Pensées… à ceux qui vous sont chers à l’adresse suivante contact et nous le publierons. ! “20 avril 2020 Une pensée pour Lhadj Azouaou Mohend Chérif” “ Hommage , 19/20 avril 2014-19/2O avril 2020 …O6 ans que tu nous a quitté cher Grand-père! Le temps passe mais rien ne s’efface.. L’immense peine de t’avoir perdu cher Grand_père❤ Repose en paix Allah_irahmou 🙏. “ “20 avril 2020 Une pensée pour Babou Feroudja épouse Azouani Rachid” Tes enfants, tous tes proches Tous ceux qui t’ont connu et apprécié Pensent à toi après 20 ans depuis le 20 avril 2000 Que tu es partie Tu es partie et depuis nos cœurs pleurent L’inconsolable douleur Nos yeux te cherchent et te chercheront dans les cieux Pour toujours tu seras dans nos cœurs Tu as laissé un vide immense derrière toi Tu nous manques Reposes en paix chère mère Mourir n’est rien quand on est aimé aussi fort Que Dieu continue à t’accueillir dans son vaste paradis Merci de partager si vous aimez!
15 mai 2020 : Une pensée pour # Azouani rachid ” “ Ça fait six ans que tu nous a quitté cher père, que tu nous a laissé un immense vide qu’on arrive jamais à combler. Ta gentillesse, ta générosité, surtout ton humour nous manqueront à jamais. Repose en paix cher père, nous pensons à vous, toi et notre regrettée Mère à chaque instant.
Joyeux anniversaire à ma maman partie trop tôt au ciel Aujourd’hui devrait être un beau jour pour la famille. Hélas, tu nous as quittés pour un monde meilleur. Si tu étais encore là , ma petite maman, tu aurais fêté tes 55 ans. Malgré ma tristesse et ma mélancolie, t’écrire une lettre le jour de ton anniversaire est devenu pour moi une habitude, un moyen de me souvenir de nos bons moments et d’oublier, rien qu’un instant, la douleur d’être loin de toi. La nostalgie me rend triste, maman… Ma petite maman, les souvenirs me font à la fois tellement mal et me donne le sourire. Parfois, je me dis que je ne pourrai plus jamais vivre normalement. À chaque fois que des souvenirs de toi me viennent à l’esprit, je ressens ce petit pincement au cœur. Mais ne t’inquiète pas, j’essaie toujours de surmonter cela et de tourner la page. Je sais que tu n’aimes pas me voir triste. Je me souviendrai toujours de tout ce que tu m’as enseigné. C’est toi qui m’as appris à lacer mes chaussures, à me brosser les dents tout seul et surtout, à toujours me débrouiller comme un grand. Sans tes bons conseils, maman, je ne serai pas la personne que je suis maintenant devenue. Je pense très fort à toi, maman… Ma maman d’amour, tu resteras à jamais dans mon cœur. Même si le destin ne nous a pas laissé être ensemble plus longtemps que je le souhaitai, saches que je ne t’oublierai pas. Je te remercie pour toutes ces belles choses que tu as accomplies dans ma vie. Merci d’avoir été une mère exceptionnelle, aimante et tellement attentionnée. Mille mercis de m’avoir donné la chance de vivre sur cette terre. Je te serai à jamais reconnaissant. En ce jour qui est censé être ton anniversaire, une grande fête remplie d’amour et de tendresse, ma pensée se tourne vers toi. À toi la femme à qui je dois tout. À qui j’aurai donné ma propre vie. À toi qui es parti si soudainement… Je souhaite pouvoir te revoir un jour, ma maman… Maman, je sais que tu ne reviendras jamais. La mort n’épargne personne et sépare les êtres qui s’aiment sans pitié. Seulement, j’ai la foi que nous allons nous retrouver un jour. Ce moment sera si exceptionnel. Mais en attendant, je veux que tu reposes en paix. Ici, sur terre, nous faisons de notre mieux pour continuer à vivre normalement. Même si parfois, cela semble si difficile et déchire le cœur, tu n’as pas à t’inquiéter. Nous n’avons pas oublié ce que tu nous as enseigné. Qu’il fallait que