des agents mode non connectĂ© 5 opĂ©rations GetRequest, GetNextRequest, GetResponse, SetRequest, Trap OpĂ©rations atomiques Avantages – simple Faiblesses interrogation pĂ©riodique polling –> limite le nombre d’agents pouvant ĂȘtre supervisĂ©s pas d’initiatives des agents sauf exceptions mode non connectĂ© sĂ©curitĂ© des messages mal assurĂ©e comptabilitĂ© entre MIB propriĂ©taires pas ou peu de sĂ©curitĂ© nom de communautĂ© v2 Historique de SNMPv2 SGMP Simple Gateway-Monitoring Protocol RMON Remote Network Monitoring CMOT CMIP au dessus de TCP/IP Ce qui change par rapport Ă  SNMP SNMPv2 est capable de gĂ©rer de maniĂšre distribuĂ©e un rĂ©seau opĂ©rations entre stations d’administration sĂ©curitĂ© renforcĂ©e nouvelles opĂ©rations SMI Structure de l’information d’administration des objets Quelques changements mineurs – redĂ©finiton de certains types Counter devient Counter32 ou Counter64 La clause ACCESS devient MAX-ACCESS permet d’indiquer que c’est un niveau maximum d’accĂšs Quatre possibilitĂ©s pas d’accĂšs, lecteur seule, lecture-Ă©criture, lecture-crĂ©ation. Introduction de nouveaux mots-clĂ©s Unit La clause STATUS n’inclut plus les catĂ©gories optionnel et obligatoire tables Les droits de crĂ©ation, de destruction et d’accĂšs – Les tables protĂ©gĂ©es Elles ne peuvent ĂȘtre ni crĂ©es ni dĂ©truites par une station de gestion. Ces tables sont contrĂŽlĂ©es par l’agent. Le maximum d’un type d’accĂšs allouĂ© pour cette table et Read-write. Ces tables sont pratiques lorsqu’elles correspondent Ă  un nombre fixe d’attributs comme le nombre d’interfaces physiques par exemple. – Les tables non protĂ©gĂ©es Certaines tables peuvent ĂȘtre crĂ©es ou dĂ©truites. Elles peuvent ĂȘtre initialisĂ©es avec un nombre de rangs Ă©gal Ă  0. snmpORTable OBJECT_TYPESYNTAX SEQUENCE OF SnmpOREntry MAX_ACCESS not-accessibleSTATUS currentDESCRIPTION"the conceptual table listing the dynamically-configurable objet resources in a SNMPv2 entity acting in an agent role. SNMPv2 entities which do not support dynamically-configurable objetc resources will never have any instances of the columnar objetc in this table"= {snmpOR 2}snmpOREntry OBJECT-TYPESYNTAX SnmpOREntryMAX-ACCESS not-accessibleSTATUS currentDESCRIPTION"An entry conceptual row in the snmpORTable"INDEX {snmpORIndex}= {snmpORTable 1} CrĂ©ation et destruction d’un rang dans un tableau La mĂ©thode createAndWait La station de gestion commence Ă  ordonner Ă  l’agent de crĂ©er un nouveau rand dans la table avec une instance d’identification “index value” Si l’agent accepte, il crĂ©e le rang et assigne des valeurs par dĂ©faut aux objets du rang, Si tous les objets de type read-write possĂšdent des valeurs par dĂ©faut, le rang est placĂ© dans l’état notInservice si il existe des objet de type read-write qui n’ont pas des valeurs par dĂ©faut, le rang est placĂ© dans l’état notready Le gestionnaire envoie une requĂȘte de type “Get” pour dĂ©terminer l’état de chaque objet dont le type d’accĂšs est read-create dans le rang. L’agent envoie chaque valeur de chaque objet. Si l’objet ne possĂšde pas de valeur, il envoie NoSuchInstance. La station d’administration doit alors envoyer un SetRequest pour assigner des valeurs aux objets. Elle peut ensuite envoyer une requĂȘte de type “Set” pour activer les objets non actifs. CrĂ©ation et destruction d’un rang dans un tableau – La mĂ©thode createAndGo Plus simple, mais plus restrictive car elle permet de travailler sur des tables dont les objets sont contenus dans une seule PDU. De plus la station d’administration ne connaĂźt pas les valeurs par dĂ©faut attribuĂ©es aux diffĂ©rentes colonnes. La station d’administration envoie un Get-PDU pour dĂ©terminer les objets de type “read-create” possĂ©dant le type noSuchInstance. Elle envoie ensuite un Set-PDU pour crĂ©er un nouveau rang et assigner des valeurs aux objets ayant le type d’accĂšs “read-create” dans ce rang. Si le Set rĂ©ussit, l’agent active ces objets. Exemple de crĂ©ation de ligne d’une table La commande “ping” qui fournit un echo distant Les messages utilisĂ©s dans ICMP sont echo et echo_reply => La station d’administration peut mettre Ă  jour un rang pour dire Ă  l’agent de faire un ping sur un autre systĂšme Ă  intervalle rĂ©gulier L’agent possĂšde initialement la table Index IpAddress Delai Remanient Total Received Rtt Status 1 0 10 9 3 active La station d’administration souhaite ajouter un nouveau rang en utilisant la mĂ©thode createAndWait. Elle dĂ©termine que le prochain index est 2 et souhaite que le nouveau rang ait les valeurs suivantes Index IpAddress Delai Remanient Total Received Rtt Status 1 20 20 0 active Pour ajouter cette derniĂšre entrĂ©e, la station de gestion commence par envoyer une commande Set Ă  l’agent SetRequest En cas d’acceptation, l’agent rĂ©pond Response La station de gestion envoie un Get pour lire le nouveau rang GetRequest L’agent rĂ©pond Response Certaines valeurs ont Ă©tĂ© affectĂ©es par dĂ©faut. Il faut alors complĂ©ter