nous nous soutenions dans la joie comme dans la tristesse. Et je peux te rassurer que nous nous débrouillons pas si mal. J’aimerai tellement te serrer dans mes bras, juste une dernière fois pour te souhaiter un joyeux anniversaire maman chérie. Toutefois, cela n’est plus possible. Tout ce que je peux faire, c’est fermer les yeux et penser très fort à toi. Je crois tout au fond de mon cœur que nos âmes se retrouveront un jour… Que ton âme repose en paix ma maman d’amour. Ton enfant qui t’aime. Vous aimerez sûrement aussiComprendre les fragilités Perte d’autonomie Comprendre les fragilités Auteur Rédaction Temps de lecture 10 min Date de publication 29/05/2012 0 commentaires Hommage d’Agevillage Les hommages de sa famille, de ses proches, de ses amis, des personnalités politiques, professionnelles, étaient unanimes ce 25 mai aux obsèques de Maurice Bonnet, 87 ans, à bout, Maurice nous aura montré que les combats pour les droits de l’homme, notamment âgé, fragilisé, handicapé, ne sont ni vains, ni jeune résistant, issu d’un milieu social ouvrier, il a gravi petit à petit les échelons sociaux, brandissant fièrement son diplôme d’HEC Hautes études communales.Ouvrier, militant syndical, responsable de caisse de retraite, il a lancé des études sur la vie des plus âgés et montré les besoins en terme de défense de leur citoyenneté, de professionnalisation des services d’aides et de soins. Viscéralement opposé aux attitudes charitables et compassionnelles, Maurice Bonnet fut l’un des pionniers des politiques gérontologiques innovantes sur Grenoble. Il devint président d’associations de services à domicile professionnelles UNASSAD devenu UNA, vice-président du CNRPA comité national des retraités et personnes âgées et rapporteur au Conseil économique et social devenu CESE, à 75 l’ai rencontré en 1994 lorsqu’il présidait le CNRPA, dans sa bataille contre la PSD livre noir vers l’APA livre blanc ​“qui n’était pas un vrai 5eme risque autonomie”, regrettera-t-il, jusqu’au élégant, souriant, malicieux, mais aussi volontiers moqueur et provocateur, Maurice Bonnet aimait échanger, écouter et pousser les initiatives qui bousculent les idées reçues. Il était ainsi contre les ​“conseils des sages”, car il ne voulait surtout pas être considéré comme un ​“vieux sage”, mais ​“vieux indigne et fier de l’être avec les pas encore vieux qui le deviendront fièrement !” comme lui écrit Geneviève Laroque, de la FNG. Comme elle, il m’a personnellement toujours soutenue> dans le délire des ​“Dimanches savoureux” qui osaient proposer de faire la fête et d’ouvrir les maisons de retraite, le même jour, pour changer leur image aux yeux du public.> dans le lancement d’ premier média Internet sur le grand âge en 2000. En 2004 il a mobilisé la presse, les acteurs publics, pour son rapport au CES ​“Pour une prestation Handicap-Incapacité-Dépendance” prémice d’un potentiel 5ème risque> face aux discours politiques et aux campagnes électorales qui oubliaient les enjeux du vieillissement, autour du Collectif ​“une société pour tous les âges” > dans sa découverte parmi les approches non-médicamenteuses de la maladie d’Alzheimer de l’Humanitude, qui lui arrachait les larmes. ​“L’Humanitude secoue les idées reçues, me disait-il. On peut donc être vieux et très malade et malgré tout vivre debout jusqu’au bout. Encore faut-il batailler pour que l’approche et ses techniques soient connues, appliquées”. Ce message d’espoir, il a tenu à le soutenir jusqu’au bout de ses forces, venant secouer l’assemblée des 900 professionnels lors de notre dernier colloque en novembre dernier à Maurice pour ton attitude positive, dynamique, optimiste, digne, secouant les ​“conventions” allant à l’encontre de la liberté, de la fraternité, de la Maurice de n’avoir jamais baissé les bras et nous avoir montré que la guerre n’est jamais gagnée contre les discriminations liées à l’ Maurice, tu as été un homme debout, jusqu’au bout. Ta vie nous sert d’exemple. Tu nous manques nous de poursuivre tes cite ici Geneviève Laroque ” A sa compagne, à ses enfants, vont nos pensées tristes, amicales, fidèles ils ont eu la chance de vivre près d’un vrai héros de notre temps, solide, modeste pour lui, ambitieux pour revoir Maurice !” Hommage de Geneviève Laroque à Maurice Bonnet Maurice était un ami, était un exemple pas un modèle, il était trop unique pour celaMaurice était le cœur et l’intelligence. L’intelligence de celui qui a appris pendant toute sa vie parce qu’il savait que pour agir il faut savoir mais aussi parce qu’il savait que pour penser il faut agir. Maurice avait agi toute sa vie pour le mieux des hommes, pour la liberté appuyée sur la fraternité sources de l’égalité. Il avait bâti des organisations d’aide et de soutien aux plus fragiles, pas dans la compassion, dans le respect égal de ceux qui apportent et de ceux qui reçoivent ils échangent. Maurice s’est battu toute sa vie pour faire passer cette conception très haute des hommes, de leur intelligence, de leur volonté d’avancer mais aussi de chacun, y compris faible, y compris handicapé, fondement de cette solidarité incassable, abrupte, exigeante mais aussi affectueuse sans honte de la et moi, dans des actions communes, étions les anciens, les aînés, les vieux indignes et fiers de l’ me sens un peu seule, Maurice sans ton appui, ta stimulation. On essaiera d’être longtemps des vieux indignes et fiers de l’être avec les pas encore vieux qui le deviendront fièrement !A sa compagne, à ses enfants, vont nos pensées tristes, amicales, fidèles ils ont eu la chance de vivre près d’un vrai héros de notre temps, solide, modeste pour lui, ambitieux pour revoir Maurice !Geneviève Laroque Message des Ministres Mesdames Touraine et Delaunay pour les obsèques de Maurice Bonnet C’est avec une profonde tristesse que nous apprenons la disparition de Maurice Bonnet dans la nuit de lundi à mardi. Figure incontournable du secteur de la gérontologie, il a été, de 1995 à 2002, le très respecté vice-président du Comité National des Retraités et Personnes Âgées. Ouvrier, il fut un infatigable militant de la CFDT dans les années 1960, avant de consacrer sa vie aux politiques sociales, en particulier à destination des personnes en situation de handicap et des personnes âgées. De très nombreux élus et associations de ce secteur ont nourri leurs actions de terrain des travaux de Maurice Bonnet et continueront de le faire. Sa profonde humanité et la sincérité de son engagement manqueront terriblement à l’ensemble des acteurs de la sphère adressons à sa famille nos plus sincères Touraine, Ministre des affaires sociales et de la santé Michèle Delaunay, Ministre déléguée chargée des personnes âgées et de la dépendance André Flageul de l’UNA, les Ainés Ruraux, Janine Dujay – Blaret, Pascal Champvert de l’Ad-PA … hommages à Maurice Bonnet de membres du Collectif ​“Une société pour tous les âges” Maurice, tu nous as quittés. Nous éprouvons une grande tristesse. Mais tu nous as laissés un tel héritage que tu vas rester longtemps parmi nous. Si un jour dans ce pays » ton expression coutumière, une loi du 5ème risque voit le jour, nous saurons à qui nous le devons. Visionnaire tu étais, puisque dès 1987 à l’UNA avec ton ami Georges Malo, tu revendiquais la mise en place d’un risque de sécurité sociale pour répondre aux besoins des personnes âgées. Je ne retracerai pas ici tout ton parcours, de l’ouvrier militant au