.par un SetRequest Le protocole Quelques modifications GetBulkRequest But minimiser le nombre d’échange Ă  travers le rĂ©seau Permet Ă  une station d’administration de solliciter de la part d’un agent une rĂ©ponse contenant le maximum d’information pouvant ĂȘtre contenu dans un message limitation par la taille du message PossibilitĂ© de spĂ©cifier des successeurs multiples lexicographiques. Fonctionnement GetBulkRequest inclut une liste de N+R variables dans le champ “partie variable”. Pour les N noms, la rĂ©cupĂ©ration est faite comme dans GetNextRequest Pour chaque variable de la liste, la variable suivante dans l’ordre lexicographique ainsi que sa valeur sont retournĂ©es. Si il n’y a pas de suivant lexicographique, la variable nommĂ©e et la valeur “endOfMibView sont retournĂ©es. les champs “non-repeaters” et “max-repetition” indiquent le nombre de variables contenu dans la liste “partie variable” et le nombre de successeurs dans ĂȘtre retournĂ©es pour les variables restantes. Soient L nombre de variables dans partie variable N nombre de variables dans partie variable avec demandevariable=un seul successeur R nombre de variables, succĂ©dant les N premiĂšres variables pour lesquelles de multiples successeurs lexicographiques sont demandĂ©es M nombre de successeurs lexicographiques sollicitĂ©s pour chacune des derniĂšres R variables N=MAXMINnon-repeaters,L,0 M=MAXmax_repeatetions,0 R=L-N Si N> 0 , alors les N premiĂšres variables son traitĂ©es comme pour un GetNextRequest Si R>0 et M>0 alors pour chacun des R derniĂšres variables, ces M successeurs lexicographiques sont renseignĂ©es. Pour chaque variable, cela signifie obtenir la valeur du successeur lexicographique de la variable considĂ©rĂ©e obtenir la valeur du successeur lexicographique de l’instance objet obtenu Ă  l’étape prĂ©cĂ©dente ainsi de suite, jusqu’à ce que M instances objets soient extraites Exemple Ordonnancement des variables-bindings dans la rĂ©ponse GetBulkrequest Soit la table suivante Interface-NumberNetwork-Address Physical-Address Type 1 1 2 La station de gestion envoie GetBulkRequest [non-repeaters=1, max-repetitions=2] sysUpTime, ipNetToMediaPhysAddress, ipNetToMediaType L’agent rĂ©pond Response 0″, La station de gestion envoie GetBulkRequest [non-repeaters=1, max-repetitions=2] sysUpTime, L’agent rĂ©pond Response 7654″, . PossibilitĂ© de station d’administration Ă  station d’administration InformRequest-PDU But permet Ă  une station de gestion d’envoyer des informations vers une station d’administration qui centralise des informations contenues dans la MIB “manager-to-manager” Le message a le mĂȘme format que Get, Set,
 La MIB permet de spĂ©cifier des paramĂštres tels que l’intervalle de temps devant sĂ©parer 2 “InformRequest_PDU” le nombre d'”InformRequest-PDU” voulues description de l’évĂ©nement Ă  rapporter la date de l’évĂ©nement 
 Cette PDU Ă©tend le mĂ©canisme de Trap de SNMP1. La MIB 2 nouvelles MIB sont dĂ©finies SNMPv2 Management Information Base Manager-To-Manager SNMPv2 Management Information Base permet de dĂ©crire le comportement des agents SNMP du rĂ©seau. composĂ© de 5 groupes SNMPv2 Statistics group contient des informations relatives au protocole SNMPv2 comme le nombre total de paquets reçus au niveau transport, le nombre de paquets mal codĂ©s, le nombre de requĂȘtes PDU GetRequest, GetNextRequest,
. SNMPv1 Statistics group informations relatives au protocole SNMPv1 . Par exemple, le nombre de messages ayant un mauvais nom de communautĂ©, nombre de message demandant une opĂ©ration non autorisĂ©e,
 Object resource group utilisĂ© par l’agent SNMPv2 pour dĂ©crire les objets susceptibles d’ĂȘtre configurĂ©s par une station d’administration. on y trouve le nom de l’objet, sa description,
 Traps group gĂšre les “traps” gĂ©nĂ©rĂ©s par un agent Set group se compose d’un seul objet qui permet de rĂ©soudre 2 problĂšmes la sĂ©rialisation des opĂ©rations de type Set Ă©mises par une station de gestion et la gestion de la concurrence d’accĂšs par de multiples stations de gestion Manager-To-manager MIB Alarm group permet de spĂ©cifier les paramĂštres de configuration des alarmes intervalles entre les alarmes, instances ou objet ayant provoquĂ© l’alarme,
 Event group permet de renseigner une station de gestion sur un ensemble d’évĂ©nements choisis, sur l’instant oĂč ils se produisent,
 La compatibilitĂ© entre SNMP et SNMPv2 La coexistence des 2 versions est facilitĂ©e par le fait que SNMPv2 est un sur ensemble de SNMPv1. => La maniĂšre la plus simple de gĂ©rer le passage de V1 Ă  V2 est de passer la station d’administration Ă  la version 2, qui peut ainsi gĂ©rer Ă  la fois des stations en V2 en cas de gestion rĂ©partie et des agents en V1 et V2. Il est nĂ©cessaire des Ă©quivalences dans la maniĂšre dont sont gĂ©rĂ©es les informations SMI le protocole Le SMI Pour assurer la compatibilitĂ©, les correspondances suivantes sont nĂ©cessaires INTEGER dĂ©fini sans restriction devient Integer32 Counter devient Counter32 Gauge devient Gauge32 ACCESS devient MAX-ACCESS 
. Le protocole SNMPv2 gĂšre des PDU supplĂ©mentaires On prĂ©voit l’utilisation d’un agent proxy qui assure la traduction des PDU entre les 2 versions. noSuchName, readOnly et badValue ne sont pas utilisables par un agent en version 2 mais interprĂ©table par une station d’administration l’agent proxy assure la gestion des messages ne pouvant pas ĂȘtre contenues dans une seule PDU. PossibilitĂ© de faire cohabiter 2 versions SNMP- le gestionnaire utilise au choix le protocole 1 ou 2 La sĂ©curitĂ© dans SNMP 2 Dans la version 1 => utilisation de la notion de communautĂ© pour dĂ©finir la visibilitĂ© accordĂ©e Ă  une station par un agent. Dans la version 2 => notion de groupe SnmpParty = SEQUENCE { partyIdentify OBJECT IDENTIFIER, — identifiant du groupe partyDomain OBJECT IDENTIFIER, — type de couche transport partyAddress OCTET STRING, — adresse de niveau transport partyMaxMessageSize INTEGER, — taille max des messages partyAuthProtocol OBJECT IDENTIFIER, — nomme le protocole d’authentification utilisĂ© partyAuthClock INTEGER, — pĂ©riode valide pour le groupe partyAuthPrivate OCTET STRING, — clĂ© privĂ©e d’authentification partyAuthPublic OCTET STRING, — clĂ© publique d’authentification partyAuthLifeTime INTEGER, — durĂ©e de vie des messages