rapporteur éminent du Conseil Economique et Social en passant par la Présidence de l’UNASSAD et la vice Présidence du CNRPA. Tes travaux sont à notre disposition et je voudrais aujourd’hui reprendre tes convictions. Ta conviction première était de considérer qu’il n’y a pas de fatalité aux problèmes, aux situations-problèmes que nos concitoyens rencontrent dans leur parcours de vie. A la fatalité tu opposais en permanence - La force du savoir et de l’analyse - La force de l’action le savoir qui est indispensable à l’Action et l’Agir qui nourrit le savoir - La force du collectif, le travail en équipe - La force de l’engagement dans la durée, la ténacité. La clé de voûte de ta pensée était la reconnaissance de la place des personnes en difficulté, le respect de l’autonomie étant la condition première de l’exercice de leur citoyenneté et du maintien de leur dignité. Tu as mis tout cela en application lors de ta présidence de l’UNASSAD. D’un syndicat employeur tu as été un des artisans de la convention collective 83, tu en as fait un mouvement revendiquant sa participation à la construction des politiques publiques, et des entreprises de l’économie sociale capables d’articuler pratiques militantes et expertises professionnelles. J’essaie encore aujourd’hui de poursuivre ton œuvre, moi à qui tu as mis à plusieurs reprises le pied à l’étrier. Chacun dans sa vie fait des rencontres déterminantes qui vous construisent, qui vous grandissent, qui vous boostent ». Ma rencontre avec Maurice appartient à cette catégorie. Nous avons mis du temps à nous trouver, à nous reconnaître… Attirance, méfiance réciproque ? J’étais séduit par ton charisme et je le craignais. Tu n’aimais pas trop les intellos psychos auxquels tu m’assimilais rapidement. Une fois dépassées les premières représentations, nous nous sommes vraiment trouvés et quel parcours commun fait de connivences, mais aussi de différences, voire de tiraillements. Ah les piques amères de Maurice !. De cette rencontre militante et professionnelle est née une amitié avec toi et aussi avec ta compagne Maryse. Et alors se sont succédés les moments d’échange, de ballades, de fête l’humour de Maurice ! et aussi d’entraide dans les coups durs. Je me revois, je nous revois quelques années en arrière. J’étais en convalescence d’un gros problème de santé. Tu étais venu passer deux jours en tête-à -tête avec moi dans ma maison de montagne. Mon jardin du ciel t’avait définitivement convaincu que je n’étais pas qu’un intello ! Pendant ces deux jours, nous nous sommes tout dit de nos accords, de nos désaccords et nous avons fait une compétition de cuisine… un expert extérieur aurait été présent, tu aurais gagné. C’est dur de te perdre Maurice, toi qui brandissait ton diplôme de HEC Hautes Etudes Communales, tu auras été malgré tes déclarations un vrai intellectuel. Tu en avais la qualité première la pensée critique, sur les systèmes, les organisations, les institutions et sur toi-même. Pour moi, tu seras toujours l’exemple qui montre et qui démontre qu’un individu quelle que soit son origine, peut être créateur et porteur d’histoire. Te rendre hommage c’est continuer ton combat, c’est ce que nous allons tous Flageul, président de l’UNA — — — — — — — — — -Le président Gérard Vilain, Janine Dujay Blaret, et le conseil d’administration des Aînés ruraux – Fédération nationale s’associent à la peine de la famille et des amis de Maurice Bonnet. Il a joué un rôle moteur dans la reconnaissance des problématiques liées au vieillissement et à la perte d’autonomie, notamment lors de son passage à la vice-présidence du CNRPA. Son action ne sera pas oubliée et son souvenir sera un puissant moteur pour continuer à travailler dans les directions qu’il avait pensées pour lui et ses prochesLes Aînés Ruraux — Fédération nationale, Maguy Bouhin,déléguée générale— — — — — — — — — –Nous perdons un ami fidèle, capable de soutenir avec force ce qu’il savait être bon non seulement pour les personnes âgées mais pour toute personne en souffrance . Je compatis à la peine de sa famille et suis avec eux par la pensée. Janine Dujay – Blaret— — — — — — — — — –Maurice nous a une grande perte pour les siens auxquels nous pensons une grande perte pour les personnes âgées et tous ceux qui les aident au quotidien quand elles sont fragilisées, car Maurice était un infatigable militant de la cause des grande perte pour nous, car nous avons perdu un ami, et plus que cela une voix, un repère, un nous avait dit un jour que nous étions les soldats de l’aide aux personnes âgées. Lui, était notre sommes aujourd’hui orphelins, mais nous continuons l’action, car son énergie et sa générosité sont toujours là pour nous l’AmiSalut l’ArtisteMerci à toiPour l’AD-PA, Pascal CHAMPVERT, président— — — — — — — — — - Oui, Maurice était un ami, un exemple, un héros des temps modernes et il nous manque déjà ! Françoise TOURSIERE, Directeur FNADEPA, Fédération Nationale des Directeurs d’Etablissements et services pour Personnes Agées — — — — — — — — — -Merci d’apporter mes pensées et ma peine sur le dernier chemin de Maurice. Auprès de lui pendant quelques années au Comité national des retraités et de personnes âgées ainsi qu’au Conseil d’administration de la CNAVTS j’ai admiré son engagement total à améliorer la vie des femmes et des hommes sur le chemin de l’âge. On sentait cette volonté très ancienne prise avec les formations de jeunesse de l’ conduite mérite largement d’être prières le Maloisel Hommages du Collectif ​“Pour un vrai 5ème risque” à Maurice Bonnet Chers amis, Maurice nous laissera le souvenir d’un serviteur de la République, tenace en ses convictions, et militant jusqu’à s’excuser de n’avoir pas pu participer davantage à nos travaux. Au nom de notre collectif, rendons lui hommage par une pensée affectueuse et davantage. Bien amicalement José Gongora — — — — — — - Maurice est resté un homme-debout toute sa vie. J’avais été touché quand il m’avait dit qu’il ne suffisait de résister mais qu’il fallait militer, aussi. J’espère pouvoir être digne de ses leçons. Mes amitiés à sa compagne Jean-Michel Caudron Sur le même sujet
Depuis que tu nous as quittés, j’ai soufflé quelques bougies de plus, j’ai appris deux ou trois accords, j’ai gribouillé quelques textes. J’essaie de faire de mon mieux jour après jour et de rester forte, d’être une bonne mère. Tu aurais aimé la petite dernière, elle te connaît à travers les histoires de toi que je lui raconte, elle connaît ton nom, elle le nomme en pointant les étoiles. Depuis que tu es parti, j’apprends à vivre différemment, en pleurant et en souriant même en pensant à toi, aux cents coups qu’on a fait ensemble, en entendant une de tes chansons préférées à la radio. La tristesse a fait place à de beaux souvenirs, le temps finit bel et bien par faire son œuvre. Mais je n’ai pas fait totalement la paix avec la mort, je lui en veux encore d’être venue te chercher si tôt. Je n’ai toujours pas eu la force de faire le tri des choses qui t’appartenaient et que je conserve dans une grande boîte au grenier. Il m’arrive parfois de la déplacer, d’enlever un peu de poussière accumulée sur le couvercle. Je ne me suis pas résignée non plus à laver ton chandail préféré, même si l’odeur de ton parfum a disparu depuis longtemps. Depuis que tu nous a quittés, l’arrivée du printemps et l’éclosion des bourgeons me rappellent la saison où nous devions attendre le