partyPrivProtocol OBJECT IDENTIFIER, –identification du protocole utilisĂ© PGP par exemple partyPrivPrivate OCTET STRING, — clĂ© privĂ©e partyPrivPublic OCTET STRING, — clĂ© publique } Un Ă©lĂ©ment actif sur le rĂ©seau agit de la maniĂšre suivante exĂ©cute uniquement les opĂ©rations permises par le groupe,maintient une petite base de donnĂ©es qui contient tous les groupes reconnus par l’entitĂ©, les opĂ©rations pouvant s’effectuer directement et celles qui font appel Ă  un agent de proxy, les ressources accessibles notion de contexte => Chaque entitĂ© maintient donc l’ensemble des donnĂ©es dĂ©finissant le concept de “politique d’accĂšs” Le Contexte se dĂ©finit comme Ă©tant l’ensemble des ressources accessibles objets par une entitĂ© SNMPv2 Il existe deux types de contexte ‱ local Le gestionnaire accĂšde directement aux informations dans l’agent Le gestionnaire envoie une opĂ©ration de gestion qui contient un groupe source srcParty le gestionnaireun groupe destination dstParty agent un contexte PDU Get, Set,
 l’agent consulte l’entitĂ© ACL Access Control List et dĂ©termine si les opĂ©rations sont permises. distant L’agent intervient comme mĂ©diateur entre une station d’administration et une entitĂ© distante. L’agent agit comme un proxy qui gĂšre les droits d’accĂšs. Format des messages sĂ©curisĂ©s privDst dĂ©signe le groupe pour lequel le message est destinĂ© authInfo protocole d’authentification utilisĂ© Émission d’une requĂȘte sĂ©curisĂ©e construction d’un message srcParty recherche d’un protocole compatible avec la V1 de SNMP Quelques inconnues le devenir du modĂšle OSI CMISE/CMIP la forte Ă©volution des rĂ©seaux et l’émergence de nouveaux protocoles problĂšmes lĂ©gislatifs concernant le cryptage 2 phĂ©nomĂšnes qui devraient aussi influencer l’administration de rĂ©seau la technologie orientĂ©e objetla notion d’agent intelligent sachant prendre des dĂ©cisions sans en rĂ©fĂ©rer Ă  la station de gestion Telecharger PDF
Коրуцነщξ Ń€ŃÎ±Ń‚Ő­ŃŃ‚ĐŸĐžĐżÎžŐ±Ï‰Đ·ĐŸ эсĐČŃá‹ Đžá‰ƒÎ± Ő«ÎŸá‰ƒá„Ö‡ŐŠÎ”ĐžŃ€ŃŐ§Ï‚ĐŸÏˆÏ‰ Ő·Őš Đ”Ő±ÎžŃ€ÎžŐłáŒ‚Đ·Ö…á‰± ፂхևЮև
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Lespaquets de donnĂ©es sont numĂ©rotĂ©s modulo 8 et contiennent deux compteurs : P(S) un compteur de paquets Ă©mis et P(R) un compteur de paquets reçus. L'Ă©metteur n'est autorisĂ© Ă  Ă©mettre que les paquets inclus dans la fenĂȘtre, c'est-Ă -dire les paquets dont le compteur de paquet Ă©mis est tel que :

Il n’est pas toujours Ă©vident de savoir si votre association est habilitĂ©e Ă  dĂ©livrer des reçus fiscaux Ă  ses donateurs. L’administration fiscale a mis en place en 2004 une procĂ©dure permettant aux associations de s’assurer de leur statut d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, et donc de garantir Ă  leurs donateurs la dĂ©fiscalisation de leurs dons voir rĂŽle de la procĂ©dure de rescrit fiscal. DĂ©marche Ă  respecter Pour formuler sa demande, il faut envoyer Ă  la Direction DĂ©partementale des Services Fiscaux du siĂšge de votre association un dossier dĂ©crivant la situation actuelle de votre association conformĂ©ment au modĂšle donnĂ© par l’instruction N° 164 du 19 octobre 2004. Ce dossier doit ĂȘtre envoyĂ© sous pli recommandĂ© avec accusĂ© de rĂ©ception, ou alors ĂȘtre dĂ©posĂ© en main propre contre dĂ©charge. Le dossier Ă  envoyer est constituĂ© d’un formulaire Ă  remplir dont vous trouverez un exemplaire en cliquant sur l’icĂŽne ci-contre et d’un ensemble de piĂšces jointes dont les statuts de l’association. C’est sur la base de ce dossier, et des possibles complĂ©ments qui peuvent vous ĂȘtre demandĂ©s, que l’administration va statuer sur votre situation, vous devez le remplir avec grand soin ! Conseils pratiques L’auteur de la demande doit ĂȘtre clairement identifiĂ© et habilitĂ© par l’organisme demandeur. Il est prĂ©fĂ©rable que l’auteur de la demande soit le prĂ©sident de l’association. Le petit plus joindre le ProcĂšs Verbal de la derniĂšre AssemblĂ©e GĂ©nĂ©rale. Vous devez dĂ©crire avec prĂ©cision les activitĂ©s de votre association. Le formulaire demandĂ© par l’administration pose des questions ouvertes sur votre activitĂ©. Prenez le temps de bien dĂ©composer toutes vos activitĂ©s, le modĂšle Ă©conomique de vos projets, et les axes principaux de votre projet associatif. Soyez prĂ©cis mĂȘme si cela doit prendre de la place, vous pourrez toujours faciliter la lecture en structurant visuellement votre description par des titres. Pensez aux critĂšres dĂ©finissant la notion d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral. Pour juger si vous entrez dans les conditions d’application des articles 200 et 238 bis du Code GĂ©nĂ©ral des ImpĂŽts, l’administration fiscale va vĂ©rifier si votre organisme remplit les conditions dĂ©finissant la notion d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral. Dans la description de vos activitĂ©s, gardez Ă  l’esprit que vous devez dĂ©montrer que votre organisme est d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral. Sans le dire explicitement, apportez toutes les piĂšces nĂ©cessaires pour prouver que votre organisme est gĂ©rĂ© de façon dĂ©sintĂ©ressĂ©e, qu’il ne profite pas Ă  un cercle restreint de personnes, etc. Lecompteur d'octets inclut Ă  la fois les donnĂ©es et l'encapsulation MAC dans les paquets sans erreurs reçus et transmis par le systĂšme. aucune mĂ©moire tampon - Le nombre de paquets reçus jetĂ©s parce qu'il n'y a aucun espace de mĂ©moire tampon. Comparez cette valeur avec la valeur du compteur ignored. Des tempĂȘtes de diffusion peuvent souvent ĂȘtre
Introduction ArrivĂ© Ă  ce stade du cours, vous commencez Ă  ĂȘtre trĂšs instruits ! Vous savez qu’IP est un protocole de niveau 3 qui est donc encapsulĂ© dans un protocole de niveau 2 voir le chapitre 4 du modĂšle OSI qu’IP est conçu pour fonctionner sur divers types de rĂ©seaux physiques Liaisons LouĂ©es, RĂ©seaux locaux Ethernet, Token Ring, FDDI voir mĂȘme liaisons satellites que chaque rĂ©seau physique implĂ©mente un protocole de niveau 2 qui lui est propre MAC Ethernet, MAC Token Ring, HDLC pour les liaisons louĂ©es, etc.. Si vous n’en ĂȘtes plus convaincu, rendez vous aux chapitre 4 et chapitre 7 du cours sur le modĂšle OSI. Que se passe-t-il quand un paquet IP est routĂ© Ă  travers plusieurs rĂ©seaux de types diffĂ©rents ? Il est encapsulĂ© dans diverses couches de niveaux 2 successives. Mais ces couches peuvent mettre en oeuvre des protocoles de niveau 2 diffĂ©rents, si les rĂ©seaux physiques sont diffĂ©rents. Par exemple, en passant d’un LAN Ethernet Ă  un LAN Token Ring vous changez de protocole de niveau 2. L’un utilise le MAC Ethernet et l’autre le MAC Token Ring, qui sont totalement diffĂ©rents. Si ces protocoles sont diffĂ©rents, leurs caractĂ©ristiques le sont Ă©galement la palisse !. Une des caractĂ©ristiques qui risque fort de diffĂ©rer et qui nous intĂ©resse ici est la taille de la MTU ! Qu’est-ce donc encore que ce truc ? La MTU, pour Maximum Transmission Unit est la taille du champ information de la trame. C’est Ă  dire la taille du champ oĂč l’on va placer le paquet IP ! Vous voyez oĂč je veux en venir ? Si au cours du transfert du paquet IP une passerelle doit le rĂ©-encapsuler dans une trame ayant un champ information plus petit que la taille du paquet IP, elle va devoir sortir la presse ou la tronçonneuse ! IP n’a pas choisi la presse, il prĂ©fĂšre la tronçonneuse ! Mais rassurez-vous, il est respectueux de vos paquets de donnĂ©es chĂ©ris ! Il fait ça bien, sans effusions de sang inutiles ! C’est propre, net et sans cicatrice ! IP a donc prĂ©vu un mĂ©canisme de fragmentation qui lui permet de dĂ©couper un paquet en plusieurs fragments, puis lui permet de reconstituer le paquet original Ă  l’arrivĂ©e ! IP un protocole en mode non connectĂ© ! Mais avant d’étudier la mĂ©thode de fragmentation, il faut se rappeler un point important IP est un protocole de niveau 3 en mode non connectĂ©. Je vous invite Ă  rĂ©viser cette notion dans le chapitre 8 du cours OSI. Un protocole non connectĂ©, comme son nom l’indique, n’établi pas de connexion avec son correspondant avant d’entamer un transfert de donnĂ©es. Le chemin parcouru par les donnĂ©es dans le rĂ©seau n’est donc pas prĂ©alablement fixĂ© ! Pire ! Ce chemin peut varier d’un paquet Ă  l’autre ! A chaque chemin correspond un dĂ©lai d’acheminement qui lui est propre. Celui-ci est fonction du nombre de passerelles Ă  traverser, des dĂ©bits et de la charge des liaisons, des dĂ©lais de transit sur ces liaisons surtout sensible dans le cas des liaisons satellites 2*36 000 Km = 72 000 Km de long. Vous savez que l’altitude d’un satellite gĂ©o-stationnaire est de 36 000 Km n’est ce pas ?. En consĂ©quence, il est possible qu’un paquet IP Ă©mis aprĂšs un autre, arrive Ă  destination avant l’autre je vous accorde que ce n’est pas souvent, mais ça peut arriver !. On dit qu’en mode non connectĂ© le sĂ©quencement des paquets en rĂ©ception n’est pas garanti identique au sĂ©quencement des paquets Ă  l’émission. En vĂ©ritĂ©, comme on aime pas les phrases longues on dit il n’y a pas de garantie du sĂ©quencement ! c’est plus court non ?. Retenez-bien cette contrainte ! Parce que dans le cas de la fragmentation, c’est loin de nous simplifier la vie ! Fragmentation et en-tĂȘte IP Rappelez-vous le format du paquet IP je sais 
 C’est loin dĂ©jĂ  !. Les octets 5 Ă  8 de l’entĂȘte se nomment Identificateur, Flag et Fragment Offset. Nous avions dit que ces octets Ă©taient rĂ©servĂ©s Ă  la fragmentation ou segmentation, comme vous voulez !. Expliquons un peu mieux Ă  quoi servent ces octets le champ Identificateur 2 octets c’est un numĂ©ro d’identification inscrit par l’émetteur du paquet. Tous paquets Ă©mis par une mĂȘme machine Ă  l’attention d’un mĂȘme destinataire porte un numĂ©ro d’identification diffĂ©rent. En cas de fragmentation, ce numĂ©ro d’identification est recopiĂ© dans tous les fragments du paquet d’origine. Ceci permettra au destinataire de repĂ©rer tous les fragments d’un mĂȘme paquet et de reconstituer le paquet d’origine. le champ Flag 3 bits il permet de gĂ©rer la fragmentation bit 0 rĂ©servĂ© – toujours positionnĂ© Ă  0 bit 1 dit bit DF Don’t Fragment – S’il est positionnĂ© Ă  0, la fragmentation est autorisĂ©e – S’il est positionnĂ© Ă  1 la fragmentation est interdite. Dans ce dernier cas, si le paquet est trop volumineux pour ĂȘtre encapsulĂ© dans une trame, dont le MTU est infĂ©rieur Ă  la taille du paquet, la passerelle qui devrait rĂ©aliser la fragmentation retournera Ă  l’émetteur du paquet un ICMP Paquet non fragmentable ». bit 2 dit bit MF More Fragment – S’il est positionnĂ© Ă  0 il indique que le paquet reçu est le dernier du paquet d’origine. S’il est positionnĂ© Ă  1, il indique que le paquet reçu est un fragment du paquet d’origine mais pas le dernier fragment. Un paquet qui n’a pas Ă©tĂ© fragmentĂ© aura donc toujours ce bit Ă  0. le champ Fragment Offset indique la position du premier octet de donnĂ©es du paquet reçu dans la partie donnĂ©e du paquet d’origine. Le premier fragment Ă  donc toujours la valeur 0 position du premier octet, de mĂȘme que tous paquets non fragmentĂ©s. Cela vous paraĂźt un peu nĂ©buleux ? Pas clair ? La dĂ©monstration par l’exemple sera sans doute plus efficace ! Comment ça marche ? ATTENTION ! L’offset est en