dégel du sol pour enterrer tes cendres. L’endroit où tu reposes et l’odeur des fleurs qui s’en dégage ne me font pas penser à toi. Ne m’en veux pas de ne pas y aller pour te visiter, pour moi tu n’y es pas, tu es tout autour de nous, partout, à tout instant. Je n’ai toujours pas trouvé les mots pour expliquer ton départ lorsqu’une vieille connaissance me demande comment tu vas; chaque fois, je voudrais me défiler pour éviter d’avoir à raconter une fois de plus la dernière journée de ta vie. Depuis que tu nous a quittés, d’autres sont venus te rejoindre. J’ai essayé tant bien que mal de sécher quelques larmes de leurs proches atterrés, de consoler des cœurs émiettés, de prêter une épaule où l’on peut se réfugier, parce que je comprends ce par quoi ils devront passer. Depuis que tu es parti, j’ai compris qu’on ne tient qu’à un fil, que la maladie peut s’inviter lorsqu’on ne s’y attend pas. J’essaie de profiter de chaque jour et des gens que j’aime. Ce soir, je vais tenter de m’endormir en abrillant ma conscience de mes regrets et de mes remords de ne pas assez avoir profité de ta présence, de ne pas avoir assez pris de temps avec toi, de ne pas avoir pu te dire ce qu’il y avait à dire. Demain, je continuerai mon petit bout de chemin, en ayant quelquefois une pensée pour toi, en observant ton visage sur la photo que j’ai mise sur le coin de mon bureau. Cette nuit, peut être aurai-je la chance de te voir en rêve et de pouvoir te parler. Je te dirai à quel point tu me manques et tu me diras de ne pas m’en faire, qu’on se reverra un jour. Crédit wrangler/ KARINE PILOTTE
Lacitation la plus célèbre sur « quitte » est : « Si quelqu'un s'éloigne de toi, laisse-le partir. Ton destin n'est jamais lié à quelqu'un qui te quitte. Ça ne veut pas dire que c'est une mauvaise personne, ça signifie simplement que sa part dans ton histoire d'amour est terminée. »
C'est la vie... C'est comme ça... On ne choisit pas... On a pas le choix ! On fait avec, même si on s'en passerais bien on doit faire face... C'est la vie malheureusement... C'est article est dédié à tous ceux qui nous ont quittés et à ceux qui ont perdus des proches, des amis, des collègues... ou même simplement à ceux qui un jour on pu ressentir et partager cette douleur et cette souffrance de devoir quitter et dire adieu à ceux qu'on a aimé et qu'on aimera toujours au fond de soi... =' 3Ce n'est pas facile de perdre quelqu'un qui nous soi proche ou même que l'on a simplement connu comme ça... La mort, que ce soit naturelle qui est encore la meilleure façon de mourir pour mon avis personnel, que ce soit à cause d'un cancer; d'un accident, et encore pire par un suicide ='$, est toujours TERRIBLEMENT difficile à accepter... et est-ce qu'un jour on l'acceptera ?! Je ne sais pas... Je pense simplement qu'on fait avec et qu'on s'habitue à l'absence car on a pas le choix... =' =' =' Pour ce qui est de mon cas, je voulais faire cet article e hommage à ceux que j'ai connu et les proches de ma famille et de mes amis <3 ! Alors Tonton, Mamie, Papy, Gilou, Coco, Laurence... Vous me/nous manquez beaucoup... On pense bien à vous et on ne vous oublie pas <3 Vous êtes à jamais dans notre coeur ! Mais aussi en hommage à la maman d'un de mes deux "frère", au grand-père de ma Petite Soeur, au "grand-papy" de mon autre "frère", au grand-père d'une de mes meilleure amie Z, à l'oncle de ma Confidante, au grand-père d'un ami A. j'espère que tu te reconnaitras et à tous les autres décédés de maladie, par accident, de suicide ou encore naturellement... REPOSEZ EN PAIX <3 Posted on Wednesday, 03 November 2010 at 1120 PMEdited on Wednesday, 03 November 2010 at 1149 PM
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