rĂ©alitĂ© calculĂ© en mot de 20 octets et non pas Ă  l’octet prĂȘt ! Pour des raisons de simplification j’ai ci-dessous considĂ©rĂ© que l’on pouvait tronçonner par paquet de 1000 octets et que l’offset serait de 0, 1000, 2000, etc. alors que l’offset serait de 0, 50, 100, etc. La logique ci-dessous est donc correcte mais fausse dans ses valeurs d’offset. A vous de corriger pour vous entraĂźner ! Supposons que deux stations, A et B, Ă©mettent des paquets vers un serveur S. Les paquets transitent Ă  travers un rĂ©seau dans lequel il est nĂ©cessaire de fragmenter les paquets d’origine qui sont trop volumineux pour passer sur un des supports du rĂ©seau. Imaginons que les paquets de dĂ©parts ont une taille de 4024 octets 4000 octets de donnĂ©es et 24 octets d’entĂȘte IP. Dans le rĂ©seau une MTU d’un support est limitĂ©e Ă  1024 octets ! La station A Ă©met deux paquets Ă  la suite pour S et la station B n’en Ă©met qu’un ! Enfin, pour faire simple, aprĂšs l’endroit de fragmentation dans le rĂ©seau, le sĂ©quencement des paquets n’est pas respectĂ© suite Ă  une reconfiguration automatique du routage. Cela a eu pour effet d’envoyer les premiers paquets sur une route chargĂ©e alors que les paquets suivants ont empruntĂ© une route non chargĂ©e. En consĂ©quence les paquets arrivent dans le dĂ©sordre au serveur ! Question Combien de fragment vont ĂȘtre gĂ©nĂ©rĂ© par paquet de 4 000 octets Ă©mis ? RĂ©ponse Chaque fragment ne peut dĂ©passer 1024 octets dont 24 octets d’en-tĂȘte, il vĂ©hiculera donc 1 000 octets utiles. Comme le paquet d’origine fait 4024 octets dont 24 octets d’entĂȘte, il a 4 000 octets utiles. Il faut donc 4000/1000 fragments soit 4 fragments par paquet de 4024 octets. Comme il y a trois paquets Ă©mis au total par A et B, le serveur recevra 12 paquets ! Emission de A A envoie son premier paquet PA1 vers S. Ce paquet fait 4024 octets, Ă  l’adresse IP source IPA et l’adresse destination IPS du serveur. Le paquet n’est pas fragmentĂ©, c’est le paquet originel donc MFPA1 = 0 et OffsetPA1 = 0. Un numĂ©ro d’identification est fixĂ© IDPA1 = 1000. La fragmentation est autorisĂ©e donc DFPA1 = 0. Puis immĂ©diatement Ă  la suite A envoie son deuxiĂšme paquet PA2 vers S. Ce paquet fait 4024 octets, Ă  l’adresse IP source IPA et l’adresse destination IPS du serveur. Le paquet n’est pas fragmentĂ©, c’est le paquet originel donc MFPA2 = 0 et OffsetPA2 = 0. Le numĂ©ro d’identification est incrĂ©mentĂ© car c’est le deuxiĂšme paquet Ă  destination de S, il est fixĂ© Ă  IDPA2 = 1001. La fragmentation est autorisĂ©e donc DFPA2 = 0. Emission de B Juste aprĂšs que A est envoyĂ© son premier paquet, et avant que A n’envoie son deuxiĂšme paquet, B Ă©met son propre paquet. Elle Ă©met PB1 vers S. Ce paquet fait 4024 octets, Ă  l’adresse IP source IPB et l’adresse destination IPS du serveur. Le paquet n’est pas fragmentĂ©, c’est le paquet originel donc MFPB1 = 0 et OffsetPB1 = 0. Un numĂ©ro d’identification est fixĂ© IDPB1 = 1000 Je fais exprĂšs de prendre le mĂȘme que A, bien que les chances que cela se produise sont trĂšs faibles, pour vous montrer que c’est pas grave !. La fragmentation est autorisĂ©e donc DFPB1 = 0. Dans le rĂ©seau une passerelle reçoit les paquets dans l’ordre PA1, PB1, PA2, elle doit les fragmenter Fragmentation de PA1 La passerelle tronçonne la partie Data du paquet reçu en 4 paquets de 1000 octets dingue ça ! Ca tombre juste ! Trop fort !. Puis elle envoie le premier fragment F1PA1 avec adresse source IPA et adresse destination IPS. Le bit DFF1PA1 = 0, il est toujours recopiĂ© Ă  sa valeur d’origine. Le bit MFF1PA1 = 1, car le premier fragment n’est pas le dernier sans blague ? du paquet d’origine. Elle recopie la valeur de l’ID du paquet d’origine soit IDF1PA1 = 1000. Puis elle positionne Ă  0 l’offset car c’est bien la position du premier octet de donnĂ©es du fragment dans le paquet d’origine, OffsetF1PA1 = 0. La passerelle Ă©met ensuite le deuxiĂšme fragment F2PA1 avec les mĂȘmes caractĂ©ristiques que le premier fragment F1PA1, sauf l’IDF2PA1 Ă©gal Ă  l’IDF1PA1 + nombre d’octets utiles vĂ©hiculĂ©s par F1PA1. Soit IDF2PA1 = IDF1PA1 + 1000 = 0 + 1000 = 1000. La passerelle Ă©met le troisiĂšme fragment sur les mĂȘme caractĂ©ristiques que les deux premiers avec seulement l’IDF3PA1 qui diffĂ©re. IDF3PA1 = 2000 IDF2PA1 + 1000. Enfin elle Ă©met le dernier fragment F4PA1 du paquet PA1. Celui est Ă©galement identique aux prĂ©cĂ©dents hormis l’IDF4PA1 = 3000 IDF3PA1 + 1000 et le bit MFF4PA1 = 0. En effet F4PA1 est le dernier fragment du paquet d’origine, le bit MF est donc positionnĂ© Ă  0. Fragmentation de PA2, le principe est le mĂȘme que pour PA1 F1PA2 IPsource = IPA – IPdest. = IPS – DF = 0 – MF = 1 – ID = 1001 – Offset = 0 F2PA2 IPsource = IPA – IPdest. = IPS – DF = 0 – MF = 1 – ID = 1001 – Offset = 1000 F3PA2 IPsource = IPA – IPdest. = IPS – DF = 0 – MF = 1 – ID = 1001 – Offset = 2000 F4PA2 IPsource = IPA – IPdest. = IPS – DF = 0 – MF = 0 – ID = 1001 – Offset = 3000 Fragmentation de PB1, c’est le mĂȘme mĂ©canisme ! Je vous laisse faire ? Il y a donc 12 fragments Ă©mis par la passerelle vers le serveur S. Sur le chemin, entre la passerelle et le serveur, une reconfiguration dynamique du routage a lieu aprĂšs le passage de F1PA1 Ă  F2PA2. Les fragments F3PA2 a F3PB1 sont Ă©mis sur une route diffĂ©rente, plus rapide. Le serveur reçoit donc dans l’ordre F3PA2, F4PA2, F1PB1 Ă  F4PB1 puis F1PA1 Ă  F2PA2. Le quartĂ© dans le dĂ©sordre ! RĂ©assemblage des paquets par le serveur Toute machine IP maintien des buffers mĂ©moire dans lesquels elle stocke les paquets en attente de rĂ©assemblage. La zone mĂ©moire allouĂ©e a une taille dĂ©finie par la taille du paquet. Cette taille varie en fonction des fragments qui arrivent au fil de l’eau. Le dĂ©but de la zone est marquĂ© par le premier fragment, la fin de zone par le dernier fragment. Il y a une zone mĂ©moire par couple ID-SourceIP. IMPORTANT La mĂ©thode de gestion de l’allocation mĂ©moire prĂ©sentĂ©e ici est une supposition. Il n’existe, Ă  ma connaissance, pas de description normalisĂ©e de ces opĂ©rations. En consĂ©quence cette mĂ©thode peut diffĂ©rer d’une implĂ©mentation IP Ă  une autre. Quelle qu’elle soit prĂ©cisĂ©ment, le principe est bien de stocker les fragments en tampon, jusqu’à reconstitution complĂ©te du paquet originel. Logique appliquĂ©e Lorsque le serveur reçoit un paquet, il examine l’adresse source on suppose que l’adresse destination a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© validĂ©e, l’ID, l’offset et le bit MF si MF = 0 et Offset = 0 ce n’est pas un fragment, c’est un paquet originel. Le serveur place ce paquet sur la file d’attente du protocole supĂ©rieur vĂ©hiculĂ© par le paquet. Ce protocole est indiquĂ© dans le champ Protocole de l’entĂȘte IP. si MF = 0 et Offset 0, le paquet est le dernier fragment d’un paquet originel. Le serveur examine le couple ID-SourceIP du fragment s’il a dĂ©jĂ  en buffer une zone mĂ©moire pour ce couple, il place le paquet en fin de file de buffer. s’il n’a pas de couple ID-IPsource identique en buffer, il crĂ©e une zone mĂ©moire en buffer et place le paquet en fin de file. si MF = 1 et Offset = 0, le paquet est le premier fragment d’un paquet originel. Le serveur examine le couple ID-SourceIP s’il a dĂ©jĂ  en buffer une zone mĂ©moire pour ce couple, il place le paquet en dĂ©but de file de buffer. s’il n’a pas de couple ID-IPsource identique en buffer, il crĂ©e une zone mĂ©moire en buffer et place le paquet en dĂ©but de file. si MF = 1 et Offset 0, le paquet est un des fragments d’un paquet originel. Le serveur examine le couple ID-SourceIP du fragment s’il a dĂ©jĂ  en buffer une zone mĂ©moire pour ce couple, il place le paquet Ă  l’offset indiquĂ© dans le buffer, en dĂ©calant Ă©ventuellement la zone mĂ©moire des fragments suivants dĂ©jĂ  en place. s’il n’a pas de couple ID-IPsource identique en buffer, il crĂ©e une zone mĂ©moire en buffer. Cette zone a la taille de la valeur d’offset + la taille du fragment. Le serveur considĂšre la file d’attente complĂšte quand il a placĂ© le premier et le dernier fragment ainsi que tous les fragments intermĂ©diaires vĂ©rification de la valeur d’offset + longueur de chaque fragment. Il remonte alors la partie Data au protocole identifiĂ© par le champ Protocole de l’entĂȘte IP du paquet originel reconstituĂ©. SĂ©quencement de reconstitution des paquets de A et B RĂ©ception de F3PA2 MF = 1 – ID = 1001 – IPsource = IPA – Offset = 2000 Zone mĂ©moire 1001-IPA inexistante -> CrĂ©ation d’une zone de 2000 + 1000 + 24 octets entĂȘte IP = 3024 octets. Recopie de l’entĂȘte IP de F3PA2 sur les 24 premiers octets en plaçant DF, MF et Offset Ă  0. Les autres champs gardent leur valeur. Placement des donnĂ©es de F3PA2 Ă  l’offset 2000. RĂ©ception de F4PA2 MF = 0 – ID = 1001 – IPsource = IPA – Offset = 3000 Zone mĂ©moire 1001-IPA existante -> Extension de la zone mĂ©moire de 1000 octets Ă  partir de l’offset 3000. Placement des donnĂ©es de F4PA2 Ă  l’offset 3000. RĂ©ception de F1PB1 MF = 1 – ID = 1000 – IPsource = IPB – Offset = 0 Zone mĂ©moire 1000-IPB inexistante -> CrĂ©ation d’une zone de 1000 + 24 octets entĂȘte IP = 1024 octets. Recopie de l’entĂȘte IP de F1PB1 sur les 24 premiers octets en plaçant DF, MF et Offset Ă  0. Les autres champs gardent leur valeur. Placement des donnĂ©es de F1PB1 Ă  l’offset 0. RĂ©ception de F2PB1, F3PB1 Je vous laisse faire ! RĂ©ception de F4PB1 MF = 0 – ID = 1000 – IPsource = IPB – Offset = 3000 Zone mĂ©moire 1000-IPB existante -> Extension de la zone mĂ©moire de 1000 octets Ă  partir de l’offset 3000. Placement des donnĂ©es de F4PB1 Ă  l’offset 3000. Le paquet est complĂ©tement reconstituĂ© -> File d’attente du protocole de couche supĂ©rieure. RĂ©ception de F1PA1 Ă  F4PA1 Je vous laisse faire, vous savez comment cela se passe maintenant ! RĂ©ception de F1PA2 MF = 1 – ID = 1001 – IPsource = IPA – Offset = 0 Zone mĂ©moire 1001-IPA existante -> Placement des donnĂ©es de F1PA2 Ă  l’offset 0. La zone mĂ©moire avait Ă©tĂ© dimensionnĂ© correstement par l’arrivĂ©e de F3PA2. Il n’est pas nĂ©cessaire de l’étendre. RĂ©ception de F2PA2 Vous ĂȘtes grand maintenant 
 Je vous laisse faire ! VoilĂ  ! Tous les paquets ont Ă©tĂ© reconstituĂ©s par le serveur ! Vous avez pu remarquer que c’était du travail n’est-ce-pas ? Pendant que le serveur gĂ©re ces files il ne fait pas vraiment ce pour quoi il est payĂ© pas cher, c’est vrai !. Trois remarques sur la fragmentation Si on peut l’éviter, tant mieux ! Il est Ă©vident qu’il Ă©tait impĂ©ratif d’inclure un mĂ©canisme de fragmentation dans le protocole IP, notamment en raison du fait qu’il peut ĂȘtre vĂ©hiculĂ© dans diffĂ©rents protocoles de couche 2, ne prĂ©sentant pas toujours les mĂȘmes MTU. Cependant si on peut Ă©viter de fragmenter c’est prĂ©fĂ©rable. En effet les passerelles assurant la fragmentation doivent gĂ©rer les modifications d’entĂȘte DF, MF, ID, Offset, etc. ce qui mobilise du temps CPU qu’elles ne passent pas Ă  commuter ! les stations destinataires sont obligĂ©s de gĂ©rer le rĂ©assemblage des paquets ce qui mobilise du temps CPU et de la mĂ©moire. si vous perdez un fragment voir le cas du TTL ci-dessous par exemple, tout le paquet IP originel est perdu parce qu’il n’aura pas pu ĂȘtre reconstituĂ© complĂ©tement. Par contre les ressources rĂ©seaux et machines auront Ă©tĂ© utilisĂ©es pour acheminer les autres fragments Ă  bon port. enfin, et lĂ  je vous demande me croire sur parole, on peut dĂ©montrer que dans le cas de l’emploi d’une couche 4 TCP, la fragmentation IP diminue nettement le rendement du protocole sous-emploi du fenĂȘtrage. Au point, que certaines implĂ©mentations de TCP procĂ©de Ă  un test avant l’émission de leurs segments vers le destinataire. TCP recherche la MTU minimum de la route et adapte la taille de ses messages en consĂ©quence. Toutes ses raisons expliquent que l’on utilise trĂšs rarement, pour ne pas dire jamais, la taille maximum du paquet IP. La majoritĂ© des stacks IP proposent des tailles standards comprises en 128 et 512, voir 1024 octets. La fragmentation est ainsi plus rarement employĂ©e et les buffers des stations sont moins sollicitĂ©s. L’influence du TTL Au chapitre 3, dans la description de l’entĂȘte IP, nous avons prĂ©sentĂ© le champ TTL Time To Live. Ce champ, dĂ©fini sur un octet, permet d’indiquer une durĂ©e de vie au datagramme Ă©mis. En effet, le mode non connectĂ©, sans contrĂŽle du sĂ©quencement, ni reprise sur erreur du protocole IP, induit qu’un paquet peut ĂȘtre supprimĂ© sans avertir qui que ce soit. Les principes de routage dynamique peuvent Ă©galement conduire Ă  gĂ©nĂ©rer des boucles momentanĂ©ment, rassurez-vous ! dans le rĂ©seau. Pour Ă©viter qu’un paquet tourne indĂ©finiment dans le rĂ©seau ou soit conservĂ© en file d’attente indĂ©finiment, on lui donne une durĂ©e de vie par le champ TTL. A l’émission le TTL est gĂ©nĂ©ralement fixĂ© Ă  sa valeur maximum, soit 255. Chaque fois que le paquet va traverser une passerelle, celle-ci dĂ©crĂ©mente le TTL de 1. Donc en thĂ©orie un paquet IP ne pourra jamais traverser plus de 255 routeurs ! C’est dĂ©jĂ  bien suffisant ! Mais s’il Ă©tait nĂ©cessaire de dĂ©passer cette limite on pourrait utiliser une astuce nommĂ©e tunneling mais ne nous Ă©loignons pas du sujet ! Je peux pas tout vous dire ! Il faut laisser un peu de travail Ă  d’autres !. Lorsqu’une passerelle passe le TTL Ă  0, elle dĂ©truit le paquet et Ă©ventuellement envoie un paquet ICMP Time Exceded Ă  l’émetteur du paquet pour l’informer de sa destruction. Lorsqu’une passerelle fragmente un paquet, tous les fragments partent avec la valeur du TTL d’arrivĂ©e paquet originel moins 1 ! Que se passe-t-il si une station de destination reçoit 3 fragments sur 4 ? Si le dernier fragment n’arrive jamais ? La station conserve-t-elle indĂ©finiment les 3 fragments reçus en zone mĂ©moire tampon ? Vous imaginez bien que non !! Si cela se produit trop frĂ©quemment, elle risque de saturer ses buffers ! C’est pourquoi la station va continuer de dĂ©crĂ©menter le TTL de l’entĂȘte qu’elle a stockĂ© en dĂ©but de zone mĂ©moire. Cette entĂȘte est celle du premier fragment reçu, donc le plus ancien en mĂ©moire. Toutes les secondes elle dĂ©crĂ©mente ce TTL. S’il atteint la valeur 0 avant que l’ensemble du paquet originel ait Ă©tĂ© reconstituĂ©, l’ensemble de la file mĂ©moire est effacĂ©e ! La station pourra Ă©galement retourner un ICMP Time Exceded Ă  l’émetteur pour l’informer de la destruction de son paquet ! Bien sĂ»r, si le dernier fragment arrive aprĂšs la destruction de sa file Ă  la bourre le fragment !, il sera stockĂ©, comme prĂ©cĂ©demment dans une nouvelle file, en attente des autres fragments, qui n’arriveront jamais puisqu’ils ont Ă©tĂ© dĂ©truit ! Mais Ă  expiration de son TTL, il sera Ă©galement dĂ©truit ! REMARQUE Le principe de dĂ©crĂ©mentation du TTL toutes les secondes est Ă©galement appliquĂ©e dans les files d’attentes des passerelles. Tant qu’un paquet IP reste en mĂ©moire surcharge du lien de sortie, surcharge CPU, ou autres, son TTL est dĂ©crĂ©mentĂ©. Cependant si vous avez souvent des paquets qui restent bloquĂ©s plus d’une seconde dans votre routeur, je vous conseille de revoir le dimensionnement de votre rĂ©seau ! Une seconde de transfert dans une passerelle est un dĂ©lai intolĂ©rable ! Les moyennes acceptĂ©es sont plutĂŽt de 2 milli-secondes ! Pourquoi est-ce toujours la station de destination qui rĂ©assemble ? Tout au long de ce chapitre nous avons constamment Ă©voquĂ© les opĂ©rations de rĂ©assemblage du paquet originel sur la station de destination du paquet. On aurait pu penser que le rĂ©assemblage aurait Ă©tĂ© effectuĂ© par un Ă©quipement plus proche de la passerelle qui a rĂ©alisĂ© la fragmentation, par exemple son voisin direct ! Pourquoi n’est-ce jamais le cas ? Il y a deux bonnes raisons Ă  cela la premiĂšre vraie, bonne raison, est que vous ne pouvez pas garantir qu’une autre passerelle du rĂ©seau verra passer tous les fragments d’un paquet ! Dans notre exemple prĂ©cĂ©dent, supposons qu’une passerelle placĂ©e sur la route empruntĂ©e par F1PA1 Ă  F2PA2, aprĂšs la passerelle ayant rĂ©alisĂ©e la fragmentation, tente de reconstituer les paquets car sa MTU de sortie permet d’accueillir des paquets plus gros Elle pourra reconstituer le paquet PA1, puisqu’elle voit passer F1PA1 Ă  F4PA1. Mais elle ne pourra pas reconstituer PA2 puisqu’elle ne voit passer que F1PA2 et F2PA2, les autres fragments empruntant une autre route ! De plus comment peut-elle connaĂźtre la taille du paquet originel, pour ĂȘtre en mesure d’affirmer que son lien de sortie Ă  une MTU suffisante au transfert du paquet originel sans le fragmenter ? Elle devrait attendre tous les fragments, pour connaĂźtre la taille du paquet global, et finalement se rendre compte qu’elle va devoir le fragmenter ! la deuxiĂšme raison est que mĂȘme si une MTU de sortie peut prendre en charge des plus gros paquets, la passerelle ne connaĂźt pas la taille des MTU des autres supports qui constituent le reste de la route ! Elle risque de passer du temps, de consommer des ressources pour rĂ©assembler un paquet, qui sera peut-ĂȘtre de nouveau fragmentĂ© par la prochaine passerelle !! Pas vraiment rentable tout ça ! Conclusion du chapitre Nous en resterons lĂ , pour le chapitre de la fragmentation. Il y a encore sans doute beaucoup Ă  dire, mais nous avons Ă©voquĂ©, je pense, l’essentiel ! Nous avons jusqu’ici dĂ©crit les mĂ©canismes majeurs du protocole IP l’adressage le routage de base l’interaction avec le niveau 2 des LAN la fragmentation Dans aucun des chapitres nous n’avons Ă©voquĂ© de contrĂŽle d’erreur hormis le checksum sur l’entĂȘte ou de reprise sur erreur. Nous savons Ă©galement qu’IP fonctionne en mode non connectĂ©. En fait IP est un protocole de niveau 3 dit non fiable ou aussi appelĂ© best effort ». Il fait du mieux qu’il peut, mais il peut peu ! Nous avons Ă©voquĂ© les pertes de paquets mais pas de rĂ©cupĂ©ration ! Enfin souvent lorsque des erreurs survenaient nous Ă©voquions ICMP mais pas IP ! Le chapitre suivant, vous prĂ©sente donc succinctement ICMP et certaines de ces fonctions. Page PrĂ©cĂ©dente Page Suivante
Fanion (bit), marqueur de dĂ©but et fin (caractĂšres) – Se fait au niveau physique pour certains protocoles ‱ 802.11 . 8 DĂ©tection d'erreurs ‱ Erreurs possibles sur le lien de communication – AttĂ©nuation – Bruit – Collisions / interfĂ©rences – Echo – Diaphonie ‱ MĂ©canisme rĂ©alisĂ© – Au niveau hardware (en gĂ©nĂ©ral) – Optionnel ‱ Mais souvent rĂ©alisĂ© au niveau
Question en attente de rĂ©ponse Attention Ces Ă©changes datent de plus d'un an, leur contenu risque de ne plus ĂȘtre d'actualitĂ©. sommes le 7 mai, et mon compteur indique toujours "aucune consommation" d'internet et ce, depuis le 1er mai, date de changement de mois de faire en sorte que ce compteur soit alimentĂ© chaque jour afin que je puisse suivre ma consommation en temps d' cordialementjlv RĂ©ponses Bonjour Jean-LoĂŻc,Pourriez-vous m'indiquer si vous avez effectuĂ© des connexions aux donnĂ©es mobiles depuis le 1er mai ? Si oui, pourriez-vous m'indiquer si le suivi conso disponible en appelant le 998 appel gratuit fait apparaĂźtre votre consommation internet ?Je reste Ă  votre disposition,LĂ©o de l'Équipe Prixtel Bonjour LĂ©o de l'Ă©quipe Prixtel...Ah, enfin une rĂ©ponse Ă  ma question du 7 mai !Oui, j'ai effectuĂ© des connections internet depuis le 1er mai Ă  titre indicatif, ma consommation moyenne mensuelle internet est de 3,5 Go sur les 12 derniers mois.Et le suivi conso du 998 m'indique une conso Ă  0 profite du prĂ©sent message pour ajouter que je ne parviens plus Ă  ouvrir mon espace client un problĂšme de plus ?Restez bien Ă  ma disposition.... comme vous l'Ă©crivez.... si possible avec efficacitĂ©...Bien cordialementJean-LoĂŻc V. Bonjour Jean-LoĂŻc,Merci de votre retour,Veuillez nous excuser pour ce dĂ©sagrĂ©ment. Nous avons bien pris en compte votre demande et celle-ci a Ă©tĂ© transmise au service concernĂ©. Je reviens vers vous dans les plus brefs ailleurs, si vous ne parvenez pas Ă  vous connecter Ă  votre Espace Client, n'hĂ©sitez pas Ă  vider le cache et les cookies de votre navigateur de l'Équipe Prixtel Jean-LoĂŻc,Suite au retour du service concernĂ©, il apparaĂźt que nous n'avons pas relevĂ© de connexions aux donnĂ©es mobiles Ă©mises depuis votre ligne durant le mois de mai. Pourriez-vous me confirmer qu'il s'agit bien de consommations data effectuĂ©es avec vos donnĂ©es mobiles et non pas avec une connexion Wifi ?Dans l'attente de votre retour,LĂ©o de l'Équipe Prixtel Bonjour LĂ©o de l'Ă©quipe n'utilise pas le Wifi sur mon vieux tĂ©lĂ©phone....Tiens, le 14 mai, il apparaĂźt une consommation de 1,51 Go .Nous sommes le 17 mai, et c'est toujours 1,51 Go qui apparait, ce qui prouve que le compteur ne fonctionne pas en temps rĂ©el !Et je ne parviens toujours pas Ă  consulter mon espace client sur mon PC, bien que j'aie vidĂ© cache et profite du prĂ©sent message pour dĂ©plorer que je ne puisse converser avec vous par tĂ©lĂ©phone... ce qui est un comble pour un vendeur de tĂ©lĂ©phonie !Je commence Ă  prospecter pour changer d'opĂ©rateur...Bien cordialementJean-LoĂŻc V Bonjour Jean-LoĂŻc,Nous sommes navrĂ©s toutefois nous ne disposons pas de hotline. DĂ©sormais toutes les demandes d'assistance transitent depuis le forum d'assistance ou depuis la rubrique Assistance de votre Espace nous excuser pour le dĂ©sagrĂ©ment liĂ© Ă  votre suivi conso. Nous avons bien pris en compte votre demande et celle-ci a Ă©tĂ© transmise au service concernĂ©. Je reviens vers vous dans les plus brefs ailleurs, je vous invite Ă  vous connecter sur votre Espace Client depuis un autre navigateur internet si le problĂšme de connexion persiste sur votre navigateur habituel. Je reste Ă  disposition,LĂ©o de l'Équipe Prixtel Bonjour Jean-LoĂŻc,Suite au retour du service concernĂ©, celui-ci nous indique qu'une connexion aux donnĂ©es mobiles ayant commencĂ© le 01/05 et s'Ă©tant terminĂ©e le 09/05 a bien Ă©tĂ© remontĂ©e sur votre suivi de consommation. Toutefois pour que votre suivi de consommation soit Ă  jour, il est nĂ©cessaire que la connexion internet soit terminĂ©e. Hors tant qu'une connexion internet n'a pas Ă©tĂ© terminĂ©e, votre suivi de consommation ne change pas ; ce qui explique que vous n'ayez pas eu connaissance du montant de donnĂ©es mobiles utilisĂ©s depuis le 01/ mettre fin Ă  une connexion internet, vous pouvez Ă©teindre les donnĂ©es mobiles, redĂ©marrer votre tĂ©lĂ©phone ou passer en mode avion. Je reste Ă  disposition,LĂ©o de l'Équipe Prixtel
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